Bien qu’enseignée universellement, l’évolution repose sur plusieurs suppositions. Nombre de scientifiques remettent en question sa validité. D’autres la considèrent comme un fait. Quels sont réellement les faits — la vérité — au sujet de cette « science »?
L’origine de la vie est depuis longtemps un sujet qui a été inutilement compliqué. Afin de mieux vous aider à le comprendre, cette publication a été divisée en trois sections. Ensemble, elles constituent une démonstration concluante de ce qu’est la théorie de l’évolution et traitent des faits et des erreurs qui l’entourent.
La première partie explique les suppositions qui constituent le fondement de cette théorie. Ensuite, nous pouvons lire quatre articles spectaculaires avançant des preuves solides en faveur de la création. Finalement, nous concluons par une brève section qui explique quelles sont les implications de ce que vous venez de lire, et du choix auquel vous avez à faire face. Nous vous recommandons de lire ces sections dans l’ordre où elles sont présentées. Votre conception, et votre compréhension, du fondement du monde dans lequel vous vivez ne sera plus jamais le même.
L’évolution a été appelée le fondement de plusieurs champs d’études scientifiques. Que ce soit en biologie ou en biochimie, le monde scientifique appuie un grand nombre de ses concepts et de ses idées sur la théorie de l’évolution.
Mais comment l’évolution a-t-elle pu s’établir si solidement alors qu’elle n’est qu’une théorie? C’est certainement parce qu’elle possède un fondement solide et prouvé. Mais est-ce bien le cas?
Pendant votre lecture, vous trouverez peut-être que certaines parties de cette publication sont déroutantes ou difficiles à comprendre. Ne vous y trompez pas, le raisonnement inventé pour soutenir l’évolution est déroutant et compliqué, au point d’en être ennuyant. Les faits sont ignorés et le langage savant utilisé par les évolutionnistes empêche la majorité d’étudier le sujet en détail. Dans leur frustration, la plus grande partie des gens présument que l’évolution est vraie.
Toutefois, ce sujet est un véritable défi à la logique. Il est donc normal de s’attendre à ce que vous vous égariez périodiquement.
Nous allons démystifier le sujet. Après avoir terminé cette brochure, vous saurez si l’évolution est un fait ou de la science-fiction. Vous allez voir des théories convolutées, et illogiques, expliquées d’une façon simple comme jamais auparavant. Bien que certaines parties soient plutôt techniques, plus vous comprendrez de choses au sujet de l’évolution, plus vous pourrez percer l’écran de fumée derrière lequel elle se cache. Bien qu’elle ait l’air compliquée, elle s’écroule aisément devant la simple logique.
La clarté proviendra de la compréhension de ce que l’évolution n’est pas. La réfutation de l’évolution vous permet d’ouvrir la porte sur ce qu’est RÉELLEMENT L’ORIGINE DE L’UNIVERS!
Mais avant de montrer ce qui s’est réellement passé, nous devons d’abord prouver ce qui ne s’est pas passé.
Même un survol de ce sujet montre qu’il est toujours fortement contesté. Il a été l’objet de beaucoup d’études depuis plusieurs décennies. Le meilleur résumé qu’on puisse en faire est une citation de feu Colin Patterson l’expert mondial le plus réputé en fossiles: « Un matin je me suis éveillé. Quelque chose s’était passé pendant la nuit et j’ai été frappé par le fait que j’avais travaillé sur cette matière (l’évolution) pendant vingt ans et il n’y avait pas une seule chose que je connaissais à son sujet ». (Partout c’est nous qui traduisons)
Il mentionna ses préoccupations à son personnel en géologie au Field Museum of Natural History ainsi qu’au Evolutionary Morphology Seminar de l’université de Chicago, en disant: « Pouvez-vous me dire une seule chose au sujet de l’évolution, une seule qui soit vraie? » À chaque occasion, il rencontrait un silence presque complet.
Le seul commentaire vint d’un participant au séminaire sur la morphologie évolutionniste qui dit: « Je sais une chose, cela ne devrait pas être enseigné dans les écoles secondaires ».
Ceci entraîna le commentaire suivant de M. Patterson, « Il semble que le niveau de connaissance de l’évolution est remarquablement superficiel. Nous savons qu’elle ne devrait pas être enseignée au secondaire et c’est tout ce que nous savons à son sujet ».
Mais quels sont les FAITS RÉELS au sujet de l’évolution? Que savons-nous vraiment? Quelle est la base de son acceptation quasi universelle? Nous allons couvrir en détail les faits, les mythes et les suppositions qui constituent la charpente de la théorie de l’évolution. Vous serez étonnés de ce que révèlent les preuves.
La science de la logique.
Dans le domaine de la science, la logique est fondamentale pour interpréter les résultats. Avant de nous plonger dans les données brutes sur l’évolution, il est important que nous comprenions quelques-unes des méthodes utilisées pour l’expliquer. Les règles de la logique sont incontournables et, par extension, les sophismes (faux raisonnements) ne devraient jamais être utilisés.
Ce sont ces sophismes qui mélangent les cartes et qui laissent le grand public incertain vis-à-vis de ce qui est en train d’être expliqué. Une logique simple et claire ne devrait jamais provoquer la confusion. Une fois averti de ces sophismes, vous commencez aussi à voir jusqu’à quel point ils sont utilisés dans d’autres domaines, celui de la publicité, par exemple. Les exemples suivants illustrent les sophismes couramment utilisés en science. Veuillez les conserver en mémoire en lisant cette brochure.
Généralisation hâtive:Ceci se produit lorsqu’un petit échantillonnage de données est utilisé pour « prouver » une conclusion plus générale. À titre d’exemple, un détaillant automobile n’a pas d’autre chose que des voitures rouges, ce serait faire une généralisation hâtive que de conclure que toutes les voitures, partout, sont rouges.
Éluder la question:on peut aussi dire que c’est utiliser une logique circulaire. Lorsqu’une supposition ou une conclusion non prouvée est utilisée pour valider une prémisse, on dit que c’est éluder la question. Autrement dit, il n’y a pas de faits solides pour soutenir la prémisse, car elle est basée sur des suppositions.
Abus d’autorité:Lorsqu’on désigne un groupe « d’experts » pour valider une conclusion, même si ce groupe n’est pas d’accord avec celle-ci. Un exemple à cet effet serait de dire que tous les dentistes préfèrent un certain dentifrice et cela sans n’avoir jamais fait de sondage approprié.
Appel à la popularité (ou sophisme démagogique): Utiliser le grand public pour établir une chose comme un fait, au lieu de se baser sur des preuves pertinentes.
Argumentation futuriste:C’est dire qu’une chose n’est pas encore vraie, mais qu’elle le sera si des études et des recherches suffisantes sont faites.
Hypothèse contraire aux faits:Tenter de prouver un point en créant une hypothèse qui a déjà été prouvée fausse. À titre d’exemple, dire que le ciel est vert alors qu’en réalité, cela n’est pas vrai.
Snobisme chronologique:C’est le sophisme qui veut qu’un point soit réfuté ou prouvé en disant que la preuve est tellement ancienne qu’il est impossible de la vérifier ou de la prouver.
Ce n’est qu’un échantillon des erreurs de logique décrites dans le livre de A. J. Hoover intitulé Don’t You Believe It. Nous y reviendrons lorsque nous les rencontrerons dans le texte. Il est surprenant de constater combien sont utilisées par les scientifiques lorsqu’ils essaient d’expliquer le sujet de l’évolution, sujet que plusieurs croient déjà être prouvé!
De cause à effet — Une loi scientifique.
Il existe une grande loi qui gouverne tout l’univers. Elle est tellement élémentaire que vous l’appliquez sans même vous rendre compte. Tous l’utilisent ou sont influencés par elle, que ce soit en affaires ou dans la vie courante. Il s’agit de la loi de cause à effet.
Si une balle vous échappe, elle tombe sur le sol. L’effet est la chute de la balle sur le sol; la cause est la gravité. Si vous êtes mouillé suite à un saut dans une piscine, l’effet est d’être mouillé, la cause est avoir sauté dans la piscine. Comme vous pouvez le constater, la « cause à effet » n’est que du gros bon sens.
Cette compréhension est si universelle qu’elle s’est vue attribuer le statut de loi scientifique. Pour pouvoir être établie en tant que loi scientifique, elle a dû subir un examen scientifique minutieux. Cela a permis de démontrer la nature fondamentale de la relation de cause à effet. Une partie de la définition de cette loi stipule que vous ne pouvez jamais avoir un effet plus grand que sa cause.
Cet aspect de la loi de cause à effet est en accord avec une loi d’une autre branche de la science, la thermodynamique. Cette dernière est l’étude de la dynamique de la chaleur. Elle est constituée de trois lois fondamentales auxquelles sont soumis TOUS les autres domaines des sciences. La seconde loi de la thermodynamique est directement reliée à la loi de cause à effet. On peut la résumer en disant que toutes choses tendent vers le désordre, ou que cette condition, appelée entropie, ne cesse d’augmenter. Considérez les exemples suivants:
Si nous chauffons de l’eau à 65°C sur une cuisinière et que le courant soit interrompu, la température va descendre et non monter. Elle tendra vers le froid et non vers une température plus chaude. Si vous faites tourner une toupie, après un certain temps, elle va cesser de tourner. Pendant le processus, l’énergie utilisée pour accomplir une tâche, passe d’un niveau utilisable à celui d’inutilisable. Cela se déroule toujours à partir d’un niveau d’énergie élevé vers celui d’un niveau plus bas, où il y a toujours de moins en moins d’énergie utilisable disponible.
Ceci est étroitement lié à la loi de cause à effet. Les lois scientifiques ne peuvent être violées et ne se contrediront pas non plus. En sciences, en nous basant sur la seconde loi de la thermodynamique, nous savons que chaque cause va créer un effet de niveau énergétique plus bas. Comment une forme de vie plus avancée — l’effet — provient-elle d’une forme de vie plus simple — la cause? Ainsi commence le dilemme de l’évolution.
Qu’est-ce que l’évolution?
La question de l’évolution, en soi, apparaît sous différentes formes et définitions. Dans sa forme la plus fondamentale, elle est une idée personnelle de Charles Darwin. Dans son livre L’Origine des espèces, Darwin a postulé que toutes les créatures vivantes et, par conséquent, la matière provenaient de formes et substances plus simples. L’exemple que vous entendez le plus souvent est que l’homme descend du singe. L’évolution prétend que la vie est arrivée par accident, par chance, et qu’il n’y a aucune trace d’une conception par un être intelligent.
Toutefois, même parmi les évolutionnistes, la portée de l’évolution est largement contestée. Il existe six domaines dans lesquels l’évolution peut-être définie: le cosmique, le chimique, l’astronomique, l’organique et le domaine de la micro et la macroévolution.
L’évolution cosmiquetraite de l’origine de l’univers, c’est-à-dire du temps et de l’espace. La théorie du Big Bang tombe dans ce champ de l’évolution.
L’évolution chimiquetraite de l’origine des éléments complexes. Cette discipline tente également d’expliquer le processus par lequel ces éléments se sont formés.
L’évolution astronomiqueest la discipline qui veut expliquer l’origine des étoiles et des planètes. Elle est distincte de l’évolution cosmique bien qu’elle la chevauche parfois.
L’évolution organique tente d’expliquer l’origine de la matière vivante. Ceux qui étudient les origines de la vie sont concentrés dans ce secteur de l’évolution.
Les deux disciplines restantes de l’évolution sont celles qui troublent le plus souvent les gens. Il s’agit de la macroévolution et de la microévolution. La microévolution dit que tous les organismes vivants subissent des mutations et ont la capacité de développer des adaptations génétiques. La différence entre la microévolution et la macroévolution est que la première traite des phénomènes qui ne se situent qu’à l’intérieur d’une espèce donnée. La macroévolution, par contre, affirme que de telles mutations et adaptations permettent à de nouvelles espèces de se former.
Ceci peut vous sembler compliqué, mais c’est parce que ça l’est! Très souvent les évolutionnistes eux-mêmes sont incapables de préciser exactement où commence une discipline en particulier et où elle finit. Ceci a entraîné beaucoup de confusion dans le grand public quant à savoir quelle recherche et quelles preuves sont en relation avec tel ou tel autre champ en particulier de l’évolution.
Par exemple, il y a de nombreuses preuves que la microévolution se produit constamment autour de nous. Lorsqu’un virus devient résistant aux antibiotiques, il prouve la microévolution. Souvent, cette preuve est utilisée afin de « prouver » la macroévolution. Une telle chose serait un exemple parfait d’une généralisation hâtive.
Ceci a causé beaucoup de confusion chez le public et conduit à plusieurs débats houleux entre les évolutionnistes. Toutefois, les problèmes de l’évolution sont encore beaucoup plus profonds. Vous vous souvenez du sophisme appelé « éluder la question ». Le coeur de l’évolution est basé sur ce sophisme. Plusieurs des piliers de l’évolution sont basés sur des suppositions. Ces dernières sont ensuite utilisées afin de développer et prouver d’autres aspects de la théorie. Nous le répétons, celles-ci ne font qu’éluder la question.
Donc, si on peut démontrer qu’un seul aspect de ces « piliers » de l’évolution est une supposition improuvable, aucun ne pourra servir de fondement à des conclusions. Nous allons étudier ces piliers fondamentaux de la théorie de l’évolution. La majorité de ceux-ci sont d’une importance si capitale que d’en démontrer la fausseté entraînera l’effondrement de toute la théorie.
En couvrant chacun des points, nous soulignerons aussi le sophisme utilisé. Vous serez étonnés de la « science » utilisée pour soutenir cette théorie universellement acceptée.
L’Évolution: Ni théorie, ni réalité?
La première supposition est de référer à la théorie comme étant un fait scientifique vérifié et prouvé, essentiellement, affirmer que l’évolution est un fait. La certitude avec laquelle ces déclarations sont faites laisse croire à la majorité que ceux qui les font peuvent fournir les preuves de ce qu’ils avancent. Une telle affirmation faite par Theodosius Dobzhansky dans son livre intitulé The Biological Basis of Human Freedom illustre bien ce que nous voulons dire: « L’évolution en tant que fait historique a été prouvée à l’exclusion de tout doute raisonnable dès les dernières décennies du XIXe siècle », (C’est nous qui traduisons).
Une telle assurance parmi les spécialistes de l’évolution a fait en sorte que la plupart de nos écoles en Amérique du Nord ont enseigné l’évolution comme un « fait historique ».
Mais ce ne sont pas tous les évolutionnistes qui sont d’accord avec cette conclusion. « Quelle a été l’origine ultime de l’homme? Malheureusement, toutes les réponses qui peuvent être fournies aujourd’hui à ces questions sont basées sur des preuves indirectes et de ce fait ne sont en GRANDE PARTIE que CONJECTURALES », (W. LeGros Clark, 1955, c’est nous qui soulignons partout).
Certains évolutionnistes contemporains font aussi des déclarations semblables. Pierre-Paul Grassé, un géologue de renommée mondiale et ancien président de l’Académie des Sciences, a dit: « Nonobstant les succès des biologistes, des philosophes et des sociologues, les doctrines avancées pour expliquer l’évolution biologique ne peuvent résister à une critique objective en profondeur. Elles se révèlent soit en conflit avec la réalité ou encore incapables de résoudre les problèmes majeurs soulevés ». (The Evolution of Living Organisms, 1977).
Bien que ces citations soient claires, nous n’essayons pas dans cette première affirmation, de discréditer l’évolution, mais seulement montrer qu’elle n’est pas un fait vérifié et prouvé. Un fait scientifique est défini comme une « observation qui a été confirmée de façon répétée et acceptée comme véridique ». Selon les citations ci-dessus, nous constatons que les observations et les « tests » faits laissent place à des désaccords entre les évolutionnistes eux-mêmes, certains n’ayant pas accepté l’évolution comme véridique.
Comment de telles opinions divergentes peuvent-elles exister et permettre à certains de considérer l’évolution comme un fait? La réponse est claire. L’évolution n’a pas été prouvée suffisamment à l’intérieur même de la communauté scientifique pour être considérée comme un fait!
De plus, selon les véritables standards scientifiques, peut-on dire que l’évolution soit même une théorie? Une théorie scientifique est définie comme « pouvant expliquer les observations scientifiques; les théories doivent également pouvoir être réfutées ».
Ce que cela signifie est que pour être admise comme théorie scientifique valide, il doit exister un test qui peut prouver qu’elle est vraie ou fausse. Sans soumettre la théorie à ce test, personne ne peut prouver qu’elle soit l’un ou l’autre.
Par exemple, on peut observer un coucher de soleil orangé et émettre l’hypothèse que le Soleil est toujours orangé. Il existe un moyen de prouver ou réfuter cette théorie en en faisant ainsi une théorie valable. Bien entendu, si elle est mise en défaut, elle ne devra plus être considérée comme une théorie valide. Dans le cas présent, si on continue de surveiller le ciel, on verra les changements de couleur.
Si les mêmes normes sont appliquées à la théorie de l’évolution, elle doit pouvoir remplir ces deux conditions. Elle doit pouvoir être observable et être mise à l’épreuve. Parce qu’il n’y a aucun exemple de macroévolution d’enregistré, la première condition n’est pas remplie. Les partisans de cette théorie affirment que les principaux changements évolutifs sont survenus il y a des millions d’années. Les événements passés ne peuvent être testés ce qui fait que l’évolution ne peut être réfutée scientifiquement.
Rappelez-vous les sophismes mentionnés au tout début. Lorsqu’on utilise une date très ancienne afin de prouver un point, nous sommes en présence d’un snobisme chronologique. Ne vous y méprenez pas, les évolutionnistes savent très bien qu’ils ne font affaire ni avec des faits historiques ou ni avec une théorie. Ils doivent donc se résoudre à utiliser des sophismes afin de valider leurs prétentions.
Ceci est bien décrit par le Dr Michael Denton, un évolutionniste renommé: « Sa théorie [celle de Darwin] générale que toute vie sur la Terre a eu son origine dans l’accumulation graduelle de mutations aléatoires successives, est toujours, tout comme elle l’était du temps de Darwin, une hypothèse hautement spéculative, sans aucun soutien factuel et très éloignée de l’axiome que ses adeptes les plus farouches voudraient nous acceptions ».
Comme nous venons de le voir, l’évolution est loin d’être un fait. Elle n’est même pas une théorie scientifique. Comme le Dr Denton le dit, elle n’est rien d’autre qu’une « hypothèse hautement spéculative ». Pouvez-vous imaginer qu’une chose contestée à ce point, même par ceux qui professent y croire, puisse être enseignée comme un fait dans nos écoles? On peut se demander, si ce n’est ni un fait, ni une théorie, alors qu’a-t-elle de scientifique?
Les survivants survivent.
Un des concepts de base de la théorie de l’évolution est la « survie des mieux adaptés ». Autrement dit, la nature sélectionne les espèces qui sont les plus capables de s’adapter afin qu’ils produisent des descendants et qu’ainsi l’espèce survive.
À consonance logique, cette théorie est enseignée dans les écoles à l’échelle mondiale. Si vous avez lu nos publications, vous avez commencé à comprendre qu’il faut toujours PROUVER ce qui est présenté comme vrai.
Voyez: « Dans le passé, tout était très simple. La nature récompensait les mieux adaptés avec la carotte de la survie et punissait les moins adaptés avec le bâton de l’extinction. Les problèmes ont commencé lorsqu’est venu le temps de définir l’adaptation. Donc la sélection naturelle s’assure de la survie des mieux adaptés, et ces derniers sont ceux qui ont le plus haut taux de reproduction. Nous sommes piégés dans un raisonnement circulaire qui élude totalement la question sur ce qui fait que l’évolution évolue » (Arthur Koestler, Janus: A Summing Up).
En d’autres mots, les mieux adaptés sont ceux qui survivent et ceux qui survivent sont ceux qui sont les mieux adaptés. De la logique circulaire! Les évolutionnistes ont présumé que parce qu’une espèce survit, elle est la mieux adaptée. Vous commencez peut-être à constater pourquoi il est important de comprendre les sophismes. La théorie de l’évolution en est remplie.
La théorie de la « survie des mieux adaptés » est ce qu’on appelle une « tautologie », une façon de répéter la même chose. Par exemple. « les survivants survivent », « l’eau est mouillée », la « matière est matérielle », etc. De tels énoncés ne prouvent rien car ils ne sont rien d’autre que des truismes.
Pourtant, même avec de telles informations, les évolutionnistes ignorent sciemment les faits: « La majorité des biologistes évolutionnistes ne semblent pas préoccupés par ces accusations et ne font que peu d’effort pour résoudre la tautologie. En ce qui concerne les autres, ils avouent simplement le fait. Pour ceux-là, la sélection naturelle est une tautologie qui établit une relation jusqu’ici inconnue: les mieux adaptés, (définis comme étant ceux qui ont le plus grand nombre de descendants), auront le plus grand nombre de descendants ».
« Ce qui est le plus inquiétant, c’est que les biologistes évolutionnistes n’ont aucun scrupule à proposer de telles tautologies comme explications. On rejetterait immédiatement tout lexicographe qui tenterait de définir un mot à l’aide du même mot ou un penseur qui ne ferait que répéter son énoncé ou toute autre situation où il n’y aurait que vaine répétition et pourtant, personne ne semble scandalisé que des hommes de sciences basent leur raisonnement sur un principe qui n’est rien d’autre qu’une tautologie ». (G.A. Peseley, The Epistemological Status of Natural Selection. Partout c’est nous qui traduisons).
Mais certains scientifiques pourraient s’objecter et dire, « nous avons vu la sélection naturelle. Elle est là partout quotidiennement. Cette théorie est prouvable! ». L’est-elle vraiment? Ces scientifiques disent que la sélection naturelle élimine les non adaptés. Mais elle ne crée pas de nouveaux attributs chez une espèce, et d’ailleurs, ne crée pas de nouvelle espèce. Pour que l’évolution soit valable, de meilleures créatures, plus avancées, devraient pouvoir survivre nous conduisant ainsi à l’apparition de nouvelles espèces.
Un botaniste hollandais renommé a expliqué le problème de la façon suivante: « La sélection naturelle peut sans doute expliquer la survie des mieux adaptés, mais elle ne peut expliquer l’apparition des mieux adaptés ». (Hugo deVries, Species and Varieties: Their Origin by Mutation).
Étant donné que l’ensemble des systèmes de la nature sont bien équilibrés, il doit exister un mécanisme par lequel ces systèmes sont maintenus en équilibre. La sélection naturelle est donc très efficace pour éliminer les moins bien adaptés à l’intérieur d’une espèce. On voit cela par l’attaque instinctive du lion sur le zèbre le plus faible du troupeau. Le troupeau demeure en santé parce que les faibles sont enlevés.
Il est intéressant de noter que la notion de sélection naturelle ne sort pas de l’esprit de Charles Darwin. En fait, elle a fait l’objet d’une publication 20 ans auparavant par le zoologiste/chimiste créationniste Edward Blyth. Darwin a modifié le concept du « processus naturel de sélection » en celui de « moyens naturels de sélection ». Il a changé une théorie comprise et acceptée en un truisme de logique circulaire.
Comme tous les truismes, le concept de la sélection naturelle essaie de tout expliquer, mais en réalité, n’explique rien. Bien qu’accepté erronément par plusieurs, cet aspect de l’évolution n’est rien d’autre qu’une déclaration redondante.
Un univers éternel.
Quelle que soit la façon dont la science tente de simplifier la théorie de l’évolution, elle sera toujours confrontée à l’obligation d’expliquer comment l’univers a commencé et quand cela s’est produit. Autrement dit, quelle en est l’origine?
Il n’y a que deux possibilités: (1) il est apparu à un certain moment, ou (2) il a toujours existé.
Ces deux idées nécessitent qu’on s’interroge. L’univers est-il éternel? S’est-il formé? Et, peut-on prouver l’un ou l’autre point?
Comme il nous est impossible de voyager dans le passé, vous pourriez penser qu’il est donc impossible de savoir si l’univers a eu un commencement. Or la matière possède une propriété extraordinaire. Elle se désintègre! En fait, tout est sur une voie de dégradation. Vous constatez ce principe à l’œuvre tout autour de vous. Si vous nettoyez votre maison, elle se retrouvera éventuellement en désordre. Même si vous n’y vivez pas, la poussière se formera et son état général va se dégrader. Vous maintenir en forme requiert du travail. Si vous cessez de faire de l’exercice et de manger correctement, vous allez rapidement perdre la forme.
Ce ne sont que des exemples de la vie de tous les jours de la seconde loi de la thermodynamique. Mais comment cela prouve-t-il que l’univers n’est pas éternel?
Avec l’arrivée de l’ère atomique, en commençant par la découverte du radium par Mme Curie en 1898, on apprit que tous les éléments radioactifs émettent constamment des radiations. Réfléchissez! L’uranium a un poids atomique de 238 g. En se décomposant, il dégage trois atomes d’hélium. Chacun a un poids de 4 g. Rendu au poids de 226 g, c’est maintenant du radium. Ce dernier continue d’émettre d’autres particules jusqu’à ce qu’il devienne un élément inerte appelé plomb. Cela prend énormément de temps.
Qu’est-ce que cela signifie? Cela signifie qu’il y a eu dans le passé un moment où l’uranium n’existait pas (encore) puisqu’il se désintègre d’une manière systématique et contrôlée. Il n’est pas stable comme l’est le plomb ou d’autres éléments. Il se décompose continuellement. Cela signifie aussi qu’il y a eu un moment dans le temps où tous les éléments radioactifs sont venus à l’existence. Rappelez-vous, aucun d’entre eux — l’uranium, le radium, le thorium, le radon, le polonium, le francium, le protactinium et les autres — n’a existé de toute éternité.
C’est la seconde loi de la thermodynamique à l’œuvre. Comme le disait Henry Moore, « La seconde loi de la thermodynamique exige un début pour l’univers » (Scientific Creationism). Et cela constitue la preuve absolue que l’univers a vu le jour, en d’autres mots, que l’univers n’est pas éternel! Il ne reste donc qu’une seule autre possibilité. À un certain moment dans le passé, quelque chose — ou quelqu’un — a été la cause de la venue à l’existence de l’univers.
Ceci nous ramène au concept de cause à effet. Ici, l’effet, c’est l’univers, mais quelle est la CAUSE? Nous avons vu que tout effet doit être moindre que sa cause. Donc, aussi vaste que puisse être l’univers, il a fallu quelque chose de plus grand pour le « causer ». Ceci est en concordance avec les lois scientifiques dont nous avons déjà parlé.
Bien entendu, les scientifiques en sont aussi venus aux mêmes conclusions — l’univers n’est pas éternel et il faut une « cause première ». En voulant ignorer la véritable cause première, ils essaient d’expliquer l’univers de plusieurs autres façons. La plus commune d’entre elles est connue sous le nom de « théorie du Big Bang ».
Le Big Bang, un « gros canular »?
Au cœur même de la théorie du Big Bang, nous retrouvons l’affirmation qu’un événement particulier a causé l’apparition de la matière et que notre univers moderne est en expansion depuis ce moment. Après la théorie du Big Bang, une autre prend la relève. Le « modèle inflationnaire » a été conçu afin d’expliquer comment un événement unique a été la cause de l’univers en expansion que nous voyons aujourd’hui.
Toutefois, les deux concepts contreviennent aux lois de la science. Comme nous l’avons vu, la seconde loi de la thermodynamique prévoit que l’énergie se transforme toujours vers un état de plus en plus chaotique — c’est-à-dire, de moins en moins utilisable — et non vers un univers plus complexe et organisé. Or ce FAIT est totalement ignoré!
Mais il existe un problème encore plus important; la première loi de la thermodynamique, appelée souvent la loi de la conservation de l’énergie. Elle est apprise par les étudiants au secondaire en tant que loi scientifique fondamentale. Elle dit que l’énergie ne peut être créée ou détruite, mais peut seulement changer de forme.
Elle aussi bat en brèche la théorie du Big Bang! Si l’énergie ne peut être créée alors une chose ne peut certainement pas provenir de rien. Les évolutionnistes aussi comprennent très bien ce problème. On tentera souvent de détourner l’attention du manque d’explication pour l’apparition de la matière en essayant plutôt d’expliquer comment l’univers a « crû ». En regroupant la création initiale de la matière avec l’expansion de l’univers, les scientifiques ont introduit toute une série d’artifices, seul moyen pour eux d’expliquer les différents aspects de l’évolution
Plusieurs scientifiques, comme Alan Guth, ont aussi soulevé ce qui suit : « En premier lieu, je dirai que d’un point de vue purement technique, l’inflation n’explique pas comment l’univers est venu à l’existence à partir de rien… L’inflation ne fait que prendre un petit univers pour en produire un très grand. Mais l’inflation en elle-même n’explique pas l’origine de ce petit univers (Fred, Heerren, Show Me God). Une telle supercherie est enseignée dans les écoles comme un fait accompli.
Un des plus grands cerveaux de mathématicien moderne a fermé la porte au modèle inflationnaire: « Le nouveau modèle inflationnaire fut une bonne tentative d’expliquer pourquoi l’univers est tel que nous le connaissons… Mon opinion est que le nouveau modèle inflationnaire est mort comme théorie scientifique, bien que nombre de gens semblent ne pas avoir entendu parler de son sort et continuent à publier sur le sujet comme s’il était viable. » (Stephen W. Hawking, Une brève histoire du temps — C’est nous qui traduisons).
Comme c’est le cas avec plusieurs aspects de l’évolution, même s’ils ont été réfutés parce qu’inexacts, ils continuent d’être enseignés comme s’ils étaient des faits. Les artifices continuent!
On change les règles?
Comme nous l’avons vu, il est impossible que l’univers ne provienne de « rien », est-il possible d’expliquer son existence? La création de l’univers doit-elle suivre les lois de la science?
Tous les parents ont la responsabilité d’établir des règles dans leur maison. Ils peuvent en tout temps modifier ces règles. Ils ont l’autorité de modifier, d’ajuster et même d’éliminer ces règles. L’enfant qui vit dans cette maison doit continuer à vivre à l’intérieur des limites imposées par ces règles, peu importe la façon dont elles ont été changées.
Il en est de même au sein de l’univers. En tant que Créateur de l’univers, Dieu en a établi les règles et Il a l’autorité pour les modifier. Lorsqu’il a créé l’univers et la matière, c’est à ce moment qu’il a établi les lois de la science.
Il est intéressant de noter que la première loi de la thermodynamique prouve que Dieu existait. Rappelez-vous que cette loi dit que quelque chose ne peut provenir de rien. La science a donc prouvé que si un Dieu éternel n’avait pas existé pour créer l’univers, alors il n’y aurait pas eu d’univers. Comme une chose ne peut provenir de rien, Dieu devait exister! Sans le vouloir, la science a fourni la preuve de l’existence de Dieu et réfuté, en même temps, l’évolution.
Le physicien Louis Neel, récipiendaire d’un prix Nobel, a déclaré : « Les progrès de la science, aussi merveilleux qu’ils soient… nous conduisent dans un cul-de-sac et illustrent notre incapacité à fournir une explication rationnelle de l’univers », et nous pourrions ajouter, une explication rationnelle pour les plantes, les animaux et les gens. Au lieu de rechercher la vérité de la création, la science a choisi la confusion, la tromperie et les suppositions. Cependant, VOUS pouvez maintenant démystifier deux autres des illusions de l’évolution.
Une pierre qui respire?
Est-il possible pour une pierre de prendre vie? Est-ce qu’un morceau de charbon peut devenir un poulet? Bien que de telles questions puissent sembler ridicules, c’est ce que l’évolution, pour l’essentiel, enseigne. Cette dernière existe ou est anéantie selon que la matière INANIMÉE peut être transformée ou non, par une série d’événements fortuits, en matière organique VIVANTE. Ce concept peut porter plusieurs noms dont « génération spontanée », « évolution chimique ». « abiogenèse» ou « biopoïèse ».
(Mais même pour les évolutionnistes, le sujet des origines de la vie demeure un sujet épineux. Plusieurs vont même jusqu’à affirmer que l’origine de la vie n’est pas reliée à l’évolution de la matière vivante).
L’évolutionniste de renommée mondiale Stephan Jay Gould a déclaré : « L’évolution ne consiste pas en l’étude des origines ultimes de la vie en tant que voie pour en discerner le sens le plus profond. L’évolution, en réalité, n’est pas du tout l’étude des origines. Même la question la plus restreinte (et scientifiquement acceptable) sur l’origine de la vie sur notre terre est hors de son domaine… L’évolution étudie les chemins et les mécanismes des changements organiques qui ont suivi l’origine de la vie » (“Justice Scalia’s Misunderstanding,” Natural History, October 1987).
Mais est-ce bien le cas? L’évolution est-elle bien circonscrite à la seule étude de la matière organique, vivante? Permettez au généticien Théodosius Dobzhansky de répondre : « L’évolution inclut toutes les étapes de développement de l’univers; le cosmique, le biologique et les développements humains et culturels. Les tentatives pour limiter l’évolution au domaine biologique sont injustifiées. La vie est le produit de l’évolution de la matière inorganique, et l’homme est le produit de l’évolution de la vie » (“Changing Man,” Science, janvier 1963).
Bien que l’argument avancé par M. Gould semble logique, si nous tentons de limiter l’évolution à la biologie, nous sommes « injustifiés » de le faire, et peut-être même mensongers. Si les évolutionnistes séparent l’évolution biologique des origines de la vie, ou même des origines de l’univers, ils ouvrent toute grande une porte à une question qui est totalement sans réponse : Comment les événements ont-ils « causé » l’apparition de l’univers, puis de la vie si l’évolution ne s’applique qu’à la vie? Comment la vie a-t-elle pu évoluer si elle n’a jamais existé? L’évolution doit s’étendre à l’ensemble du processus, depuis les débuts de l’univers jusqu’à la diversité des plantes, des animaux et de la vie humaine comme on la connaît sur Terre aujourd’hui. Aucun « artifice » à saveur scientifique ne pourra changer cela.
Réfléchissez! Pourquoi un évolutionniste si célèbre obscurcirait-il les faits et séparerait-il cette théorie si populaire des origines de la vie?
Des lois inviolables.
Au cœur même du débat sur les « origines de la vie », nous retrouvons une loi scientifique fondamentale, celle de la biogenèse. Elle stipule que la vie ne peut provenir que de la vie, qu’il n’y a que la matière vivante capable de produire de la matière vivante. Commencez-vous à voir le problème inhérent à la théorie de l’évolution?
Cette loi est si fondamentale que le manuel scolaire de biologie de Simpson’s et Beck intitulé La Vie : Une introduction à la biologie déclare, « On ne peut sérieusement douter que la biogenèse est la règle, que la vie ne vienne que de la vie, que la cellule, l’unité de base de la vie, soit toujours et seulement le produit ou le rejeton d’une autre cellule ».
De plus, Martin A. Moe, un rédacteur du Science Digest a récemment écrit. « Un siècle de découvertes sensationnelles dans les sciences biologiques nous a enseigné que la vie ne provient que de la vie… » (“Genes on Ice,” décembre 1981).
Ce qui peut être la déclaration la plus puissante se retrouve dans un renvoi du manuel scolaire de biologie de Moore et Slusher : « Certains scientifiques appellent cette loi la superloi, ou la loi des lois. Quelle qu’en soit l’appellation, la biogenèse est au rang le plus élevé en matière de de généralisation » (Biology: A Search for Order in Complexity, 1974).
Voilà trois déclarations concluantes et irréfutables sur la force, la puissance de cette loi scientifique. Pourquoi donc les évolutionnistes tentent-ils de la contourner en tentant de prouver l’évolution? Vous commencez sans doute à comprendre pourquoi ils essaient de séparer les origines de la vie du processus de l’évolution.
Récemment, on a fait tout un brouhaha au sujet de scientifiques qui seraient capables de produire une version synthétique du virus de la polio. Certains diront, au moins en apparence, que l’homme a réussi à produire la vie à partir de matière synthétique inanimée. Mais est-ce bien vrai?
Ceci aussi n’est qu’un écran de fumée puisque les évolutionnistes admettent ouvertement que les virus, quelle que soit leur espèce, sont des organismes non vivants. Sans compter qu’il a fallu une conception soignée et volontaire pour les produire.
Comment les évolutionnistes expliquent-ils donc la vie sur terre?
Dans un pays très lointain!
Nous venons de voir qu’il est impossible que la vie se soit formée à partir de la matière inanimée. Il y a bien des évolutionnistes qui sont prêts à admettre que ce processus est « enveloppé de mystère ». Toutefois, dans un dernier effort pour redonner vie à une théorie en voie de disparition, ils ont dû se concentrer sur quelque chose d’autre. Si la biogenèse ne peut se produire sur la Terre, alors peut-être peut-elle se produire l’espace. Veuillez noter comment ce postulat s’éloigne de la science traditionnelle. De façon générale, lorsqu’une théorie est réfutée (exemple : la génération spontanée), elle est écartée et une autre théorie est mise de l’avant. Mais dans ce cas-ci, une nouvelle hypothèse est créée à cause du manque de preuves pour soutenir l’ancienne théorie. Et il en est ainsi avec de nombreux aspects de l’évolution. C’est un château de cartes!
Ces Spectaculaires Cellules.
Imaginez que vous avez passé trop de temps au soleil par une chaude journée d’été. Vous êtes peut-être légèrement rouge ou même fortement brûlé. Dans les jours qui vont suivre, un processus remarquable va avoir lieu alors que votre corps va se guérir de cette surexposition au soleil.
Sans doute avez-vous porté plus d’attention à ce processus si votre peau a pelé ou est devenue rouge et sensible. Mais voyez cela sous un autre angle; l’adaptation remarquable de la peau. Elle est en train, au moyen de plusieurs processus, de se débarrasser de ses cellules endommagées pour les remplacer par de nouvelles cellules en santé.
Tout votre corps — de la peau, en passant par les yeux, les organes et le cerveau, est constitué de cellules. En fait, votre corps est constitué de plus de 250 types de cellules comptant environ 100 trillions de cellules. Ces « petites manufactures » sont si efficaces qu’en sept ans votre corps les aura toutes remplacées. Chacun de ces 250 types de cellules a des formes, taille, densité et fonction variées.
Le fonctionnement interne de la cellule est quelque chose d’absolument fascinant. Vous devez considérer les cellules comme des usines miniaturisées, ce qu’elles sont en réalité! Les globules rouges par exemple sont 10 fois plus petits que l’épaisseur d’un cheveu humain. Malgré que chaque cellule soit microscopique, si vous placiez toutes les cellules de votre corps bout à bout, elles feraient le tour de la Terre 200 fois. Renversant!
Jusqu’à maintenant, nous n’avons parlé que de la taille des cellules et pas encore de leurs fonctions. Les cellules sont constituées principalement de trois parties : la membrane, le cytoplasme et le noyau.
La membrane entoure la cellule et a la capacité de reconnaître des centaines de substances. Elle agit comme « agent de circulation ». Elle contrôle ce qui entre la cellule et ce qui en est expulsé.
Le cytoplasme est le « secteur de fabrication » de l’usine au sein duquel nous retrouvons des milliers de machines appelées organelles. À chaque instant, il y a plus de 20 réactions chimiques différentes qui s’y déroulent dont certaines sont pour la communication et d’autres pour le nettoyage des déchets, la réparation, la nutrition et la reproduction. Il existe même un système de transport très élaboré pour les produits et les déchets.
Bien que tout ceci soit déjà remarquable, la cellule a d’autres choses d’encore plus extraordinaires. Toutes ces fonctions sont contrôlées par le « cerveau » de la cellule, le noyau. Ce dernier abrite toutes les informations dont la cellule a besoin pour se réparer et se reproduire. Celles-ci se retrouvent dans les chromosomes et les gènes constitués d’ADN (acide désoxyribonucléique).
Lorsque bien compris, l’ADN est une des créations les plus spectaculaires de l’univers. À l’âge où les ordinateurs deviennent de plus en plus petits, nous sommes souvent étonnés de voir à quel point certains bidules complexes ont pu être miniaturisés.
Malgré cela, ils ne font pas le poids lorsqu’on les compare à l’ADN.
Si vous transcriviez l’information génétique d’UNE seule personne sur papier, elle remplirait une encyclopédie de 300 volumes dont chacun aurait 2000 pages. L’ADN est emmagasiné d’une manière étonnamment efficace à l’intérieur d’une structure en colimaçon. Cela permet une telle conservation d’espace que, si vous dépliiez la spirale de n’importe quelle cellule humaine, elle aurait une longueur d’environ deux mètres. En fait, on a estimé que si vous placiez l’ensemble de l’ADN humain bout à bout, il ferait l’aller-retour au soleil 400 FOIS!
Malgré cela, toute l’information génétique nécessaire pour reproduire chacun des 6 milliards d’individus sur Terre aujourd’hui peut être contenue dans un espace de 0,8 cm carré.
Le noyau, la membrane cellulaire et toutes les « machines » du cytoplasme se retrouvent dans chaque cellule de votre corps. Prenez le temps de réfléchir et rappelez-vous que vous êtes fait de 100 trillions de cellules chacune possédant ces petites machines, ces usines et ces « superviseurs » qui sont constamment à l’œuvre et qui se reproduisent. En vérité, le corps humain est vraiment étonnant!
Voici un fait incroyable au sujet des plus grosses et plus petites cellules de notre corps. Elles sont en quelque sorte les « appuie-livres » de la création de la vie. La plus petite cellule est le spermatozoïde. À l’autre bout du spectre, nous retrouvons la cellule sexuelle femelle, l’ovule. La taille de toutes les cellules, c’est donc dire toute vie, tombe entre ces deux limites. Toutefois, pour que la vie apparaisse, ces deux cellules doivent se combiner. Il est tout de même intéressant que les deux cellules les plus importantes soient la plus petite et la plus grosse, toutes les autres se retrouvant entre les deux. Hasard ou volonté?
Source: ArtToday, Inc.
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Cette nouvelle hypothèse voudrait que les précurseurs chimiques dela vie proviennent de l’espace. Étonnamment, celle dernière gagne en popularité dans la communauté scientifique. Pour qu’elle soit valide, non seulement les précurseurs, qui pourraient être des acides aminés, devraient-ils résister au voyage spatial, mais encore pouvoir survivre à l’entrée dans l’atmosphère terrestre!
Il y a un point qui est rarement mentionné dans toutes ces discussions, c’est que toutes les formes de vie simples, tout comme la matière vivante, sont hautement instables. C’est ce que nous constatons partout autour de nous. Les plantes, les animaux et les gens meurent et se décomposent, alors que les roches durent pendant des millénaires.
Donc, ces formes de vie simples et hautement instables devraient survivre à leur éjection d’une planète éloignée, voyager à travers l’espace (tout en étant constamment bombardée par les rayons cosmiques mortels), soutenir la chaleur extrême de l’entrée dans l’atmosphère de la Terre et finalement, survivre à la force de l’impact avec la surface avec notre planète. Combien ridicule! Nul n’est besoin d’un diplôme en sciences pour voir jusqu’à quel point une telle théorie est tirée par les cheveux, et pourtant, aussi incroyable que cela puisse l’être, elle est envisagée comme une possibilité.
Toute cette hypothèse n’est rien d’autre qu’une tentative de contourner le vrai problème. On pourrait appeler cela « noyer le poisson ». Au lieu de faire face à la loi de la biogenèse qu’ils ne peuvent contourner, les évolutionnistes tentent de séduire les gens par un appel au grand inconnu de l’espace évitant ainsi le véritable problème.
La loi de la biogenèse est une loi UNIVERSELLE. Elle s’applique à l’ensemble de l’univers de la même façon qu’à la Terre. Voyager dans l’espace ne la fait pas disparaître.
Alors, quelle est la solution proposée par les évolutionnistes qui emploient ces méthodes ?
Ils appliquent le sophisme de l’argumentation futuriste (dont nous avons parlé dans la première partie). Ils disent qu’il est nécessaire que la science soit plus avancée pour être capable de découvrir les causes de la vie sur Terre.
C’est en quelque sorte une « non-réponse ». Ils évitent la question et ne fournissent aucune réponse valable, parce qu’ils n’en ont pas. Pendant tout ce temps, l’évolution est enseignée comme une réalité dans les écoles. De tels raisonnements ainsi que le manque de preuve sont les raisons pour lesquelles le Dr Louis Bounoure, Directeur du Musée zoologique et directeur de recherches au CNRS de France a dit : « L’évolution est un conte de fée pour adultes ».
Fermé ou ouvert, ça reste impossible.
Pour l’étape suivante, jouons à « supposons que ». Supposons que les hypothèses précédentes ne sont pas fausses, et qu’à un certain moment dans le futur nous découvrirons le moyen par lequel la matière vivante est venue à l’existence.
Évidemment, ceci est toute une supposition. Mais pour le plaisir de la chose, supposez qu’il fut un temps où il n’existait que des molécules simples du genre des acides aminés. Nous pouvons même étendre notre jeu un peu plus loin et supposer que ces acides aminés aient déjà formé des enzymes. Ici nous sommes trop généreux envers l’évolution, mais cela nous servira à prouver un point.
Nous sommes maintenant prêts à fracasser ce concept en faisant appel à nouveau aux lois scientifiques les plus fondamentales qui existent, celles de la thermodynamique. Albert Einstein les a appelées les lois primordiales de toutes les sciences. Sir Arthur Eddington a dit : « si votre théorie est à l’encontre de la seconde loi de la thermodynamique, je ne puis vous donner aucun espoir, il n’y a plus rien à faire pour elle si ce n’est que de s’effondrer dans l’humiliation la plus profonde » (The Nature of the Physical World).
Voilà des paroles très fortes de la part de deux scientifiques de renommée mondiale. D’autres auteurs ont écrit que plus vous travaillez avec ces lois, plus votre respect grandit à leur égard. De toute évidence, les lois de la thermodynamique sont immuables.
L’importance des lois de la thermodynamique dans toutes les disciplines scientifiques est évidente à la lumière des citations ci-dessus. Il est donc nécessaire, pour que l’évolution soit vraie qu’elle soit soumise à leur contrainte. De façon plus précise, elle doit être soumise à la deuxième loi de la thermodynamique.
Remonter la toupie?
Le terme thermodynamique vient de deux mots grecs, therme, qui signifie « chaleur » et dunamis, qui signifie « puissance ». Essentiellement, cela constitue l’étude de la « puissance de la chaleur ». La seconde loi de la thermodynamique affirme trois concepts de base : (1) les systèmes adoptent l’état le plus probable (2) les systèmes adopteront l’état le plus aléatoire et (3) l’entropie de tout système augmente (le terme scientifique pour l’énergie inutilisable).
La meilleure explication nous est donnée par le fameux écrivain scientifique Isaac Azimov: « Une autre façon d’exprimer la seconde Loi de la thermodynamique est : l’univers devient de plus en plus en désordre. Vue sous cet angle, nous pouvons voir la deuxième Loi tout autour de nous. Il nous faut fournir des efforts pour remettre notre chambre en ordre, mais laissée à elle-même elle redevient un fouillis très rapidement et très facilement. Même si nous n’y entrons pas, la poussière s’y accumule et elle sent le renfermé. Comme il est difficile de maintenir nos maisons, notre machinerie et nos propres corps en parfait ordre. Comme il est facile de les laisser se détériorer. En fait, nous n’avons qu’à ne rien faire et tout se détériore, s’effondre, se brise et s’use par lui-même — voilà ce qu’est la seconde Loi » (“In the Game of Energy and Thermodynamics You Can’t Even Break Even,” Smithsonian Institute Journal, June 1970).
Vous commencez peut-être à voir où cette loi contredit la loi de l’évolution.
Mais les évolutionnistes n’abandonnent pas encore! Pour tenter de faire fonctionner leur théorie, un débat entre les systèmes « ouverts » et « clos » s’est développé. La différence entre les deux est très simple. Dans un système clos, il n’y a aucune interférence de la part des sources externes, la deuxième loi s’applique donc sans difficulté. Le système devient désordonné avec le temps comme cela est prévu par la seconde loi. Par contre, on soutient que dans un système ouvert, les sources d’énergie externes entraînent une augmentation de l’énergie utilisable.
En ce qui concerne l’évolution, on déclare que parce que notre Soleil fournit d’amples quantités d’énergie à la Terre, cela permet aux systèmes de devenir plus complexes parce qu’ils ont accès à l’énergie nécessaire pour le faire. Puisque le Soleil s’épuise avec le temps, les lois générales de la thermodynamique dans un système clos (l’univers) sont respectées.
En gros, l’énergie supplémentaire en provenance du Soleil est censée permettre à l’évolution de se dérouler sur la Terre.
Est-ce bien vrai? Comme nous l’avons vu, les arguments raffinés ne sont souvent que des écrans de fumée
Énergie n’est pas synonyme d’évolution!
Est-ce qu’appliquer simplement de l’énergie à un système lui permet de tomber à un niveau inférieur d’entropie? Est-ce tout ce qui est nécessaire pour que l’évolution se réalise? On a fait des raisonnements mathématiques pour démontrer que la seconde loi de la thermodynamique s’applique bel et bien dans un système ouvert. Sont-ils applicables à l’évolution?
Bien que certains évolutionnistes veuillent se cacher derrière le concept des systèmes ouverts, il y en d’autres qui ne le font pas. Par exemple, Charles J. Smith a déclaré, « le thermodynamicien clarifie immédiatement ce point en soulignant que la seconde loi se réfère aux systèmes fermés qui n’échangent ni énergie ni matière avec l’environnement; les systèmes biologiques sont ouverts et échangent les deux. Cette explication n’est toutefois pas totalement satisfaisante, car elle laisse sans réponses les questions du comment et du pourquoi l’organisation s’est initiée (une apparente diminution de l’entropie [diminution de l’énergie utilisable]), et bon nombre de scientifiques ont buté sur cette question. Bertalanffy a appelé la relation entre l’irréversibilité de la thermodynamique et la théorie de l’information un des problèmes les plus fondamentaux non résolus de la biologie ». (“Problems with Entropy in Biology,” Biosystems, 1975).
Comme vous pouvez le constater, on comprenait il y a déjà plusieurs décennies qu’il existait des « problèmes fondamentaux non résolus » avec ce concept. Et pourtant, des articles récents l’utilisent toujours.
L’énergie brute n’est pas suffisante pour diminuer l’entropie! En fait, pour que cela se produise, nombre de conditions doivent être remplies. En voici deux, résumées dans une citation tirée du livre des réputés scientifiques George Gaylord Simpson et W. S. Beck intitulé Life: An Introduction to Biology: « La simple dépense d’énergie n’est pas suffisante pour développer et maintenir l’ordre. Un taureau dans un magasin de porcelaine fait du travail, mais il ne crée ni ne maintient l’ordre. Le travail nécessaire doit être d’un type spécial, il doit suivre des spécifications; il nécessite de l’information sur la façon de faire (C’est nous qui traduisons et soulignons).
Un « travail spécifique » a besoin de plus que de l’énergie brute. Bien sûr l’énergie est requise, mais celle-ci doit être dirigée. Il ne peut se contenter d’un « taureau dans un magasin de porcelaine ». Ce genre d’énergie ne construit jamais — elle détruit toujours! C’est exactement la raison pour laquelle vous ne devez jamais laisser vos photographies en plein soleil. Avec le temps, cette énergie brute, non dirigée, va les détruire.
Il y a encore une autre condition à remplir pour que l’énergie soit « utilisable ». Il doit exister un mécanisme pour convertir un type d’énergie en un autre en vue d’une utilisation spécifique. Sans ces conditions, vous n’avez que de l’énergie brute, non contrôlée qui ne fera rien d’autre que détruire.
Il existe des exemples naturels d’énergie canalisée vers un travail utile. Le plus remarquable de ceux-ci est la photosynthèse chez les plantes, elle en est la meilleure illustration. La photosynthèse, qui est en fait un moyen de conversion d’énergie, est le processus par lequel les plantes convertissent la lumière du soleil en énergie utilisable nécessaire à la croissance des plantes. Parce que ce processus est biologique, nous sommes donc en présence de la deuxième loi de la thermodynamique dans un système ouvert. Dans ce cas, l’énergie brute est disponible sous forme d’énergie solaire. Parce que les plantes possèdent de l’ADN, il y a des instructions extrêmement détaillées pour que ce « travail spécifique» puisse se faire. Toutes les conditions requises sont présentes, et dans ce cas, nous retrouvons une diminution de l’entropie — c’est-à-dire une augmentation de l’énergie utilisable.
Il existe aussi des systèmes similaires dans notre corps — la digestion, la respiration, etc. Et dans tous ces cas, les conditions décrites ci-haut sont respectées.
Pour accomplir un travail spécifique, il est obligatoire que de « l’information » — des instructions — soit fournie pour procéder, et qu’un mécanisme existe pour que ces instructions soient suivies. Comme nous l’avons vu, cela se produit dans les feuilles des plantes et avec les systèmes de notre propre corps.
Mais vous NE POUVEZ PAS accomplir le travail spécifique de l’évolution en fournissant simplement de l’énergie solaire et attendre que ça fonctionne. Peu importe l’objection, peu importe la vigueur de la dénégation, personne ne peut dévier de ces lois fondamentales de la science.
Certains scientifiques admettent que la seconde Loi de la thermodynamique et l’évolution sont absolument incompatibles: « En ce qui concerne la seconde loi de la thermodynamique (une loi scientifique universellement acceptée qui affirme que toute chose laissée à elle-même tendra à se dégrader) ou loi de l’entropie, on dit ‘Il serait difficile de concevoir deux principes plus opposés que celui de l’augmentation de l’entropie et celui de l’évolution. Chacun est précisément l’inverse de l’autre. Comme [Aldous] Huxley l’a défini, l’évolution sous-entend une augmentation constante de l’ordre, de l’organisation, de la taille, de la complexité. Il semble axiomatique que les deux ne peuvent être vrais. Mais, quoi qu’il en soit, on ne peut mettre en doute la véracité de la deuxième loi de la thermodynamique’ » (Henry Moore, The Twilight of Evolution, p. 35).
L’évolution ne peut rendre compte de l’apparition de la vie, que ce soit sur cette planète ou sur n’importe quelle autre. Les arguments, aussi astucieux ou malhonnêtes qu’ils puissent être, ne pourront jamais passer à côté des lois de la biogenèse et de la thermodynamique.
Elles constituent le fondement de la science. Elles sont CERTAINES! Elles sont absolues et ont existé depuis le début de l’univers. Ces lois sont immuables — et, en tant que telle, rendent l’évolution impossible!
S’améliorer par des mutations?
Au cœur même de l’amélioration des espèces ou des organismes, nous retrouvons la présomption que de meilleures caractéristiques seront produites par les mutations. Pour arriver à cela, il faut de la nouvelle information.
La source de toute l’information, tel que nous en avons discuté, est l’ADN. Pour que de la nouvelle information se forme, il faudrait qu’il y ait introduction de celle-ci par une mutation. Toutefois, l’introduction d’une nouvelle information « favorable » est remplie de problèmes.
D’abord, la majorité des mutations ont un effet négatif. (comme discuté plus tôt, les organismes inférieurs [par mutations] sont éliminés par le processus de la sélection naturelle). Cela s’applique aussi à ce qu’on appelle les mutations « neutres ». Les processus naturels éliminent ces défectuosités de la carte génétique des êtres vivants. Considérons ce qui suit de la part du chef du Projet international de la Diversité du génome humain, l’évolutionniste Luigi Cavalli-Sforza.
« L’évolution résulte aussi de l’accumulation de nouvelle information. Dans le cas d’une mutation biologique, la nouvelle information est apportée lors d’une erreur de transmission génétique (c.-à-d. un changement dans l’ADN lors de la transmission d’un parent vers l’enfant). Les mutations génétiques sont spontanées, aléatoires, et sont rarement bénéfiques, et le plus souvent n’ont aucun effet, ou ont un effet nuisible. La sélection naturelle rend possible l’acceptation des bonnes et l’élimination des mauvaises ». (Genes, Peoples, and Languages, p. 176).
Bien entendu, nous avons déjà prouvé que la sélection naturelle « élimine ces mauvaises ». Mais, est-il vrai que des mutations favorables peuvent former, non seulement de la nouvelle information, mais aussi de nouvelles espèces? C’est en cela que reposent l’espoir et la confiance de l’évolution. Prouver que des mutations positives et régulières se produisent est critique pour soutenir cette hypothèse.
Un exemple souvent cité est celui de la résistance aux antibiotiques chez les bactéries. On affirme que les bactéries ont su s’adapter aux antibiotiques par des mutations. Mais comme le démontre la citation suivante, ce qui se passe est une perte d’information, et non un gain. « Il n’existe aucun cas connu de résistance aux antibiotiques qui est le résultat d’une nouvelle information. Il existe plusieurs façons par lesquelles une perte d’information peut conférer la résistance » (Jonathan Sarfati, Refuting Evolution).
Toutefois, l’évolution ne peut se réaliser par la perte d’information. Avec le temps, le résultat final serait la disparition de l’information. La seule façon pour une forme de vie supérieure d’être créée se fait par plus — BEAUCOUP plus — d’information. Par exemple, imaginer un poisson qui « évolue » en oiseau. Bien que cela puisse vous sembler ahurissant, et même ridicule, c’est considéré comme une théorie valide en évolution. Comment tous les nouveaux organes et membres nécessaires pourraient-ils se développer sans nouvelle information? C’est tout à fait impossible!
Une analogie très simple permet de l’expliquer. Imaginez-vous les pièces nécessaires pour faire fonctionner un interrupteur d’ampoule électrique. On y retrouve de l’électricité, des fils, des pièces pour contrôler le flux d’électricité, l’interrupteur lui-même et finalement une ampoule. Chacune a été fabriquée pour fonctionner d’une façon particulière. Si le contrôle de flux est enlevé du système, l’éclairage devient beaucoup plus brillant. Cela peut sembler une amélioration. La pièce semble mieux éclairée et on a l’impression que tout le système s’est amélioré malgré la perte d’une pièce (information).
Mais celui qui a conçu le système saurait qu’il n’en est rien. Les fils et l’ampoule ont été conçus pour tolérer une certaine quantité d’électricité. Bien que cela ne semble pas être un problème au début, avec le temps, le circuit sera en surcharge et cessera de fonctionner. Il en est de même avec les mutations. Bien que quelque chose puisse sembler être une amélioration (comme c’est le cas de la résistance aux antibiotiques des bactéries), la « santé » générale de l’organisme est diminuée.
Peu importe votre croyance au sujet de l’origine de la vie, de l’information nouvelle est nécessaire pour les formes de vie plus avancées. Et, inversement, toute information présente doit demeurer, qu’elle y ait été mise par l’évolution ou un Concepteur. En fin de compte, la perte continuelle d’information génétique résultera dans la destruction de la vie — non dans son amélioration.
Finalement, en ce qui concerne la formation de nouvelles formes de vie, le physicien anglais Dr Alan Hayward a déclaré, « les gènes semblent avoir été construits pour permettre des changements à l’intérieur de certaines limites étroites et pour empêcher ces limites d’être franchies. Pour simplifier, les mutations produisent très facilement de nouvelles variétés intra-spécifiques, et peuvent sans doute produire une nouvelle (bien que similaire) espèce, mais malgré les efforts considérables des expérimentateurs et des éleveurs, les mutations semblent incapables de produire des formes de vie entièrement nouvelles (Creation or Evolution: The Facts and the Fallacies).
Et pourtant, chaque jour, des millions d’enfants apprennent que les mutations — des défauts — sont à l’origine de millions de plantes et d’animaux, et des êtres humains. Non seulement cela est-il tout à fait faux, cela amenuise le statut unique et particulier qui a été attribué à l’humanité.
Le véritable registre des roches.
Souvent les médias vont nous parler de découvertes d’anciens artefacts. Il peut s’agir de fossiles datant de millions d’années, et même de centaines de millions d’années. Habituellement, ces annonces sont accompagnées par des représentations colorées de la créature telle qu’elle « apparaissait » il y a de cela des millions d’années.
Comment les scientifiques, les journalistes et les reporters en arrivent-ils à développer des portraits si élaborés? Ils sont certainement basés sur une montagne de preuves et de recherches qui ont été contre-vérifiées avec les découvertes précédentes. N’en soyez pas si sûr! Rendu à ce point, vous avez peut-être commencé à développer un certain cynisme à l’égard de la science moderne. Si c’est le cas, vous ne serez pas surpris que les « faits » utilisés pour prouver et dessiner ces « anciennes » créatures ne sont que des morceaux d’os, une mauvaise science et des présomptions douteuses.
Malgré tout l’éclat et la splendeur qui accompagnent ces découvertes, la science qui se cache derrière de telles découvertes est plus artistique et créative que factuelle et scientifique.
Afin de mieux comprendre pourquoi les évolutionnistes sont devenus si créatifs avec le registre fossile, vous devez d’abord comprendre les « brèches » dans ce registre. Ce qui devait se révéler le ciment qui lierait ensemble tous les aspects de l’évolution, a commencé à la mettre en pièces.
Les deux problèmes principaux avec le registre fossile, quand il est utilisé avec l’évolution, sont reliés entre eux. Le premier concerne les trous qu’on y retrouve. Ce registre est divisé en ères — ou strates. Chacune de ces ères contient un certain type de créatures qu’on croit propres à une époque. À titre d’exemple, le Cambrien est placé à environ 530 millions d’années (selon les méthodes de datation des évolutionnistes).
Le problème consiste dans le fait que des créatures complètement formées apparaissent, tout à coup. L’ère cambrienne, par exemple, contient les vertébrés les plus vieux connus. Mais, comme l’écrit l’évolutionniste Richard Dawkins de l’université d’Oxford, « Nous en trouvons plusieurs qui sont déjà dans une forme avancée de l’évolution, la toute première fois qu’ils apparaissent. C’est comme s’ils avaient tout simplement été plantés là, sans aucune histoire évolutive ». (The Blind Watchmaker, p. 229).
Vraiment, « tout simplement plantés là »? — ou exprimé autrement, ils ont été créés! Le registre fossile ne montre pas la formation de quelque créature que ce soit; elles semblent toutes avoir « été plantées là ». Toutefois, cela n’est que le premier problème que rencontrent les évolutionnistes.
Le second est relié au premier. Parce que plusieurs créatures apparaissent soudainement, le registre ne nous montre pas des créatures qui ont évolué progressivement. Si la théorie de l’évolution est correcte, on devrait avoir de nombreux exemples de créatures simples qui évoluent tranquillement vers des formes plus avancées.
Ce n’est tout simplement pas le cas!
Le Dr Gaylord Simpson, évolutionniste et paléontologiste de réputation mondiale, a déclaré ouvertement, « L’absence constante de formes transitionnelles n’est pas limitée aux mammifères, mais est un phénomène quasi universel, comme cela a été noté depuis longtemps par les paléontologistes. Cela est vrai pour presque tous les ordres et les classes d’animaux… et cela semble aussi vrai des catégories analogues de plantes ». (Tempo and Mode in Evolution, p. 105 — partout, c’est nous qui traduisons)
Il y a seulement 5 ans, le Dr Simpson a été forcé d’admettre : « Il est donc possible de dire que de telles transitions ne sont pas constatées parce qu’elles n’existent pas » (The Meaning of Evolution, p. 231).
Certains pourront tenter d’affirmer qu’elles n’existent pas encore, disant que ces formes transitionnelles seront hypothétiquement découvertes. On peut répondre à cela par l’analogie suivante. Imaginez que vous avez un pot rempli de billes. Tranquillement, une à une, vous retirez chaque bille, en vérifiant sa couleur et sa texture. Tout d’abord, on pourrait s’attendre à ce que des billes différentes soient retirées du pot. Mais si après avoir retiré la grande majorité des billes, nous n’en avons trouvé que des rouges, une conclusion logique serait qu’il ne reste que des billes rouges dans le pot. Bien sûr, une nouvelle couleur pourrait être tirée du pot, mais il est plus que probable que ayez déjà retiré toutes les billes de couleur différente.
Voilà l’état du registre fossile. Plus d’un siècle de découvertes nous a montré qu’il ne restait que des « billes rouges ». Il n’y aura pas de fossile magique qui changera cela. Cela n’a pas empêché certains scientifiques d’essayer de créer des « fossiles magiques » à partir de fragments d’os.
Une de ces « découvertes » vaut la peine d’être racontée. Elle avait reçu une couverture télévisée et avait fait l’objet d’un article du National Geographic. Les scientifiques croyaient avoir trouvé une « baleine marchante ». C’était supposé être le chaînon manquant entre les mammifères terrestres et les baleines. Cette découverte étonnante avait poussé le paléontologiste Daryl Domning à déclarer, « Nous avons essentiellement chacune des étapes à partir des animaux terrestres jusqu’à ceux pleinement aquatiques ». Une telle affirmation aurait certainement l’effet d’une vague de fond dans les sciences de l’évolution.
Le mois suivant, dans le numéro du National Geographic de novembre 2001, des images impressionnantes de cette « baleine marchante » apparurent dans l’article intitulé « L’évolution des baleines ». C’était maintenant réglé, le chemin évolutif des baleines avait été établi, et la théorie avait été prouvée.
Était-ce le cas?
Toute l’effervescence avait été causée par la découverte d’une mâchoire et d’un fragment du crâne. Et rien d’autre! À partir simplement d’un os de l’oreille et de dents, des images spectaculaires furent présentées dans le National Geographic. On pourrait comparer cela à la découverte d’une pièce de métal à partir de laquelle on pourrait reconstruire une réplique exacte de l’édifice d’où elle provient. Cela dépasse le ridicule!
Plus tard, le squelette de la même créature fut découvert. Une fois les faits établis, il était évident que cette créature ne pouvait pas nager. Il s’agissait d’un animal terrestre. Bien entendu, on ne publia pas de correction.
Ce n’est pas le seul exemple de données mal utilisées afin de s’ajuster à la théorie de l’évolution. Le grand nombre de déformations a entraîné des déclarations comme celle-ci : « Ce que le ‘registre’ montre, c’est un siècle de faux-fuyants et de resquille par des scientifiques qui cherchent à forcer des morceaux d’os et des fragments fossilisés à se conformer aux notions de Darwin, sans succès. Aujourd’hui, des millions de fossiles sont un rappel constant et pleinement visible de l’insignifiance des arguments et de la pauvreté de la théorie qui marche sous la bannière de l’évolution » (Jeremy Rifkin, Algeny, p. 125).
Donc, l’étape suivante de la part des évolutionnistes serait d’admettre leur erreur et de retirer cette mauvaise théorie, non? Loin de là! Au lieu d’admettre leur erreur sur l’évolution graduelle, les scientifiques ont proposé une idée encore plus ridicule : l’équilibre ponctué.
Cette théorie dont le nom transpire la complexité, a gagné quelque crédibilité parmi la communauté évolutionniste. Elle déclare que les catastrophes expliquent les sauts soudains de l’évolution. Ces événements causeraient des « mutations systémiques » soudaines et radicales. Ce dont la théorie ne parle pas, c’est la dévastation causée chez l’organisme par de telles mutations. De plus, comme mentionnés plus haut, ces événements ne fourniraient pas la nouvelle information nécessaire pour l’augmentation de la complexité.
Le concept de l’équilibre ponctué a aussi été appelé la théorie du « monstre prometteur ». Dire que quelque chose de complexe puisse apparaître — sans être détruit — suite à des éruptions volcaniques monstrueuses ou à l’impact d’astéroïdes semble en effet une « promesse » très optimiste.
Finalement, la déclaration du généticien Theodosius Dobzhansky sur le monstre prometteur est la sentence de mort de cette notion fantaisiste : « … ces théories ne font plus ou moins que donner des noms fantaisistes à des phénomènes imaginaires; personne n’a jamais observé de « mutation systémique » par exemple » (Plant Life).
Ceci est aussi corroboré par les écrits de deux évolutionnistes : « L’existence de mutations systémiques, aboutissant à des monstres prometteurs, peut être exclue compte tenu de la connaissance génétique actuelle » (Stebbins and Ayala, “Is a New Evolutionary Synthesis Necessary?”, Science, Août 1981).
Alors, comment les évolutionnistes expliquent-ils le fait que ni l’évolution graduelle, ni l’équilibre ponctué ne soient en accord avec le registre fossile? Et comment expliquent-ils l’explosion soudaine de la vie?
Ils ne l’expliquent pas, car ils ne peuvent le faire.
De telles preuves sont la raison pour laquelle le géologue William Dawson a écrit, « Le registre des roches est décidément contre les évolutionnistes » (Bowden, The Rise of the Evolution Fraud, pp. 216-218).
Comme vous pouvez le voir, la géologie ne constitue pas un champ de la science où les évolutionnistes peuvent trouver refuge et espérer réparer leur théorie chancelante.
Le dilemme de la datation.
Un des problèmes les plus remarquables avec le registre fossile est relié à la manière dont les fossiles sont datés. Comme avec plusieurs « sciences » reliées à l’évolution, on y utilise largement les généralisations et les hypothèses. Typiquement, les archéologues vont utiliser deux genres de méthodes de datation, le radiocarbone et la datation associative.
La première, et la plus connue, est appelée la datation par le carbone radioactif. Cette méthode mesure le ratio entre le carbone ordinaire (12C) et le carbone radioactif (14C) afin de déterminer l’âge de l’objet.
Les scientifiques ont découvert que lorsque les rayons cosmiques entrent dans l’atmosphère ils réagissent avec l’azote-14 et forment du carbone-14. Ensuite, le carbone-14 réagit avec l’oxygène et produit du CO2. Les plantes absorbent le CO2. Ensuite, les animaux mangent les plantes, ce qui leur permet d’absorber également du CO2. Lorsque les plantes et les animaux meurent, leur décomposition produit de l’azote-14. Puis le cycle continue.
À titre d’exemple, vous pourriez prendre un échantillon de bois pétrifié. Lorsqu’il vivait, le bois aurait eu un ratio 14C /12C semblable à celui l’air environnant. Toutefois, lorsqu’il mourut, la décomposition aurait relâché lentement du 14C dans l’air à un taux connu alors que le 12C demeurait constant.
Si le scientifique connaissait le ratio C-14/C-12 dans l’air et le taux avec lequel le C-14 était relâché de l’échantillon, il peut théoriquement calculer son âge. Les scientifiques ont présumé que le ratio de ces isotopes dans l’atmosphère est toujours demeuré constant. Toutefois, il y a un problème majeur avec cela; ce n’est pas vrai!
Notez : « Alors, non seulement le comportement en système ouvert de ces isotopes a-t-il été démontré, mais les « isochrones » apparents et les « âges » qui en découlent sont invariablement sans signification géologique. Ainsi, aucune des suppositions utilisées pour interpréter les systèmes radiométriques U - Th – Pb pour déterminer les ‘âges’ ne peut être valide ». (A.A. Snelling, U-Th-Pb ‘Datin’: An example of False ‘Isochrons’,” Third International Conference on Creationism).
Peu importe la force avec laquelle on essaie d’expliquer ou de justifier les variations de ces isotopes, les variations demeurent. C’est la raison pour laquelle les scientifiques comparent leurs découvertes avec des items qui ont déjà été datés. Cela leur permet de déclarer que leur datation par radiocarbone est raisonnable par rapport aux autres découvertes.
Cela soulève un problème, car les autres items ont aussi été datés à l’aide du radiocarbone! Si on se rappelle les sophismes étudiés, ceci est un exemple parfait de ce qu’on a décrit par éluder la question. Fonder une conclusion sur une hypothèse n’est pas seulement « non scientifique », c’est malhonnête!
Pendant le dernier siècle, les scientifiques ont utilisé leurs analyses de radiocarbone afin de créer un tableau variable avec lequel on peut comparer les autres découvertes. Lorsqu’un nouveau fossile est découvert, il est comparé aux autres fossiles existants à cette profondeur dans le sol — appelée strate. On a présumé que les millénaires ont compressé chaque couche et que tous les fossiles trouvés à une profondeur donnée ont le même âge. Si la datation par le radiocarbone montre une date similaire, alors la date de l’échantillon est acceptée comme un fait.
Pouvez-vous voir comment une telle méthode permet aux échantillons d’être placés à l’intérieur d’un très large écart? Plus encore, les petits échantillons peuvent être contaminés par leur environnement. Et encore mieux, on a aussi montré que différentes parties de gros échantillons montraient des variations de plusieurs centaines de milliers d’années.
On pourrait en dire encore davantage sur ces méthodes de datation. Mais comme vous pouvez le voir, elles sont moins que fiables. En fait, il est incompréhensible qu’elles soient même utilisées.
De source sûre.
On a dit que les évolutionnistes n’ont pas besoin d’ennemis, ils se suffisent à eux-mêmes. Ce sont les désaccords profonds entre les scientifiques des différentes branches de l’évolution qui fournissent un grand nombre des preuves utilisées par ceux qui contestent la théorie.
En fait, voir les évolutionnistes remettre en question l’évolution est quelque chose de plus éloquent qu’on ne pourrait le penser. Imaginez par exemple qu’une trouvaille archéologique révèle que les apôtres du premier siècle exprimaient des doutes quant aux miracles et aux événements qui prouvaient que Jésus-Christ était effectivement Dieu incarné. Une telle découverte ébranlerait les fondements du Christianisme, car ces « experts » — les apôtres — détenaient beaucoup d’autorité.
Pourquoi les déclarations des experts de l’évolution devraient-elles être considérées d’une façon différente? Elles indiquent une brèche de plus en plus large et profonde dans la théorie — une que les adeptes de l’évolution ne sont plus capables de colmater.
Bien que nous ayons déjà prouvé l’inexactitude du concept de l’évolution, certaines citations ne vous laisseront aucun doute quant à sa fausseté. La Bible dit : « Comme des pommes d’or sur des ciselures d’argent, ainsi est une parole dite à propos » (Prov 25:11). Elle dit aussi : « si une maison est divisée contre elle-même, cette maison ne peut subsister » (Mc 3:25).
Laissez le soin aux paroles et suppositions des évolutionnistes clorent le débat de l’évolution par elles-mêmes. Avec quelques preuves, cela suffira pour illustrer la division de leur maison et l’impossibilité qu’elle puisse survivre.
« La théorie de l’évolution ne fournit aucune réponse à l’important problème des origines de la vie et ne présente que de fausses solutions aux problèmes de la nature évolutive des transformations… Nous sommes condamnés à croire à l’évolution… Peut-être sommes-nous aujourd’hui dans une situation pire qu’en 1850 parce que nous avons cherché pendant un siècle et que nous avons l’impression que les différentes hypothèses sont maintenant épuisées ». (Jean Rostand, évolutionniste français).
Bien que nous ayons couvert plusieurs hypothèses, il y en a d’autres qui permettent de bien comprendre les faiblesses de l’évolution. Elles sont tellement fortes et dérangeantes que G.A. Kerkut, évolutionniste et zoologiste de l’université de Southampton (Angleterre) a écrit la conclusion suivante à son livre intitulé Implications of Evolution (rappelez-vous que le mot biogenèse de cette citation fait référence à « l’origine (genèse) de la vie (bio) », et non à la Loi de la biogenèse dont nous avons parlée plus haut) : « La première hypothèse fut que le non-vivant avait donné naissance à du vivant. Cela demeure toujours une hypothèse… Il y a toutefois très peu de preuves en faveur de la biogenèse et jusqu’à maintenant, nous n’avons aucune indication qu’elle soit possible… il s’agit donc d’un acte de foi de la part des biologistes que de croire en la réalisation de la biogenèse…
La deuxième hypothèse était que la biogenèse ne se soit produite qu’une seule fois. Là aussi, il s’agit d’une question de foi…
La troisième hypothèse était que les virus, les bactéries, les protozoaires et les animaux supérieurs étaient tous parents… Nous n’avons, à ce jour, aucune preuve concrète sur la façon dont les virus, les bactéries et les protozoaires sont liés.
La quatrième hypothèse était que les protozoaires ont donné naissance aux métazoaires. Ici non plus nous n’avons rien de concret…
La cinquième hypothèse était que les différentes familles d’invertébrés étaient apparentées… La preuve des affinités entre la majorité des invertébrés est mince et circonstancielle, pas du genre à nous permettre de prononcer un verdict définitif favorisant une parenté.
La sixième hypothèse est que les invertébrés ont donné naissance aux vertébrés… Comme Bernill le déclare, ‘dans un sens, cela constitue de la science-fiction’.
Nous sommes par contre en terrain plus solide avec la septième hypothèse qui veut que les poissons, les amphibiens, les reptiles, les oiseaux et les mammifères sont apparentés. Il existe des preuves fossiles qui nous aident ici, bien que les transitions clés ne soient pas encore bien documentées et que nous ayons encore à obtenir une méthode objective pour dater les fossiles… La preuve que nous avons à ce jour est insuffisante pour nous permettre de décider quelles réponses donner à ces problèmes ».
Le prix Nobel James Watson a déclaré : « Contrairement à la conception populaire soutenue par les journaux et les mères des scientifiques, bon nombre de ces derniers n’ont pas seulement l’esprit étroit et terne, mais sont aussi simplement stupides » ” (The Double Helix, p. 14).
Un des éditeurs de la revue Science a dit un jour, « Un des traits les plus étonnants des scientifiques est que certains d’entre eux ne sont que de simples bigots vieux jeu. Leur zèle possède un certain mépris et une certaine intolérance fanatique et égocentrique pour quiconque ou quelque valeur qui n’est pas associée à un domaine particulier d’activité intellectuelle » (Phillip Abelson, “Bigotry in Science,” Science, Avril 1964).
Quelle intolérance fanatique et égocentrique!
Sans réponse ni preuve et totalement fausse.
Jusqu’à maintenant, nous avons vu plusieurs suppositions, mythes et faussetés en ce qui concerne l’évolution. On a déjà dit qu’il est beaucoup plus difficile de désapprendre l’erreur que d’apprendre la vérité. Vous devriez pouvoir réfuter aisément les énoncés malhonnêtes faits par les évolutionnistes. Et vous devriez pouvoir voir au-delà des sophismes qu’ils utilisent. La théorie de l’évolution peut maintenant être vue pour ce qu’elle est vraiment, quelque chose de ridicule et d’absurde.
Le design complexe que nous laissent entrevoir les sciences biologiques est la raison pour laquelle le lauréat et codécouvreur de la structure de l’ADN, Francis Crick, se sentait obligé de rappeler à ses collègues évolutionnistes que « les biologistes doivent constamment garder présent à l’esprit que ce qu’ils voient n’a pas été conçu, mais a plutôt évolué ».
Mais nous venons de voir que les choses n’ont pas évolué! La science va-t-elle continuer à essayer de prouver aveuglément cette théorie impossible? Si oui, alors elle est vouée à l’échec tel que l’affirme le prix Nobel Robert A. Millikan : « Ce qui est pathétique, est que nous sommes en face de scientifiques qui essaient de prouver l’évolution, alors que c’est impossible » (Bowden, The Rise of the Evolution Fraud..., p. 216-218).
Vous n’aurez plus à faire face à des arguments douteux qui brouilleront votre jugement sur le sujet. Chaque supposition a été analysée, point par point. Au début de cette publication, on a dit que vous vous apprêtiez à lire quelque chose de différent de tout ce que vous aviez lu auparavant. Maintenant que les ruines de l’évolution sont derrière vous, il serait important que vous voyiez pourquoi on vous a dit cela.
Mais vous débarrasser de cette théorie ridicule n’est que le commencement. La Bible déclare. « En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’oeil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables, puisqu’ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur coeur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres. Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous; et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en… oiseaux, des quadrupèdes, et des reptiles… eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur » (Rom 1:20-23, 25).
Les évolutionnistes ont corrompu la vérité des origines de la vie. Même en face des faits, ils les ignorent — mettant constamment de l’avant l’idée que ce « qu’ils voient n’a pas été conçu mais a plutôt évolué ». À cause de leurs actes, Dieu a caché à leur esprit les vraies origines de la vie.
Mais vous pouvez connaître ces choses que tant de personnes n’ont jamais vues.
Vous venez de désapprendre un grand nombre de faux concepts. Vous avez en quelque sorte fait peau neuve, lavé la vaisselle sale — vous êtes maintenant prêt à examiner quelques-unes des preuves des vraies origines de la vie. Grâce aux articles de la partie suivante, vous serez en mesure de voir « comme à l’oeil… dans ses ouvrages » la Source de l’univers et de toute vie.
Il vous est possible de comprendre ce que tant de gens « instruits » ont choisi d’ignorer.