Les anciennes nations, coupées du véritable Dieu, ont toutes, invariablement, adoré des idoles. Les masses avaient besoin d’avoir de faux dieux près d’eux, et cela veut dire qu’elles pouvaient être vues. Ainsi, en partie à cause de l’environnement dans lequel ils vivaient, avant que Dieu ne puisse instruire Israël sur la bonne manière de L’adorer, Il devait premièrement leur montrer comment ne pas L’adorer.
Exode 20:4-6 révèle le Deuxième Commandement . Voici la directive explicite de Dieu: “TU NE TE FERAS POINT D’IMAGE TAILLÉE, NI DE REPRÉSENTATION QUELCONQUE, des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car Moi, l’Éternel ton Dieu, Je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui Me haïssent, et qui fait miséricorde jusqu’en mille générations à ceux qui M’aiment et qui gardent Mes Commandements.”
Ce Commandement est une interdiction explicite voulue pour couvrir toute forme de fausses adorations impliquant tout autre sorte de supposés faux “dieux,” et de représentation comme tel, que les êtres humains, avec leur esprit créatif, pourrait inventer. Comme tout parent dont les enfants choisissent d’aller vers une différente maison et différents parents après l’école, le Parent qui a fait tous les êtres humains, Ses enfants, serait certainement jaloux s’ils allaient après de faux dieux, des idoles.
Dieu a spécifiquement défini les voies interdites qui étaient employées pour adorer les idoles. Il réalisa que la tendance de la nature humaine cherchait des “trous” (occasions de chute) afin de contourner Ses instructions.
Le Premier Commandement interdit d’avoir d’autres dieux devant le véritable Dieu. Le Deuxième Commandement interdit d’employer une image pour représenter le véritable Dieu, ou tout autre faux dieu. Ce Commandement fait affaire spécifiquement avec l’emploi d’images physiques pour adorer ou comme représentations de quoi que ce soit pour relié à l’adoration. Cela ne condamne pas l’existence de statues ou d’images en général, seulement leur emploi pour adorer. Par conséquent, employer toute statue ou image, pour représenter Dieu, est expressément interdit. L’homme doit adorer, se prosterner et servir le Créateur Dieu. Dieu ne permet pas à l’homme de transférer ce même honneur à une image Le représentant. Il avertit fortement Israël de ce danger.
Notez les instructions spécifiques de Dieu à Moïse: “Vous ne ferez point des dieux d’argent et des dieux d’or, pour Mes les associer” (Ex. 20:23). C’étaient les premières paroles de Dieu à Moïse après lui avoir donné les Dix Commandements!
Encore, notez les versets 5-6: “…car Moi, l’Éternel, ton Dieu, Je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui Me haïssent. Et qui fait miséricorde jusqu’en mille générations à ceux qui M’aiment et qui gardent Mes Commandements.” Si les gens persistent dans l’adoration des idoles, Dieu ne les punira pas seulement, mais aussi leurs enfants, leurs petits-enfants, et leurs petits-petits-enfants. Aucun autre Commandement ne donne autant d’implications détaillées.
Clairement, Dieu haït l’idolâtrie et la rend égale au fait de L’haïr! Toutefois, le Dieu Tout-Puissant promet de bénir ceux qui L’aiment et Lui obéissent, les individus qui choisissent de Lui obéir ne seront pas punis pour la désobéissance de leurs parents.
L’avertissement de Dieu à Israël
Lévitique 26:1 avertit: “Vous ne vous ferez point d’idoles, vous ne vous élèverez ni image taillée ni statue, et vous ne placerez dans votre pays aucune pierre ornée de figures, pour vous prosterner devant elle; car Je suis l’Éternel votre Dieu.”
En rejetant l’adoration de telles images, Israël alla contre le courant des nations environnantes, tout comme leur nature humaine charnelle. L’esprit naturel cherche des images à adorer pour représenter le dieu qu’il sert. La nature humaine trouve plus facile d’adorer un objet physique que d’adorer un Dieu invisible. Mais, le Deuxième Commandement interdit d’employer des images pour même assister ou rappeler dans l’adoration de Dieu.
Deutéronome 4:15-20 donne plus de détails sur ce sujet:: “Puisque vous n’avez vu aucune figure le jour où l’Éternel vous parla du milieu du feu, à Horeb, veillez attentivement sur vos âmes, de peur que vous ne vous corrompiez et que vous ne fassiez une image taillée, une représentation de quelque idole, la figure d’un homme ou d’une femme, la figure d’un animal qui soit sur la terre, la figure d’un oiseau qui vole dans les cieux, la figure d’une bête qui rampe sur le sol, la figure d’un poisson qui vive dans les eaux au-dessous de la terre. Veille sur ton âme, de peur que, levant tes yeux vers le ciel, et voyant le soleil, la lune et les étoiles, toute l’armée des cieux, tu ne sois entraîné à te prosterner en leur présence et à leur rendre un culte: ce sont des choses que l’É ternel, ton Dieu, a données en partage à tous les peuples, sous le ciel tout entier. Mais vous, l’É ternel vous a pris, et vous a fait sortir de la fournaise de fer de l’É gypte, afin que vous fussiez un peuple qui Lui appartint en propre, comme vous l’êtes aujourd’hui.”
Y a t-il de la place dans ce Commandement pour l’innombrable quantité d’idoles trouvées sur Terre aujourd’hui? Et qui apparaissent dans les formes même que Dieu condamne ici?
Les anciens Grecs adoraient dans leur cas, presque juste des images d’hommes et de femmes. Plusieurs des nations autour d’Israël adoraient des images de différentes créatures des airs, de la terre et de la mer, tout comme le dieu poisson Dagon des Philistins. Les Babyloniens et les autres, adoraient les “armées des cieux”, le soleil, la lune et les étoiles.
Voici comment Moïse avertit Israël au sujet de l’idolâtrie: “Veillez sur vous, afin de ne point mettre en oubli l’alliance que l’É ternel, votre Dieu, a traitée avec vous, et de ne point vous faire d’image taillée, de représentation quelconque, que l’Éternel, ton Dieu, t’ait défendue. Car l’É ternel, ton Dieu, est un feu dévorant, un Dieu jaloux” (Deut. 4:23-24).
Le dossier d’Israël
Comment Israël a t-elle écouté l’instruction révélée de Dieu? En seulement quelques jours, durant l’absence de Moïse’, Aaron, sous la pression de certaines personnes de l’assemblée, leur permit de mouler une image d’un veau d’or. L’adoration du veau d’or fut permise lors d’une célébration dans laquelle le peuple “s’assit pour manger et pour boire; puis ils se levèrent pour se divertir” (Ex. 32:1-6).
Juges 2 résume l’histoire d’Israël pour les trois siècles après être arrivé dans la Terre Promise. Moins d’une génération après la mort de Josué, un cycle commença. En délaissant Dieu, une des premières choses qu’Israël adopta était l’adoration des idoles.
Juges 17 et 18 démontrent combien bas Israël est descendue. Un homme d’Éphraïm, nommé Mica, en était venu à posséder une idole de “valeur”. Il désirait développer sa collection d’idoles. Juges 17:6 montre l’étendu de l’oubli d’Israël des voies de Dieu. Notez: “En ce temps-là, il n’y avait point de roi en Israël. Chacun faisait ce qui lui semblait bon.”
Sans la Loi de Dieu, il n’existe aucun standard selon lequel vivre. Étudier de telles écritures vous aidera à apprécier l’ordre et l’harmonie qui proviennent de l’obéissance aux Lois de Dieu.
Le Psaume 78:56-58 révèle: “Mais ils tentèrent le Dieu Très-Haut et se révoltèrent contre Lui, et ils n’observèrent point Ses ordonnances. Ils s’éloignèrent et furent infidèles, comme leurs pères, ils tournèrent, comme un arc trompeur. Ils L’irritèrent par leurs hauts lieux, et ils excitèrent Sa jalousie par leurs idoles”
Images du “Christ”
Dieu interdit expressément l’emploi de toutes images pour Le représenter. Jésus Christ se tient maintenant à la droite de Dieu le Père, servant comme notre Souverain Sacrificateur, notre Avocat. Il n’y a aucune justification (raison) pour avoir une ou des images du Christ. Même les images en général, sont interdites d’adoration. Israël devait détruire les images appartenant aux autres nations qui occupaient la Terre Promise: “...vous chasserez devant vous tous les habitants du pays, vous détruirez toutes leurs idoles de pierre, vous détruirez toutes leurs images de fonte, et vous détruirez tous leurs hauts lieux” (Nom. 33:52).
Des images du Christ sont souvent trouvées dans des bibles et d’autres littératures, et sur les murs de maisons et d’églises. Elles sont évidentes dans les églises Protestantes, et autant dans les églises Catholiques qui vont plus loin en ajoutant des statues du Christ et de Marie. Ces images ne sont pas seulement interdites, mais elles ne représentent absolument pas le Christ dans Sa manière d’être physiquement. Par exemple, nous savons que Christ était Juif, comme la Bible déclare: “Car il est notoire que notre Seigneur est sorti de Juda” (Héb. 7:14). Ce n’est pas l’image habituelle présentée par l’art populaire ou par Hollywood.
Aussi, Christ est toujours illustré portant des cheveux longs. Toutefois, Il inspira Paul à écrire: “La nature elle-même ne vous enseigne-t-elle pas que c’est une honte pour l’homme de porter de longs cheveux” (I Cor. 11:14). Durant l’époque de Christ, les Romains portaient naturellement les cheveux courts. Des statues existent aujourd’hui de différentes personnalités Romaines et d’autres races, et la longueur de leurs cheveux est courte.
Plusieurs sont confus par l’apparence du Christ avec les Naziréens. C’est parce qu’ils se trompent sur les termes, même s’ils sont semblables, ils ont des significations différentes. Voici: Ceux qui faisaient le vœu du Naziréen, devenaient alors des Naziréens (Nom. 6: 6-8, 13). Ils ne devaient pas se couper les poils de la barbe ni des cheveux durant tout le temps de leur Naziréat (Nom. 6:5). Mais à la fin de leur service, ils devaient se raser la tête (Nom. 6:18). Mais ceux qui venaient de la ville de Nazareth, étaient des Nazaréens, Christ a passé une grande partie de Sa jeunesse dans cette ville. Mais le terme qui découle du vœu du Naziréen n’a rien à voir avec ceux qui venaient de la ville dans laquelle le Christ grandit (Matt. 2: 23).
Des images du Christ existaient aussi tôt que 400 ans Sa mort. Ces “images” étaient des peintures que des artistes s’employèrent à démontrer comment le Christ, Jésus, a du avoir ressemblé, supposément. Ce qui n’est pas surprenant, c’est que la majorité de ces peintres étaient engagés dans la contrefaçon Chrétienne.
Cela explique en partie pourquoi, au lieu d’illustrer Christ comme un Juif avec des cheveux courts, les premières images donnent une remarquable ressemblance au dieu Romain Jupiter, qui, supposément régnait sur tous les autres dieux. Jupiter était reconnu comme ayant renversé ou détrôné son père: Saturne, s’appropriant les rennes du monde. Cela s’entremêle parfaitement avec la théologie de l’église contrefaite, qui illustrait Jésus comme ayant maintenant supplanté le Dieu de l’Ancien Testament, qu’ils identifièrent incorrectement comme Dieu le Père. De faux enseignants illustrent la théologie du Christ comme supplantant, renversant le dur règne de Dieu le Père et de remplacer ces “durs Dix Commandements” par la “tolérance et l’amour.”
L’emploi de cette image de Jupiter Olympus gagna du momentum, comme toutes les autres fausses doctrines, dont l’église contrefaite perpétua. Aujourd’hui, les gens qui pensent adorer Christ, adorent quelque chose d’entièrement différent, en apparence comme en substance!
Rappelez-vous que les Juifs payèrent Judas Iscariot pour les conduire jusqu’à Christ. Lors de la trahison de Christ, Judas ne Le décrit pas de cette manière: “Bien, Il a ce regard triste, saint et des cheveux exceptionnellement longs. Il va probablement porter une brebis sur Ses épaules, et vous ne pourrez pas manquer Son auréole lumineuse.”
En réalité, Christ ressemblait à n’importe quel autre Juif de Son époque, tellement, que Judas devait spécialement L’identifier. Comme tout charpentier de Son époque, Christ devait avoir un ton basané, une apparence masculine, pas une allure efféminée et chétive, imaginée des siècles plus tard par des artistes. Le prophète Ésaïe fut inspiré d’écrire: “Il s’est élevé devant Lui comme une faible plante, comme un rejeton qui sort d’une terre desséchée; Il n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, et Son aspect n’avait rien pour nous plaire” (Ésa. 53:2).
Le concept de ce monde de qui et quoi était le Christ est aussi faux que de l’idée de la manière que Christ ressemblait! (Vous pouvez lire notre article: “Jésus Avait-Il Les Cheveux Longs?” pour plus de détails.)
Une église sanctionne l’idolâtrie
Comme une extension de la religion Babylonienne à Mystères, la jeune église Catholique continua leur vieille tradition d’adoration des images. La véritable Église exposa l’idolâtrie flagrante des Catholiques au tout début. Pour être capable d’éviter la condamnation et la publicité négative, l’église Catholique devait faire un choix: soit cesser de pratiquer l’idolâtrie ou de changer les Lois bibliques concernant l’idolâtrie. Ils choisirent le deuxième choix.
L’érudit Augustin (A.D. 354-430), promulgua ce changement et “sauva la face.” Cet homme, soigneusement, remodela les Dix Commandements pour minimiser les inculpations incriminantes que le Deuxième Commandement amènerait directement sur eux.
Le Deuxième Commandement condamne l’adoration des images. Par conséquent, en “combinant” le premier et le deuxième Commandement, Augustin essentiellement, “supprima” le Deuxième Commandement. Pour être capable de garder un total de dix, il divisa le dernier Commandement en deux parties séparées. Ce remodelage changea le Neuvième Commandement qui disait maintenant: “Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain,” et le Dixième: “tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain.”
Lorsqu’il s’est dissocié de l’église Romaine, Martin Luther retint les textes Catholiques de la Bible, incluant la division d’Augustin.
Notez la citation suivante de: The Encyclopedia Britannica: “L’église de Rome et les Luthériens adoptèrent la division d’Augustin…combinant en un le Premier et le Deuxième Commandement, (de Philo) et en divisant le Dixième Commandement en deux” (11th edition, Vol.7, p. 907). Philo était un éminent Juif érudit du premier siècle. Il défendit la bonne division des Dix Commandements, comme ils apparaissent dans la King James Version de la Bible.
En combinant les deux premiers Commandements, Augustin altéra ouvertement les Dix Commandements. Aussi, la division du Dixième Commandement présente une tentative évidente et transparente d’altérer la Parole de Dieu.
Dans Romains 13:9, Paul mentionne les cinq derniers Commandements et ne fait aucune distinction dans celui interdisant la convoitise. Dans Romains 7:7, il déclare: “Que dirons-nous donc? La Loi est-elle péché? Loin de là! Mais je n’ai connu le péché que par la Loi. Car je n’aurais pas connu la convoitise, si la Loi m’eut dit: tu ne convoiteras point.” Nous nous attendons à trouver ce Commandement en un seul, puisqu’Augustin n’a fait le changement qu’environ 350 ans après la mort de Paul.
Si la Bible que vous lisez est une Bible classique Catholique, cela expliquera pourquoi les Dix Commandements, comme ils sont énumérés dans les versions du King Jacques Version et de Louis Second, diffèrent de votre version. Mais, ce ne sont pas toutes les versions Catholiques qui contiennent cette division d’Augustin. Si votre Bible n’inclut pas le Deuxième Commandement dans sa forme originale, obtenez une version plus objective, moins corrompue de la Bible. (Vous pouvez aussi lire notre brochure: L’autorité de la Bible, peut-on la prouver?)
Maintenant, lisez ce sérieux avertissement de Deutéronome 4:1-2: “Maintenant, Israël, écoute les Lois et les ordonnances que Je vous enseigne. Mettez-les en pratique, afin que vous viviez, et que vos entries en possession du pays que vous donne l’É ternel, le Dieu de vos pères. Vous n’ajouterez rien à ce que Je vous prescris, et vous n’en retrancherez rien; mais vous observerez les Commandements de l’É ternel, votre Dieu, tels que Je vous les prescris.”
Pourquoi Augustin et les autres théologiens et érudits ne craignent pas de violer cet ordre direct de Dieu? L’ont-ils volontairement violé pour la même raison qu’ils ont défie le Commandement du Sabbat et la majorité des autres Lois et ordonnances de Dieu?
Est-ce qu’Israël demeura fidèle?
Nous pourrions faire une pause et nous demander si la nation d’Israël a ultimement accompli les promesses faites à Dieu dans le livre d’Exode. Et alors, nous devons brièvement examiner ce qui peut être appris de ses expériences et comment ces leçons peuvent être appliquées. Vous verrez que la croyance de centaine de millions de personnes vivant aujourd’hui sera choquante, ébranlée, et indubitable.
Dieu voulait que la nation d’Israël soit une nation modèle et que toutes les autres nations copient. C’était toujours Son but. Il espérait que Son peuple donne l’exemple aux nations environnantes du bonheur, de la paix, de l’abondance, des bénédictions et de la protection des ennemis, qui découlent de l’obéissance à Dieu. Malheureusement, en dépit d’une volonté d’obéir à Dieu, commençant par les Commandements qui furent donnés au Sinaï, Israël a à répétition copié les nations autour d’elle et adora leurs dieux. Atteignant par le fait même l’opposé de la volonté de Dieu! (Rappelez-vous combien rapidement Israël adora le “veau d’or” après avoir reçu les Dix Commandements, avant même que Moïse ne puisse redescendre de la montagne.) Cette action d’adorer de faux dieux, eu des répercussions durant des milliers d’années.
La longue histoire brisée d’Israël, est qu’elle s’est tournée du vrai Dieu et tomba dans le piège pernicieux de l’idolâtrie et de l’adoration des dieux étrangers, et répétant cela encore et encore. Chaque fois que cette action se répétait, Dieu renvoyait Israël en captivité et en esclavage. Après un certain temps, elle criait au secours du fond de son esclavage, dans un état de repentance, et Dieu soulevait un juge et la délivrait. Mais Son peuple retombait promptement dans l’adoration des idoles et des faux dieux, Retournant en captivité, et alors, vers la repentance, encore suivi par la délivrance de la miséricorde de Dieu, tout cela recommençant encore et encore. Ce cycle, décrit dans le livre des Juges et ailleurs, ne fut jamais brisé jusqu’à ce qu’Israël et Juda aillent finalement en captivité (jusqu’à la séparation finale des deux royaumes), avec les dix des douze tribus devenant perdues dans l’histoire. Seulement la famille de Juda, ou les Juifs, mélangée avec une autre tribu, retinrent leur identité nationale, et cela est du en grande partie parce qu’ils continuèrent d’observer le Sabbat commandé de Dieu.
Jérémie et Ésaïe, résumés
Voici comment Dieu, à travers le prophète Jérémie, décrit les actions lamentables, continuelles de Sa “nation”, Son peuple: “Y a-t-il une nation qui change ses dieux, quoiqu’ils ne soient pas des dieux? Et Mon peuple a changé sa gloire contre ce qui n’est d’aucun secours! Cieux, soyez étonnés de cela; frémissez d’épouvante et d’horreur! Dit l’É ternel. Car Mon peuple a commis un double péché: ils M’ont abandonné, Moi qui suis une source d’eau vive, pour se creuser des citernes, des citernes crevassées, qui ne retiennent pas l’eau” (Jér. 2:11-13).
La dernière phrase de ce passage décrit précisément tous les faux dieux inventés par l’homme et les nations depuis les derniers 6,000 ans. Ces “dieux” faits par des hommes, faits de bois, de pierre, de métal et surtout de faux raisonnements, sont réellement des “citernes brisées qui ne peuvent retenir d’eau.” En plus, ces nations (et religions) s’accrochent à ces dieux éphémères et une Israël fidèle, jamais démontrée, révélée auparavant au vrai Dieu.
Jérémie continue, décrivant l’approche d’Israël aux dieux qu’elle a copiés et créés: “Ils disent au bois [une simple idole taillée]: Tu es mon père! Et à la pierre: Tu m’as donné la vie! Car ils Me tournent le dos, ils ne Me regardent pas.” Parlant pour Dieu, Jérémie dit alors au sujet de ces dieux: “Et quand ils sont dans le malheur, ils disent: Lève-Toi, sauve-nous! Où donc sont tes dieux que tu t’es faits? Qu’ils se lèvent, s’ils peuvent te sauver au temps du malheur! Car tu as autant de dieux que de villes, Ô Juda!” (Jér. 2:27-28).
C’est une description classique de ce qui est vu dans le monde des nations modernes qui se considèrent elles-mêmes être basées sur les racines Judéo-Chrétiennes. Les idoles, les images, les statues et les verres teintés des fenêtres d’églises abondent partout, dans toutes les villes, et personnes ne se questionnent à ce sujet.
Même aussi tôt que le premier siècle, l’apôtre Paul avertissait une congrégation du peuple de Dieu (les Corinthiens), ceux de Son Église! Du danger de suivre un “autre Jésus,” qui était/est lié à un “autre évangile” il révèle que cela est lié au fait de suivre un “autre esprit” (II Cor. 11:3-4). Vous trouverez que cette révélation n’est pas si étonnante, même plutôt choquant au-delà de ce que vous pouvez imaginer au sujet du traditionel “Jésus” enseigné dans presque chaque église du monde de l’Ouest.
Maintenant, continuons avec le récit de Jérémie. Dieu a toujours été disponible pour Israël, facile à trouver pour ceux qui Le cherchent: “Hommes de cette génération, considérez la parole de l’É ternel! Ai-Je été pour Israël un désert, ou un pays d’épaisses ténèbres? Pourquoi Mon peuple dit-il: Nous sommes libres, Nous ne voulons pas retourner à Toi? La jeune fille oublie-t-elle ses ornements, la fiancée sa ceinture? Et Mon peuple M’a oublié depuis des jours sans nombre” (Jér. 2:31-32). Dieu n’a jamais été un “désert” pour ceux qui Le cherchent. La question a toujours été si Israël Le chercherait et Lui obéirait.
Combien de jeunes femmes se permettraient de s’habiller pour une occasion spéciale, mais oublieraient de mettre ses bijoux, ses “ornements”? Sûrement très peu. Alors, quelle jeune mariée oublierait le jour de son mariage de revête sa “robe de mariée, et ses bijoux”? Absolument aucune. Encore, étonnamment, Israël a oublié LEUR DIEU!
Bien sûr, cela arriva, parce qu’’Isarël rejeta les instructions de base de Dieu, et de Ses Commandements! Et s’engagea avec les dieux des nations environnantes.
Le prophète Ésaïe déclare ceci de la part de Dieu au sujet de l’état déplorable de Son peuple, à l’époque et aujourd’hui: “Cieux, écoutez! Terre, prête l’oreille! Car l’’É ternel parle. J’ai nourri et élevé des enfants, mais ils se sont révoltés contre Moi. Le bœuf connait son possesseur, et l’âne la crèche de son maître: Israël ne connait rien, Mon peuple n’a point d’intelligence. Malheur à la nation pécheresse, au peuple chargé d’iniquités, à la race des méchants, aux enfants corrompus! Ils ont abandonné l’É ternel, ils ont méprisé le Saint d’Israël. Ils se sont retirés en arrière” (Ésa. 1:2-4).
Ésaïe décrit une nation qui est tombée dans toutes les sortes de corruption, de péché et de méchanceté concevables, tout cela est attribuable au fait d’avoir laissé le véritable Dieu.
Confusion mondiale, des dieux, et encore plus de dieux
Le monde est rempli de toutes sortes de faux dieux. C’est comme si l’humanité s’était réservé le meilleur de son pouvoir créatif pour l’invention de toutes sortes de faux dieux et de déesses, soit composés de matières physiques ou de concepts imaginaires de l’esprit. Les milliards d’êtres humains adorent littéralement des millions de faux dieux.
L’apôtre Paul exprime mieux cela comme il introduit le vrai Dieu de la Bible: “Car, s’il est des êtres qui sont appelés dieux, soit dans le ciel, soit sur la terre, comme il existe réellement plusieurs dieux et plusieurs seigneurs, néanmoins pour nous il n’y a qu’un seul Dieu, le Père, de qui viennent toutes choses et pour qui nous sommes, et un seul Seigneur, Jésus Christ, par qui sont toutes choses et par qui nous sommes. Mais cette connaissance n’est pas chez tous. (I Cor. 8:5-7).
Les Romains adoraient une multitude de dieux et de déesses auxquels ils leurs construisaient des temples. Mais il est reconnu que les anciens Grecs adoraient plus de 30,000 dieux. Les Hindoux d’aujourd’hui en ont environ 5 million, incluant leur propre trinité consistant en Sheva, Brahma and Vishnu! Bien entendu, les Égyptiens, comme l’ont fait d’autres civilisations, ont aussi eu leur propre trinité: Osiris, Horus et Isis. Et puis, il y a: Tao, Confucius, Buddha, Allah et une armée d’autres dieux et de déesses et d’idoles adorés aujourd’hui, incluant des totems, des serpents, des animaux et des poissons, des volcans et des montagnes, du feu, le vent, des rochers, le lune et le soleil, les planètes, les étoiles, et même des être humains qui sont considérés divins. Il y a aussi les concepts métaphysiques de dieux adorés dans l’esprit, quelques uns d’eux décrits par des artistes. Cela décrit leurs trinités.
La grande majorité ne sont probablement pas au courant de cela, mais ils croient à la théorie de trois personnes en une, du Dieu de la Chrétienté moderne, plus qu’en n’importe quel autre dieu.
Le Dieu inconnu
À ce point, nous devons regarder à un plus long et fascinant passage qui illustre comment l’humanité superstitieuse adorerait presque n’importe quoi, incluant l’adoration de nombreux dieux en même temps pour éviter de possibles offenses à quelconque dieux dont ils auraient pu oubliés. Ce récit dépeint une étonnante image. Prenez soigneusement note de la dernière phrase. L’histoire du livre des Actes affiche Paul à Athènes:
“Paul, debout au milieu de l’Aréopage, dit: Hommes Athéniens, je vous trouve à tous égards extrêmement religieux. Car, en parcourant votre ville et en considérant les objets de votre dévotion [dieux], j’ai même trouvé un autel avec cette inscription: À UN DIEU INCONNU! Ce que vous révérez sans le connaitre, c’est ce que je vous annonce. Le Dieu qui a fait le monde et tout ce qui s’y trouve, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n’habite point dans des temples faits de mains d’hommes; il n’est point servi par des mains humaines, come s’Il avait besoin de quoi que ce soit, Lui qui donne à tous la vie, la respiration, et toutes choses. Il a fait que tous les hommes, sortis d’un seul sang, habitassent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure; Il a voulu qu’ils cherchassent le Seigneur, et qu’ils s’efforçassent de le trouver en tâtonnant, bien qu’Il ne soit pas loin de chacun de nous, car en Lui nous avons la vie, le mouvement, et l’être. C’est ce qu’ont dit aussi quelques uns de vos poètes; de Lui nous sommes la race…Ainsi donc, étant la race de Dieu, nous ne devons pas croire que la divinité soit semblable à de l’or, à de l’argent, ou à de la pierre, sculptés par l’art et l’industrie de l’homme. Dieu, sans tenir compte des temps d’ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils aient à se repentir” (Actes 17:22-30).
Notez la référence de Paul: “À UN DIEU INCONNU!” (Aussi trouvée en lettres capitales dans la King James Version de la Bible). Dieu devait Se révéler aux Grecs superstitieux par Paul. Ils avaient incrusté une inscription qui “n’oubliait personne”, même pour inclure un autre dieu inconnu de leurs “dévotions.” Paul prit note de la manière qu’ils s’étaient protégés dans leur détermination de ne rien laisser derrière, dans leur adoration pour chaque déité. Mais, ils ne s’étaient pas “efforcer” de “chercher diligemment” le vrai Dieu, ni de Le trouver.”
Le Roi Salomon enregistra qu’il n’y avait “rien de nouveau sous le soleil” (Ecc. 1:9). Réellement, le Dieu de la Bible était inconnu à des millions de gens qui étaient finalement contents et heureux d’adorer un dieu choisi pour eux par des hommes! Les théologiens et les fanatiques religieux ont cherché les opinions des philosophes, des érudits et des supposés experts, au lieu de la plus importante opinion, celle de Dieu, trouvée dans Sa Parole. Nous verrons qu’il y a des siècles, ces leaders religieux rapportèrent leurs trouvailles aux masses qui étaient simplement trop heureuses d’avaler ce qui leur était présenté, la trinité! Sans preuves.
Le Dieu qui est vivant
Ultimement, nous demandons: Quelle est la différence entre le Dieu de la Bible et les autres dieux? Comment Dieu Se différencie-t-il Lui-même des autres?
À travers les écritures, Dieu Se décrit Lui-même encore et encore comme “le Dieu vivant”, “l’Éternel”, “JE SUIS CE QUE JE SUIS” (le nom dans Exode 3:14 que Moïse fut ordonné par Dieu à employer lorsqu’il Le représentait à/devant Pharaon). En d’autres mots, le Dieu de la Bible établit qui, Il est et Se sépare de tous les autres dieux en déclarant être vivant! VIVANT! Signifiant que tous les autres dieux n’existaient pas, ou, qu’ils étaient “morts.” En effet, formulé autrement, le vrai Dieu déclare: “JE SUIS,” voulant dire que les autres dieux “ne sont pas”, point.
Il est vital que le lecteur se demande continuellement s’il ou elle adore le seul et vrai Dieu, le Dieu qui est vivant, ou quelque chose de non-existant, et de “mort,” un dieu qui n’est pas! Cette question dépasse toutes les autres présentées dans ce livre.
L’idolâtrie en perspective
Sans l’Esprit de Dieu, l’esprit humain dans les êtres humains, est naturellement incliné à adorer les images, simplement parce qu’ils sont physiques. Quelqu’un qui brise le Premier Commandement brisera éventuellement le Deuxième Commandement.
Satan le diable a capitalisé sur cela. Il sait que briser ce Commandement conduit à en briser un autre. Par exemple, dans chaque religion païenne, l’adultère, la violation du Septième Commandement, faisait parti du rituel d’adoration.
Un vrai adorateur de Dieu ne cherchera pas ou n’aura pas besoin d’une image pour lui aider à adorer: “Mais l’heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui L’adorent, L’adorent en esprit et en vérité” (Jean 4:23-24). C’est la seule forme d’adoration et de louange que Dieu accepte.
Oui, mais…?
Cette fois, nous demandons: Qu’arriverait-il si tout le monde observerait le Deuxième Commandement? Pas seulement les adorations d’images cesseraient, mais, il y aurait un effet d’entrainement. Les malédictions qui sont actuellement sur toute l’humanité cesseraient d’exister. Toutes les dénominations de la fausse Chrétienté cesseraient leur adoration d’images et de statues. Virtuellement, toutes les autres religions de ce monde perdraient leur attraction. Par exemple, quels impacts le Bouddhisme aurait sur ses croyants, adeptes sans les statues de Bouddha? Le monde avancerait d’un grand pas de géant vers le véritable Dieu.