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OĂ¹ se trouve l’Église de Dieu aujourd'hui ?
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Il existe une seule organisation qui enseigne l’entière vĂ©ritĂ© de la Bible et qui est appelĂ©e Ă  vivre de “toute parole de Dieu.†Savez-vous comment la trouver ? Christ a dit qu’elle :

  • enseignerait tout ce qu’Il a ordonnĂ©
  • appelerait les membres mis Ă  part par la vĂ©ritĂ© pour sortir du monde
  • serait un petit troupeau
A propos de l’auteur
Photo of David C. PackDavid C. Pack 

Fondateur et Pasteur Général de l’Église de Dieu Restaurée, Rédacteur en Chef du magazine The Real Truth et voix du programme télévisuel The World to Come, David C. Pack a atteint plusieurs millions de personnes dans le monde entier en proclamant les puissantes vérités de la Bible inconnues par la plupart des gens. Il est l’auteur de 80 livres et livrets, et a personnellement établi plus de 50 congrégations. Il est également apparu en tant qu’invité sur The History Channel. M. Pack a fréquenté l’Ambassador Collège à Pasadena, en Californie. Il est entré au ministère de l’Église de Dieu Universelle en 1971 et a été personnellement formé par son fondateur, Herbert W. Armstrong.

Dieu existe-t-il ?

par David C. Pack

Il y a des millions de gens qui croient en l’existence de Dieu. Peu en ont la preuve. Vous Ăªtes-vous dĂ©jĂ  prouvĂ© Son existence ? Ou espĂ©rez-vous, soupçonnez-vous, sentez-vous, pensez-vous que peut-Ăªtre Il existe ? Son existence peut-elle Ăªtre scientifiquement Ă©tablie ? Pouvez-vous savoir avec certitude si une Intelligence suprĂªme a crĂ©Ă© l’univers et toute vie sur la Terre, incluant vous-mĂªme ? Les rĂ©ponses Ă  ces questions doivent-elles relever d’un « acte de foi » ? Posons-nous les franchement.

Les gens ont débattu l’existence de Dieu pendant des millénaires. La plupart d’entre-eux en ont conclu qu’elle ne peut être prouvée, de quelque façon que ce soit. On a émis l’hypothèse que la vraie réponse était du domaine de la philosophie abstraite et de la métaphysique. D’autres, devenus agnostiques, disent qu’ils "ne savent pas" si Dieu existe. Quant à ceux qui acceptent l’existence de Dieu, ils le font le plus souvent passivement, parce que c’est ce qu’on leur a appris depuis leur jeunesse. D’autres encore ne s’en préoccupent même pas. Il est probable que ce genre de personne ne puisse être tirée de son apathie. Les athées concluent que Dieu n’existe pas. Ces gens constituent une catégorie à part au sujet desquels Dieu dit : « L’insensé dit en son coeur : Il n’y a point de Dieu ! ». Ce passage est répété dans Psaume 53 :1. Cette brochure expliquera pourquoi Dieu appelle les athées des « insensés ».

Il y a plus de trente-sept ans, j’ai appris qu’il y avait une preuve absolue de l’existence de Dieu. Mes études sur le sujet ont duré deux ans et demi. J’ai alors réalisé que je n’avais pas à accepter Son existence en me basant seulement sur la « foi ». Depuis ce temps, la science a beaucoup progressé et le « plaidoyer » en faveur de l’existence de Dieu est maintenant beaucoup plus solide que jamais auparavant dans l’histoire. Cette brochure présente bon nombre de preuves absolues et immuables que Dieu existe. Après l’avoir lue, vous n’aurez plus aucun doute au sujet des réponses apportées à la plus grande de toutes les questions. Certaines preuves vous étonneront. D’autres vous inspireront. D’autres encore vous surprendront ou même vous enthousiasmeront. Toutes vous fascineront par leur simplicité. Nous allons tout d’abord en examiner quelques-unes dites traditionnelles puis nous nous tournerons vers certaines découvertes les plus récentes de la science. Nous retournerons ensuite vers des preuves reconnues. Nous ferons appel à la biologie, à l’astronomie, à la chimie et aux mathématiques.

Création ou évolution ?

Nous devons toutefois nous interroger sur un point qui est absolument inséparable du concept de l’existence de Dieu. On ne peut éviter, en étudiant l’existence de Dieu, de poser la question de savoir si la vie sur Terre existe simplement par hasard, tel que l’affirme la théorie de l’évolution ou, à cause de l’intervention créatrice d’un Etre Suprême.

Est-ce que la vie a évolué au cours de millions d’années, comme l’affirment les évolutionnistes, ou est-ce qu’un Dieu tout-puissant en a été l’Auteur par une création ? La plupart des gens présument que l’évolution est vraie tout comme ceux qui croient en Dieu présument qu’Il existe. J’ai aussi étudié cette question en profondeur — évolution versus création — durant la période où je cherchais à prouver l’existence de Dieu.

J’ai appris qu’il fallait avoir beaucoup plus de « foi » pour croire au mythe évolutionniste, à la mode des intellectuels, qu’il en fallait pour croire en Dieu. En réalité, j’ai appris que l’évolution est totalement basée sur la foi car il n’y a jamais eu de faits ou de preuves concrètes pour la soutenir. (Nous avons préparé une brochure de 32 pages de format magazine, très inspirante qui traite en profondeur de l’évolution. Elle est intitulée « L’évolution, – les faits, les erreurs et les conséquences » qui sert de complément à cette brochure. Ceux qui liront cette publication ne douteront plus jamais des arguments scientifiques en faveur de la création).

Foi et preuve.

La foi joue effectivement un rôle dans la vie d’un chrétien. Si vous êtes une personne qui cherche vraiment Dieu et qui veut apprendre à Lui plaire, lisez ce qui suit :

« Or sans la foi il est impossible de lui être agréable ; car il faut que celui qui s’approche de Dieu croire que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. », Hébreux 11 :6). La foi est vitale pour un chrétien. En fait, sans elle, personne ne peut plaire à Dieu. Remarquez que ce verset dit — que ceux qui s’approchent de Dieu, qui s’adressent à Lui, doivent croire qu’il existe. Donc une foi profonde en un Dieu qui rémunère ceux qui le cherchent vraiment exige une preuve de Son existence. Ce n’est qu’après l’établissement d’une telle preuve, et pas avant, que nous pourrons croire — être certains— que Dieu se souvient de tout ce que nous faisons pour, le moment venu, nous accorder notre récompense. Si vous êtes incertains de l’existence de Dieu parce que vous n’avez pas pris le temps d’établir une preuve hors de tout doute, alors lorsque vous serez face à l’ennemi, votre foi déclinera ou disparaîtra.

De quel Dieu parle-t-on ?

L’apôtre Paul a écrit : « Car, s’il est des êtres qui sont appelés dieux, soit dans le ciel, soit sur la Terre, comme il existe réellement plusieurs dieux et plusieurs seigneurs, néanmoins pour nous, il n’y a qu’un seul Dieu, le Père, de qui viennent toutes choses […] mais cette connaissance n’est pas chez tous », (I Cor. 8 :5-7).

Les religions de ce monde ont créé plusieurs dieux de bois, de pierre et d’autres matériaux. D’autres n’existent que dans l’esprit des gens. Les anciens Grecs, à eux seuls, servaient plus de 30 000 dieux et les Hindous modernes, plus de 5 millions. En vérité, il y a, et il y a toujours eu : « plusieurs dieux et plusieurs seigneurs ». Toutefois le Dieu de la Bible a créé tous les matériaux que les hommes utilisent afin de concevoir leurs propres dieux. Comme Paul l’a dit : « …Mais cette connaissance n’est pas chez tous. ».

Pourquoi une telle ignorance et une telle confusion ?

Le Dieu de la Bible nous a montré le chemin de la paix, du bonheur et d’une vie abondante pourvu que nous voulions étudier Son Livre d’Instructions. Agir de cette façon libérerait le monde de toute la confusion qui enveloppe l’humanité. Toutefois, ce n’est pas le but de cette brochure de prouver que le Dieu de la Bible est le seul Vrai Dieu de la création. (Demandez notre brochure gratuite : « l’AUTORITÉ DE LA BIBLE, peut-elle être prouvée ? »).

Ce que la science nous révèle.

Soyez ouverts aux enseignements de la science. Au cours de nos réflexions, ne faites pas de suppositions et n’ayez pas d’espoirs vagues. Basez-vous sur des faits certains. Nous allons en examiner provenant de domaines scientifiques très divers. Nous allons démontrer qu’un Etre tout-puissant et d’une intelligence infinie, a fourni avec soin plus de preuves que nécessaires pour éliminer tout doute quant à Son existence.

La Bible est le livre d’instruction de Dieu pour l’humanité. Il attend de ceux qui sont prêts à la lire à ce qu’ils « [examinent] toutes choses et [retiennent] ce qui est bon », (I Thess. 5 :21). Le mot grec pour « examinent » est dokimazo, c’est-à-dire prouver. Il serait absurde de penser que ce Dieu veuille que nous présumions de Son existence alors qu’il nous enjoint de prouver toutes choses en nous basant sur Sa Parole !

Avant de débuter cette étude, rappelez-vous bien que les présomptions n’ont pas leur place ici. Pas plus d’ailleurs que les superstitions ou autres traditions fondées sur l’ignorance. Tout comme la science le veut, n’acceptez que des faits. Réfléchissez de façon rationnelle et précise. Puis n’acceptez que ce qui peut être prouvé.

L’horloge la plus parfaite.

Vous possédez sans doute une montre. Sans elle vous seriez sans doute perdu dans ce monde qui exige que les gens soient « à l’heure ».

Certaines montres sont plus précises que d’autres. Comment est la vôtre ? Combien doit-il s’écouler de temps avant qu’elle ne perde une seconde ? Lorsque cela se produit, vous l’ajustez selon une source reconnue comme étant plus précise. Cette source, quelle qu’elle soit, n’est pas parfaite non plus et doit être mise à jour régulièrement, bien que moins souvent, à partir d’une autre source encore plus précise. Aux États-Unis, c’est « l’Horloge Maîtresse de l’Observatoire Naval des États-Unis » au Naval Observatory à Washington, D.C. qui remplit cette fonction, au Canada, c’est le Conseil National de Recherche du Canada et en Angleterre, le Greenwich Royal Observatory.

Pendant de nombreuses années, jusqu’en 1967, les astronomes de l’Observatoire de la Marine ont « observé » le mouvement de la Terre par rapport aux cieux afin de mesurer le temps de façon très précise. Toutes les horloges aux États-Unis ont été ajustées en prenant comme référence ces mesures de haute précision. C’est Dieu qui a fait cette horloge maîtresse de l’univers. Il a mis les cieux en mouvement et l’humanité a appris à utiliser leur merveilleuse précision. Aussi extraordinaire que puisse être cette magnifique horloge, il y a plus encore.

En 1967 les scientifiques ont construit une « horloge atomique ». Celle-ci utilisait le Césium 133 parce que ses atomes vibraient à 9 192 631 770 fois par seconde. Cette propriété permettait d’obtenir une précision d’une seconde pour chaque période de trente millions d’années. N’aimeriez-vous pas possédez une montre d’une telle précision ? Les atomes de Césium 133 ne varient jamais dans leurs vibrations. Celles-ci sont stables, constantes et fiables. Que des choses se produisent toujours exactement de la même façon ne survient pas par « accident » de la nature. Dieu a dû concevoir la complexité et la fiabilité du comportement de ces atomes. On ne peut honnêtement croire autre chose. Les hommes ont tout simplement appris à utiliser ce que Dieu avait conçu et s’en sont servi pour mesurer le temps. Mais l’histoire se poursuit.

Sceptiques, considérez ce qui suit ! Les scientifiques de Boulder au Colorado au National Institute of Standards and Technology ont réussi à construire une montre optique qui est encore plus précise. Comment ? En mesurant le temps à l’aide de la lumière. On mesure maintenant le temps en femtosecondes, soit au millionième de milliardième de seconde. Le « cœur » de ces horloges utilise des ions de mercure pour compter le nombre de vibrations par seconde.

Les fréquences optiques oscillent au taux de 1015 fois par seconde (1,000,000,000,000,000), mille billions de fois par seconde. En utilisant les lasers et les ions de mercure refroidis, les scientifiques ont réussi à harnacher la précision créée par Dieu pour mesurer le temps avec encore plus de précision. Les horloges optiques ne varient que d’une seconde à tous les trente milliards d’années. C’est 1000 fois plus précis que les horloges atomiques.

Tous les horlogers ont la réputation de travailler avec une extrême précision. Les montres au quartz mesure le temps en comptant le nombre de vibrations émises par un cristal de quartz à l’aide d’un compteur numérique. Les horloges numériques utilisent les oscillations du cristal de quartz ou le nombre de cycles par seconde du courant électrique (60 cycles en Amérique du Nord) mais peuvent aussi utiliser des compteurs numériques. Les horloges grand-père comptent à l’aide du pendule qui bat une fois par seconde et dont le mouvement est transmis aux aiguilles par des mécanismes intérieurs.

Les hommes ont réussi à aller chercher dans les atomes du Césium 133 et dans la vibration des ions de mercure refroidis la même fiabilité que celle qu’ils ont constatée dans le mouvement des astres. Ils s’en sont ensuite servi pour mesurer le temps. Le nombre d’oscillations de l’un et l’autre par unité de temps ne varie jamais. Est-il possible qu’une perfection d’un tel ordre soit apparu par accident ?

En résumé, on constate que c’est avec peine et misère que les meilleurs horlogers du monde réussissent à fabriquer des montres plutôt imprécises. Une personne intellectuellement honnête et rationnelle peut-elle vraiment croire que ces trois horloges de haute précision — les cieux, les horloges atomiques et optiques — aient vu le jour par accident ? En d’autres mots, sachant que des êtres humains de grande habileté et de grande intelligence se soient appliqués à réaliser des montres d’un haut degré de sophistication, est-il possible de croire que des montres encore plus précises et plus sophistiquées, se soient développées par elles-mêmes ? Combien ridicule !

Vous venez de voir une preuve absolue qu’il n’y a que le « Grand Horloger » capable d’inventer ces « montres ultimes ».

La première loi de la thermodynamique.

Quelle est l’affirmation faite par la science moderne en ce qui concerne l’origine de la matière dans l’univers ? Les scientifiques nous disent-ils qu’elle a toujours existé ? Ou disent-ils qu’il y a eu un moment où toute matière a vu le jour ? La bonne réponse est oui à la seconde question. Mais quelle preuve avons-nous que cela est vrai ?

La PREMIÈRE LOI DE LA THERMODYNAMIQUE s’énonce ainsi : « La matière et l’énergie ne peuvent être ni perdues, ni créées. » Il n’existe aucun procédé naturel capable de réaliser quelque chose qui n’obéit pas à cette loi. Cela signifie donc qu’il n’y a aucune nouvelle matière ni aucune nouvelle énergie qui apparaît ou qui disparaît. Tous ceux qui affirment que l’univers est né de rien violent la première loi de la thermodynamique. Celle-ci fut « découverte » par la même communauté scientifique qui maintenant semble d’accord pour aller à son encontre. En résumé, cette loi établit clairement que l’univers avec toute la matière et l’énergie qu’il contient, doit être d’origine divine. Il y eut un moment où il fut créé par un être qui était tout-puissant.

Avec l’arrivée de l’âge atomique, en commençant par la découverte du radium par Marie Curie en 1898, nous avons appris que tous les éléments radioactifs émettent des radiations de façon continue. Réfléchissez à ceci : l’uranium a un poids atomique de 238.5 g. Au fur et à mesure de sa décomposition, il relâche de l’hélium à trois reprises. Comme l’hélium a un poids atomique de 4 g, le produit final a un poids de 226.4 et est appelé radium. Ce dernier continue de se décomposer en émettant d’autres particules ainsi que de l’énergie jusqu’au produit final et inerte qui est le plomb. Cette décomposition prend un temps considérable. Alors que la transformation de l’uranium en radium prend beaucoup de temps, la transformation de ce dernier en plomb se fait en 1590 ans.

Pourquoi disons-nous ceci au juste ? Parce qu’il fut un moment, dans le temps, où l’uranium n’existait pas, et ce simplement parce qu’il se décompose d’une façon parfaitement systématique. Il n’est pas stable comme l’est le plomb et d’autres éléments. Il mute. Ceci signifie qu’il y a un moment dans l’histoire où tous les éléments radioactifs ont vu le jour, [NdT moment où ils ont commencé à se décomposer]. Rappelez-vous, tous, uranium, radium, thorium, radon, polonium, francium, protactinium, etc. n’ont pas toujours existé. Ce fait est une preuve absolue que la matière est apparue.

Ceci confronte directement la pensée évolutionniste — que tout évolue graduellement en quelque chose d’autre. Il y a toutefois un problème. Il est impossible pour une chose de venir à l’existence graduellement à partir de rien. La matière n’a pu venir à l’existence par elle-même. Aucune personne rationnelle peut croire que l’univers entier, y incluant les éléments radioactifs qui prouvent qu’il y a eu un commencement à un moment précis, soit graduellement venu à l’existence PAR LUI-MEME !

Essayez par vos propres efforts de construire quelque chose — ce que vous voudrez — à partir de rien. Malgré tous vos pouvoirs créateurs concentrés à cet effet, vous n’y parviendrez pas. Même plusieurs vies ne suffiraient jamais à produire quelque chose à partir de rien. Est-il alors possible pour un sceptique de croire que tout dans l’univers, sans exception, avec tous ces détails raffinés, soit venu à l’existence de lui-même ? Soyez honnêtes et acceptez les faits. Vous venez de lire la preuve que tout dans le domaine matériel exige l’existence du Grand Créateur.

La seconde loi de la thermodynamique.

La seconde loi de la thermodynamique peut être résumée par : L’univers croît constamment vers un état de désordre, ou plus scientifiquement : L’entropie de l’univers est en constante augmentation. Expliquons plus en détail ce concept à l’aide de plusieurs exemples.

Souvenez-vous que les évolutionnistes disent que tout est en constante évolution vers un niveau supérieur plus complexe. Autrement dit, ils croient que les choses s’améliorent au lieu de se détériorer.

Si de l’eau en train de chauffer sur une cuisinière a atteint 65°C et nous décidons de couper le courant, la température va baisser et non monter. L’eau va devenir plus froide et non plus chaude. Si nous plaçons une balle au haut d’une pente, elle roulera toujours vers le bas et non vers le haut. L’énergie utilisée pour accomplir un travail va toujours d’un état d’énergie « utilisable » vers celui d’un état « irrécupérable », pour accomplir cette tâche en particulier. Elle va toujours d’un niveau supérieur vers un niveau inférieur, laissant de moins en moins d’énergie utilisable disponible.

Lorsque nous appliquons ce principe à l’univers la deuxième loi de la thermodynamique dit que l’énergie disponible est en continuelle diminution, en route vers le désordre, ou une entropie accrue. Il n’y a pas de croissance ou de marche vers un niveau supérieur ou un ordre plus parfait. En d’autres mots, l’univers entier, tout comme un ressort, est en train de se détendre.

Même les évolutionnistes admettent que la théorie de l’évolution et la deuxième loi de la thermodynamique sont tout à fait incompatibles l’une avec l’autre. Voyez : « En ce qui concerne la deuxième loi de la thermodynamique ou loi de l’entropie (loi scientifique universellement acceptée qui dit que toute chose laissée à elle-même se désagrègera), on observe que : — Il serait plutôt difficile de concevoir deux principes plus opposés entre-eux que le sont la croissance de l’entropie et l’évolution. Chacun étant le contraire de l’autre. Comme (Aldous) Huxley l’a définie, l’évolution implique une croissance continue de l’ordre, de l’organisation et de la complexité. Il semble donc axiomatique que les deux ne peuvent être vrais. Par contre, il n’y a aucun doute que la seconde loi de la thermodynamique soit vraie ». (Morris, Henry M., The Twilight of Evolution, Grand Rapids : Baker Book House, 1967, p. 35).

Tout comme un yo-yo ou un mécanisme à ressort, l’univers a été « remonté ». Si l’univers est en constante détente, la seconde loi de la thermodynamique laisse planer au-dessus de nous une grande question : Qui l’a remonté ? La seule réponse plausible est Dieu !

La grande preuve de la création.

Nous avons établi que la création exige un créateur. Les paragraphes suivants présentent quelques preuves scientifiques étonnantes de la création.

La théorie de l’évolution est truffée d’illogismes. Pour la constituer, les évolutionnistes ont emprunté des éléments de plusieurs autres théories afin de tenter d’expliquer les origines des plantes, des animaux, des cieux et de la Terre.

À maintes reprises ces « théoriciens » ont essayé d’expliquer comment la vie est parvenue à évoluer à partir de la matière inanimée vers des formes plus complexes pour enfin en arriver au summum, les êtres humains.

Toutefois, comme l’a écrit un géologue : « Il y a certainement une raison pour laquelle pratiquement toutes les théories que j’ai apprises quand j’étais étudiant…ont été discréditées », (Dr. Derek V. Ager, Département de géologie, Imperial College, London, The Nature of the Fossil Record, Proceedings of the Geological Assoc., Vol. 87, 1976, pp. 1132-1133).

La raison principale pour laquelle s’effondrent tant de théories déjà « incluses » dans la théorie de l’évolution est peut-être qu’elles sont basées sur une fausse logique qui requiert un trop grand nombre « d’actes de foi » pour les croire. Voici un exemple d’une théorie qui a été « discréditée » : « Plusieurs évolutionnistes ont prétendu que les êtres humains sont à 99% chimiquement semblables aux chimpanzés. Des tests sanguins ont effectivement indiqué qu’ils sont les plus proche « parents » des êtres humains. Par contre tout en tenant compte de ce fait, nous ne pouvons non plus ignorer que : « la chimie du lait montre que le plus proche parent de l’être humain est l’âne ». « Que des tests de cholestérol indiquent que son plus proche parent est la couleuvre jarretière ». « Que la chimie des enzymes des larmes fait de la poule son plus proche parent ». Sur la base d’un autre type de test sanguin, il a été établi que le plus proche parent de l’être humain était le haricot blanc. (Morris, Henry M., The Twilight of Evolution, Grand Rapids : Baker Book House, 1967).

La complexité de la vie.

Nous avons tous été, un jour ou l’autre, témoins d’explosions. Vous est-il arrivé d’en voir une qui soit ordonnée ? Ou une qui a eu comme résultat la création d’une montre ou d’une horloge ? Ou encore, une qui ait fait apparaître une forme raffinée plutôt que le résultat attendu de chaos et de destruction ? Si vous deviez lancer des grenades un million de fois, vous les verriez produire un million de fois le chaos et la destruction. Il n’y aurait aucune exception.

Veuillez examiner les citations suivantes portant sur la possibilité pour une explosion de créer toutes les formes de vie qui nous entourent sur Terre — sans compter la magnificence et l’ordre que nous pouvons constater dans l’espace infini.

Le Dr. B. G. Ranganathan dit : « …la probabilité que la vie ait une origine accidentelle est équivalente à celle de constituer un dictionnaire en version intégrale suite à une explosion dans une imprimerie », (Origins ? P.-15). Ici, le docteur Ranganathan ne parle que de l’apparition de la vie, et non des formes hautement complexes comme les animaux évolués, les êtres humains et toutes les espèces différentes d’organismes qui existent aujourd’hui.

Un autre scientifique renommé Sir Fred Hoyle, astronome anglais et professeur d’astronomie à l’université de Cambridge a déclaré : « La probabilité qu’une forme avancée de vie émerge de façon aléatoire est comparable à la probabilité qu’apparaisse un Boeing 747 tout assemblé suite au passage d’une tornade dans une cour d’ordures de pièces mécaniques »,.(Nature, Vol. 294, 12 novembre, 1981, “Hoyle on Evolution,” p. 105). (Partout c’est nous qui traduisons).

Nos incroyables cellules et la complexité irréductible.

Pensez à une trappe à souris. Tout le monde sait ce que c’est et la plupart en ont déjà utilisée une. Demandez-vous maintenant quelle partie de la trappe peut être enlevée tout en lui conservant sa pleine capacité ? La réponse est : aucune. C’est un instrument simple et ingénieux. Comme elle ne peut être simplifiée, elle est dans ce qu’on appelle un état de « complexité irréductible ». Certains organismes vivants sont également dans un tel état. Ils ne peuvent être simplifiés, voir leur complexité réduite, et survivre. Leur enlever un seul élément les empêche de fonctionner. Les systèmes à complexité irréductible ne peuvent être produits graduellement, par petites modifications à partir d’un état simple. Ils doivent exister dans l’état où ils sont, entiers, complets, ou ils ne peuvent simplement pas exister ! Si vous leur enlevez une de leur partie, ils cessent de fonctionner et dès lors, meurent. Comment doit-on interpréter ceci ?

Charles Darwin, dans son illustre ouvrage De l’origine des espèces, résuma le problème auquel lui et les autres évolutionnistes doivent faire face : « S’il pouvait être démontré que l’existence d’un organe complexe n’a pu être amené par de nombreuses étapes successives, par petites modifications, alors ma théorie est totalement anéantie ». (C’est nous qui soulignons).

La nature contient de nombreux systèmes biochimiques différents qui ne peuvent voir leur complexité réduite. On les appelle parfois les « machines moléculaires » et, tout comme un moteur à quatre temps, ils ne peuvent être simplifiés et continuer de fonctionner.

Voici une citation au sujet d’un organisme tout à fait extraordinaire. Cela illustre très bien le principe sous considération. Peut-être devriez-vous le lire deux ou trois fois afin de bien en saisir l’importance. La longueur de la description est nécessaire afin de bien démontrer la complexité d’une seule de ces « machines moléculaires ». La citation est tirée de l’article de Michael J. Behe de la revue Molecular Machines. (C’est nous qui soulignons).

« Plus tôt nous avons discuté des protéines. Dans plusieurs structures biologiques, ces dernières ne sont que des composantes de machines moléculaires plus imposantes. Tout comme une lampe cathodique, des fils, des vis font partie d’un téléviseur, les protéines sont des éléments de structures qui (pratiquement) ne deviennent fonctionnelles qu’une fois les composantes assemblées. Un bon exemple de ceci est le flagelle. Les flagelles sont des organelles qui ressemblent à des cheveux. On les retrouve à la surface de plusieurs animaux et plantes inférieures. Leur fonction est de faire circuler les fluides à la surface des cellules ou de faire avancer les unicellulaires à travers les liquides. Chez les humains, par exemple, chacune des cellules épithéliales couvrant la trachée-artère possède environ 200 de ces cils. Ceux-ci battent de façon synchrone afin d’évacuer le mucus vers la gorge pour qu’il soit éliminé. Ce cil est constitué de filaments dont la structure révèle une membrane renfermant un ensemble de microtubules. Ces filaments sont appelés axonèmes. Un axonème contient neuf paires de microtubules périphériques entourant deux autres microtubules centraux et indépendants pour un total de onze. Chaque doublet périphérique est constitué de 13 filaments (fibre A) unis à 10 autres filaments (fibre B). Chacun de ces filaments est constitué de 2 protéines appelées alpha et bêta tubuline. Quant aux 11 microtubules de l’axonème, ils sont joints les uns aux autres par trois types de connecteurs : la fibre A est attachée aux microtubules centraux par des rayons ; les microtubules périphériques sont liés les uns aux autres par des attaches protéiques d’une grande élasticité appelée nexine et les microtubules centraux sont attachés l’un à l’autre par un pont. Finalement, chaque brin de fibre A comporte deux bras, un intérieur et l’autre extérieur faits d’une protéine appelée dynéine.

En fin de compte, comment fonctionne un flagelle ? Des expériences ont montré que le mouvement ciliaire, produit par les microtubules périphériques, provient de la « marche » de la dynéine le long de la fibre B du microtubule périphérique voisin. Ceci permet aux deux microtubules de glisser l’un contre l’autre sur une courte distance. Par contre les liens protéiques qui joignent ces deux microtubules les empêchent de se détacher l’un de l’autre. En conséquence, ces liens protéiques solides convertissent le glissement induit par la dynéine en un mouvement ondulatoire de tout l’axonème.

Révisons maintenant le fonctionnement des cils en considérant ce que cela implique. Ceux-ci sont composés d’au-moins une douzaine de protéines : l’alpha-tubuline ; la bêta-tubuline, le dynéine, la nexine et les autres protéines associées aux bras radiaux ou centraux. Toutes ces protéines travaillent de concert pour le but unique de produire le mouvement ciliaire. Elles doivent toutes être présentes si l’on veut que le cil fonctionne. Sans tubuline, pas de filaments ; pas de dynéine, alors le filament demeure rigide, sans mouvement. Si la nexine ou les autres protéines de jonction sont absentes, alors l’axonème se décompose lorsque le moment est venu pour les tubules de glisser les uns sur les autres.

Ce que nous constatons dans la structure d’un cil ou flagelle est non seulement d’une complexité profonde mais aussi un exemple parfait de complexité irréductible à l’échelle moléculaire ».

Cette démonstration a été terriblement compliquée. Et en un sens, c’est ce qui en fait l’intérêt. Les organismes sont tous compliqués. Certains le sont d’une façon magnifique. Et malgré cette complexité, leur structure ne peut être réduite, diminuée ou simplifiée. Ils devaient venir à l’existence exactement comme ils sont parce qu’il leur était impossible d’atteindre cet état graduellement.

Nous devrions être en admiration totale devant tout Dieu assez puissant et capable de concevoir et de créer quelque chose comme ces cils !

Les acides aminés, les protéines et l’ADN.

Faisons maintenant un voyage au plus profond des cellules des organismes vivants. Un voyage comme vous n’en avez jamais fait auparavant.

Dès le départ, nous sommes plongés dans un monde de minutie, d’une conception, d’une complexité, d’une interdépendance et d’une spécificité époustouflantes. Permettez-nous de vous l’illustrer.

Les acides aminés doivent s’attacher les uns aux autres afin de former une chaîne pour devenir une protéine. Or : « Les acides aminés produisent des protéines fonctionnelles seulement s’ils sont agencés selon une séquence spécifique…de la même façon que les lettres doivent l’être pour former un mot en français. Donc, une suite d’acides aminés ne forment pas plus une protéine qu’une série de lettres ne constituent de la …poésie. Dans un cas comme dans l’autre, c’est la séquence dans laquelle nous retrouvons les éléments qui déterminent la fonctionnalité ou non du tout. L’explication de l’origine de la séquence spécifique des protéines (et de l’ADN) est le cœur même de la présente crise matérialiste de la pensée évolutionniste », (Stephen C. Meyer, DNA And Other Designs, page 9. — C’est nous qui soulignons).

Il est nécessaire d’expliquer brièvement ce que sont les protéines et la séquence des acides aminés. Les protéines doivent contenir des acides aminés selon une séquence exacte si elles veulent produire certaines réactions chimiques particulières ou devenir des éléments spécifiques de structures cellulaires. C’est ce qu’on appelle la spécificité. C’est à cause de cette propriété qu’une protéine ne peut être substituée à une autre. Les rôles de différentes protéines sont aussi différents que peuvent l’être ceux d’une hache, d’une perceuse, d’un marteau ou d’un tournevis.

Cette longue citation résume l’énorme difficulté qu’il y a de croire que l’ADN soit apparu de façon aléatoire. « La complexité de la molécule d’ADN — de pair avec l’énorme quantité d’informations codées qu’elle contient — confirme sans l’ombre d’un doute que cette super molécule n’ait pu voir le jour par hasard. Tout comme Andrews en a fait la remarque : « Il est impossible pour un code, de quelque nature qu’il soit, de survenir par hasard ou par accident… .Un code est le résultat du travail d’un être intelligent. Même le chien ou le chimpanzé le plus intelligent ne pourrait pas être l’auteur de quelque code que ce soit. Il n’est pas plus possible que cela fut le résultat du hasard ou l’effet d’un accident que cela ne le serait pour une souris de jouer la sonate à la Lune en courant de haut en bas du clavier de mon piano. Un code ne peut provenir du chaos », (Andrews, E.H., 1978, From Nothing to Nature, pp. 28-29).

Voici une seconde affirmation. « En effet, les codes ne peuvent provenir du chaos. Comme Dawkins l’a fait correctement remarquer — plus une chose est statistiquement improbable, moins probable est le fait qu’elle soit le résultat du hasard. De prime abord, le corollaire du hasard est un Concepteur intelligent, (1982, p. 130. — C’est nous qui soulignons). C’est exactement le point que soutiennent les théistes : un Concepteur intelligent est requis par la simple évidence » — (Bert Thompson, Ph.D., The Case For The Existence of God [Part II]).

Le Dr Carl Sagan a écrit un article au sujet de l’ADN pour le compte de l’Encyclopédie Britannique. Il y disait : « La quantité d’informations contenues dans une seule cellule a été estimée à environ un billion de bits ». Il continua ensuite d’expliquer l’énormité de ce nombre en disant : « …si quelqu’un devait compter chaque lettre de chaque mot de chaque livre contenu dans la plus grande des bibliothèques du monde, (plus de dix millions de livres), le résultat final serait d’environ un billion de lettres. On peut donc dire qu’une seule cellule contient l’information équivalente à plus de dix millions de livres », (Life on Earth,” Vol. 10).

En conclusion, on peut donc dire que, en ce qui concerne l’ADN, rien ne peut fonctionner à moins que tout fonctionne. Il est impossible qu’il soit venu à l’existence de façon graduelle. Il faut donc une création spéciale pour que l’ADN existe.

Des « micro-moteurs » à l’intérieur des cellules.

Nous devons maintenant examiner un dernier exemple de machine moléculaire afin de mieux comprendre la complexité des cellules.

Les scientifiques japonais et allemands ont découvert la plus petite des machines de la nature, appelées « micro-moteurs ». Voyez où en sont rendues les recherches avancées dans ce domaine.

Tout en lisant ce qui suit, demandez-vous quelle en est l’origine. « Un groupe de scientifiques japonais en étudiant la structure cristalline de l’enzyme F1-ATPase, a découvert le moteur rotatif de la nature — sa taille est équivalente à un cube de dix nanomètres d’arête. Le micro-moteur possède des éléments qui s’apparentent à un bloc moteur avec un arbre d’entraînement et trois pistons. Il tourne à une vitesse de 0,5 à 4,0 tours par seconde. Non seulement est-ce le plus petit moteur que nous ayons vu mais c’est aussi le plus petit que les lois de la physique et de la chimie permettent.

En Allemagne, une équipe de recherche s’est servi de ce nouvel instrument afin d’étudier une énorme molécule, le protéasome 26S de la levure. Bien que cette molécule ne soit pas la plus grosse connue, elle contient tout de même plus de deux millions de protons et de neutrons et est la plus grande des molécules non symétriques qui aient été cartographiées à ce jour. Cette molécule est une véritable merveille. Elle sert de système de récupération et de recyclage des déchets à l’intérieur de la cellule », (Hugh Ross, Ph.D., Small-scale Evidence of Grand Scale Design).

Ces organelles n’auraient jamais pu évoluer graduellement. Pas étonnant que Dieu dise de ceux qui ne croient pas en Son existence : « L’insensé dit … Il n’y a point de Dieu ! ».

La vie nécessite une Source de vie.

Aujourd’hui, qu’en est-il de la vie sur la Terre ? D’où vient-elle ? Comment est-elle apparue ? La Bible dit que Dieu a créé toute vie pendant les six jours de la semaine de la création tel qu’en fait la narration le premier chapitre de la Genèse. Est-ce la vérité ou est-elle apparue d’elle-même ?

De la même façon que nous avons prouvé un commencement pour l’uranium 238, le modèle qui nous est montré partout est que toute vie provient uniquement de la vie. C’est ce que nous appelons la loi de la biogenèse. Tout étudiant de première année en biologie la connaît.

Quand nous étudions les organismes microscopiques tels les protozoaires et les bactéries, on peut démontrer que la vie ne vient que de la vie. Il existe plusieurs formes de vies, mais chacune se reproduit exactement de la même façon continuellement. Ceci est incontestable.

La vie ne peut provenir d’un objet inanimé (sans vie). Les évolutionnistes émettent la théorie que des objets inanimés, se retrouvant dans des conditions inconnues lors d’un passé nébuleux, aient pu donner naissance spontanément à une forme de vie très primitive. Affirmer une telle chose occasionne d’énormes problèmes à tous ceux qui sont familiers avec la nature et la complexité des cellules même les plus ordinaires.

Les biologistes savent que toutes les cellules ne peuvent provenir que de cellules préexistantes. Voici pourquoi. Toute cellule, même dans sa forme la plus simple et la plus rudimentaire, demeure extrêmement complexe. Prenez ce qui suit en considération. L’organisme le plus simple capable de vie indépendante, la bactérie (un procaryote) est un tel chef d’œuvre de complexité miniaturisée, qu’à côté d’elle la capsule spatiale a l’air d’un objet d’une technologie plutôt primitive. (Darwin on Trial, Philip Johnson, p. 102). La référence suivante est aussi très claire en ce qui concerne la complexité de la cellule et son origine. « La cellule a besoin de toutes ses composantes fondamentales fonctionnant normalement pour survivre. Donc, si elle a évolué, cela implique que des milliards de « pièces » ont dû venir à l’existence au même moment, au même endroit, pour ensuite s’assembler simultanément dans un ordre précis », (Origins ?, Ranganathan, B.G., p. 15).

Les sceptiques ignoreront-ils la vérité qu’il est impossible d’obtenir la vie à moins qu’elle ne soit donnée par une Source de vie ? Dieu seul a la vie inhérente. C’est en fait ce qui fait de Lui, Dieu. C’est aussi pourquoi Dieu n’a pas été créé, parce qu’Il est la vie. Mais ce Dieu est-Il simplement une force aveugle, un genre de force primordiale sans intelligence ? Réfléchissons ensemble.

L’extraordinaire intellect humain.

Arrêtez-vous quelques instants pour penser à ce qui suit. Réfléchissez à tout ce qui s’accomplit autour de vous dans la nature, à la fois sur la terre et dans les cieux.

Considérez en premier lieu toutes les différentes sortes de planètes, d’étoiles et de galaxies. Chacune est une merveille en soi. En second lieu, contemplez toutes les différentes espèces de plantes qui existent sur la Terre aujourd’hui. Il y en a des millions, toutes différentes par la couleur, la forme, la grandeur, la taille et chacune ayant une longévité qui lui est propre, etc. J’ai passé une grande partie de ma vie à étudier et à cultiver une grande variété de plantes. Je suis toujours émerveillé par la finesse de leur forme et la variété de leurs fonctions. Je trouve les plantes encore plus fascinantes que les étoiles et les autres objets célestes.

Il me faut maintenant souligner un point. Toute la nourriture qui existe sur Terre aujourd’hui est parfaitement adaptée à la consommation humaine ou animale selon le cas. Elle est constituée de telle façon qu’elle contient exactement les éléments en bonne proportion pour soutenir la vie des êtres à qui elle est destinée. Chaque fois que l’homme essaie de modifier ou d’améliorer la nourriture, il ne semble être capable que de polluer, ruiner, dévitaliser, injecter de poison, modifier génétiquement ou, d’une façon quelconque, réduire la perfection de l’aliment à un niveau inférieur au niveau initial. Si l’humanité consommait la nourriture telle que Dieu l’a créée, sans essayer de la modifier, alors la maladie, les autres affections ainsi que toute forme d’infirmité reliée à la nutrition disparaîtraient.

La germination, la croissance, le développement des plantes et leur maturation en une multiplicité de nourritures adaptées spécifiquement à l’être humain représentent un miracle beaucoup trop complexe pour que nous en traitions maintenant. Il y aurait suffisamment de matériel pour justifier un livre complet même si nous devions seulement en explorer les rudiments

Pensez à ce qui suit. Qui est plus intelligent ? Dieu, qui a créé la nourriture de façon parfaite, ou l’homme qui invente toutes sortes de façons de l’altérer et de la dégrader avant de la consommerÊ ? Prenez le temps de soupeser cette question.

Ensuite considérez le quelque million d’espèces d’animaux qui existent, sans compter les millions d’insectes. Du fait que ces créatures sont animées, elles sont encore plus merveilleuses et plus fascinantes que ne l’est le monde des plantes. La diversité dans leur couleur, leur forme, leur taille, leur beauté, leur longévité, etc. est comparable à celle des plantes.

Que voulons-nous prouver ? Aussi fascinant, merveilleux, beau et étonnant que sont toutes ces choses, il n’y a sûrement rien de plus fantastique que l’intellect humain. C’est le sommet absolu chez tous les organismes vivants. Personne ne peut douter de cela.

Les limites de votre puissance créatrice.

Réfléchissez maintenant à tout ce que l’humanité a réalisé à ce jour. Elle a pu construire des maisons, inventer le téléphone, les trains, les automobiles, les avions et les fusées, les ordinateurs, les « fax » et toutes sortes d’autres appareils sophistiqués extrêmement complexes et utiles.

Toutefois il y a une limite à ce génie créateur. Personne, ni vous ni moi, ne pouvons créer quelque chose d’aussi merveilleux que l’intellect humain. Tout ce que l’homme crée est inférieur aux capacités de son propre intellect. Essayez de trouver une chose faite par l’homme qui soit supérieure à l’intellect qui l’a créée. Vous n’y arriverez pas.

Voici maintenant la question. Qui ou quoi a créé votre intellect, qui ou quoi vous a créé, vous, avec votre intelligence ? Le roi David a dit : « Je te loue de ce que je suis une créature (un être créé) si merveilleuse », (Psaume 139 :14). C’est une vérité qui s’applique plus que certainement au cerveau humain. Soyez honnête avec vous-même. Pouvez-vous vraiment croire qu’une puissance ou une force aveugle et non intelligente ait pu être à la source de votre propre intelligence et ait pu créer votre intellect ? Rappelez-vous que vous ne pouvez rien créer qui vous soit supérieur. Donc, il ne reste qu’une intelligence supérieure à la vôtre pour avoir créer votre propre intelligence.

Ne vous faites pas injure en prétendant que les extraordinaires pouvoirs créateurs de votre intelligence, de votre raisonnement, de votre logique, de votre volonté et de votre ingéniosité sont un simple produit du hasard.

Un pas supplémentaire considérable.

Arrêtez-vous un instant afin de réfléchir à ce dont nous venons de parler, à l’univers et à tout ce qu’il contient : les étoiles, les planètes, les galaxies, les plantes, les animaux, les êtres humains et leur intellect.

Supposez pendant un instant que vous ayez toute la puissance requise pour créer tout ce que vous désirez. Croyez-vous qu’il vous serait possible de créer tant de beauté, de majesté, de raffinement, de créer des choses d’une telle envergure avec autant de précision et de magnificence par vous-même, seul, sans l’aide de personne ? Rappelez-vous que vous n’avez aucun plan sur lequel vous baser, aucune possibilité de copier. Vous êtes laissé à vous-même.

Croyez-vous qu’il vous serait possible de concevoir approximativement mille milliards de galaxies contenant chacune en moyenne cent milliards d’étoiles, sans plan d’aucune sorte ? Pourriez-vous penser à faire voyager le son à mille cent kilomètres par seconde ? Seriez-vous en mesure de créer chaque type d’atome connu par la science et toutes les particules subatomiques qui les constituent ? Auriez-vous ensuite la capacité de combiner ces atomes dans une myriade d’autres molécules extrêmement complexes et capables de répondre à un nombre incalculable de besoins ?

Vous croiriez-vous capable de concevoir les millions de plantes dont plusieurs sont absolument interdépendantes ? Ensuite, croyez-vous que vous seriez à la hauteur pour créer plusieurs millions d’espèces d’animaux et d’insectes qui, non seulement, sont interdépendants, mais sont dépendants du monde végétal ? Vous croiriez-vous capable en plus de mettre en place toute la nourriture nécessaire afin de soutenir parfaitement les plantes et les animaux pendant toute la durée de l’existence que vous leur auriez attribuée ? Je pourrais continuer ainsi, mais je crois que vous saisissez ce à quoi je veux en venir.

Arrêtez-vous pour penser à ce qui suit. Tout comme vous ne voudriez pas insulter votre intelligence en vous décrivant comme le résultat d’un hasard aveugle, assurez-vous de ne pas insulter Dieu en suggérant que l’univers entier, avec tout ce qu’il contient, soit venu à l’existence entièrement par lui-même. S’il existe des athées ignorants et assez stupides pour affirmer une telle chose, il existe tout de même des gens intelligents et honnêtes pour ne jamais croire une telle folie simplement parce que des personnes dans leur ignorance l’ont affirmé.

Par le raisonnement et la simple logique, nous venons de fournir une preuve absolue qu’il n’y a qu’un seul Etre suffisamment puissant et intelligent pour prétendre au poste de Concepteur et Architecte de l’univers et de toutes les formes de vie complexes qu’il renferme, incluant le summum de Sa création, l’intellect humain.

Un vide dans le registre des fossiles.

Les évolutionnistes font souvent appel aux preuves du registre des fossiles. De telles preuves existent-elles ? Existe-t-il des ossements et d’autres objets âgés de millions d’années susceptibles de raconter l’histoire, de nous offrir des preuves convaincantes, de l’évolution de l’homme à partir d’organismes simples ? Rappelez-vous, nous voulons des faits —des preuves — non pas des théories qui exigent que nous fassions acte de foi.

La citation suivante provient d’une lettre que le Dr Colin Patterson, paléontologiste principal au Musée britannique d’histoire naturel de Londres, a écrite à L. Sunderland et qui résume bien le « problème des fossiles ». (Partout dans le texte, c’est nous qui traduisons) « …je suis parfaitement d’accord avec vos commentaires sur le manque de preuves directes en ce qui concerne les transitions de l’évolution dans mon livre. Si je savais qu’il en existe, fossiles ou vivantes, j’en aurais certainement parlé… Toutefois, Gould et l’American Museum sont difficiles à contredire quand ils affirment qu’il n’existe pas de fossiles transitoires… .Je vais l’avouer franchement, il n’existe aucun fossile qui puisse être utilisé par quiconque afin d’établir une preuve sans équivoque ».

Quelques fossiles.

Dans les années vingt, on trouva une dent dans une carrière à Snake Creek située dans l’ouest du Nebraska. Les scientifiques avancèrent que cette dent était la preuve de l’existence de l’évolution et prétendirent qu’elle appartenait au « chaînon manquant ». À cause de l’endroit où elle fut découverte et du croquis humanoïde qui fut tracé à partir de celle-ci, on dit qu’elle appartenait à « l’Homme du Nebraska ».

Il y eut beaucoup de bruit autour de cette découverte. Elle fit la une des journaux. Les évolutionnistes se réjouirent. Toutefois, une chose bizarre survint sur le chemin de la théorie de l’évolution. Cinq années plus tard, quelqu’un eut l’idée de demander l’opinion d’un fermier à propos de cette dent. Il l’identifia comme étant une « dent de cochon ». Suite à des fouilles plus poussées, il fut en effet prouvé qu’elle provenait d’un squelette appartenant à une espèce de pécari (cochon sauvage).

Ce sont fréquemment des os, ou des fragments d’os, (dont certains étaient le produit de canulars), qui poussent les évolutionnistes à affirmer qu’un « chaînon » important du registre fossile a été découvert. Suite à une simple découverte de fragment d’os, des artistes se mettent à peindre des tableaux élaborés du prétendu « propriétaire ». On lui donne ensuite un nom puis on le présente comme une preuve convaincante de l’existence de l’évolution.

« L’Homme d’Orce » a été baptisé suite à la découverte de ce qui s’est révélé être un fragment d’os crânien d’un âne. Le « Ramapithèque » était simplement un crâne de babouin. « L’Homme de Piltdown » était un canular et l’homme de Néanderthal fut décrit comme ayant les jambes « croches » simplement parce qu’il était rachitique. Il n’était certainement pas la preuve du chaînon manquant, moitié singe-moitié homme, qui manque au registre des fossiles.

La façon de penser et d’agir de plusieurs évolutionnistes semblent empreints de désespoir. Les citations suivantes sont une démonstration de leur approche du problème.

« Un ancien fragment d’os âgé de 5 millions d’années et que l’on croyait être la clavicule d’une créature s’apparentant à l’homme est en fait une côte de dauphin. Le problème chez un grand nombre d’anthropologistes est qu’ils cherchent tellement un hominidé qu’ils en trouvent dans chaque morceau d’os sur lequel ils tombent », (Dr Tim White, anthropologiste, université de Californie, Berkeley, New Scientist, 28 avril 1983, p. 199 ; c’est nous qui traduisons). « En réalité, l’évolution est devenue dans un certain sens une religion scientifique ; presque tous les scientifiques l’ont acceptée et sont prêts à plier leurs résultats pour qu’ils s’y conforment », (H.S. Lipson, FRS, Professeur de physique, université de Manchester, R-U, ‘A Physicist Looks at Evolution,’ Physics Bulletin, Vol. 31, 1980, p. 138).

Voici les faits. Il n’y a absolument aucune trace de forme transitionnelle, nulle part dans le registre fossile. Lorsque les évolutionnistes affirment « que cela a pris cinquante millions d’années à un poisson pour évoluer et se transformer en amphibien », la vérité toute simple est qu’il n’existe pas de forme de transition qui prouve cette affirmation. Aucune créature a été trouvée avec des nageoires partielles, ou une partie de pieds, de cerveau, de jambes, d’yeux ou de quelque autre partie du corps.

La citation suivante a été faite par le « père » de la pensée évolutionniste. « Pourquoi, si une espèce descend d’une autre espèce par des changements graduels et imperceptibles, ne voyons-nous pas une quantité innombrable de formes transitionnelles ? Pourquoi la nature n’est-elle pas remplie de confusion au lieu de montrer les espèces, telles que nous les voyons, toutes bien définies ? », (L’Origine des espèces, Charles Darwin, chap. 6).

Veuillez considérer l’affirmation suivante au sujet des pièces d’os qui soi-disant représentent des squelettes humains entiers appartenant aux différents stages du registre fossile. Le Dr Leakey, le plus célèbre anthropologiste-paléontologue au monde, a affirmé au sujet du crâne de sa fameuse découverte : « Lucy (connue sous le vocable d’Australopithécus afarensis) est tellement incomplète que la majorité n’est en fait qu’une image en plâtre ». Il a admis qu’aucune conclusion solide ne peut être tirée quant à son espèce, même si on lui a donné un âge de 3,5 millions à 4 millions d’années. J’ai personnellement vu une photographie du « squelette » et l’on ne peut rien conclure.

La couverture d’un magazine national bien connu affichait l’image d’une tête de primate comme introduction à un article intitulé : « Comment les singes sont devenus des humains ». L’article essayait de mettre ensemble un os d’orteil avec d’autres os trouvés environ une quinzaine de kilomètres plus loin, et de se servir de cela en tant que preuve de l’évolution. L’article prenait l’évolution pour une chose acquise.

Cet article était littéralement rempli de termes d’incertitude tels que : « prêt de répondre », « ce qui semble être », « les gens ont spéculé », « nous suggérons », « cela demeure encore un mystère », « probablement », « environ », « on présume », « peut-être », etc. Ce type d’expression se trouve partout dans l’article mais les représentations artistiques et les diagrammes dépeignent la faible « preuve » comme si elle était une preuve absolue.

Le lecteur est sous l’impression que les auteurs eux-mêmes sont incertains et mal à l’aise. C’est le mélange de présomptions alliées à des illustrations artistiques de qualité qui lui confèrent cette crédibilité. Tout cela grâce à un sensationnalisme qui la rend acceptable aux yeux du public.

Songez-y ! Il n’y a aucun lien entre les plantes et les animaux, entre les reptiles et les oiseaux et les mammifères, etc. Le registre fossile montre que les espèces apparaissent soudainement. Lorsque ceci fut accepté, toute la théorie de la micro-évolution s’est effondrée et les évolutionnistes ont admis ce point. Alors ils ont décidé que possiblement le registre serait mieux décrit par la macro-évolution, appelée aussi parfois « équilibre ponctué » ou ce qu’on pourrait appeler la « théorie du monstre espéré ». Cette idée risible suggère qu’un reptile puisse pondre un œuf qui donnerait soudainement naissance à un oiseau.

Il y a un grand nombre de personnes qui acceptent des idées aussi ridicules parce qu’on leur a dit toute leur vie que l’évolution est un fait, qu’il est impossible que cela soit faux puisque « tout le monde y croit ». Une source a admis que : « le fait que les êtres vivants soient adaptés au milieu dans lequel ils vivent, concorde mieux avec l’idée qu’ils ont été créés pour ce dernier plutôt qu’ils aient évolué pour s’y intégrer », (Origins ?, Ranganathan, B.G.).

Tout compte fait, le registre fossile n’a jamais révélé ce que les évolutionnistes espéraient. Le registre ne démontre de façon évidente qu’une seule chose — une création soudaine et spéciale de formes de vie complètes. Croire différemment est faire preuve de malhonnêteté face aux preuves existantes.

L’extraordinaire œil humain.

La suite de cette brochure renferme une brève série d’exemples illustrant le génie créatif de Dieu et qui sont en soi autant de témoignages en faveur d’une création divine littérale. Chacun de ces miracles d’ingénierie est un défi direct lancé aux athées et aux évolutionnistes. Réfléchissez soigneusement pendant que vous lirez ce qui suit et demandez-vous si même un seul exemple aurait pu faire l’objet d’une évolution.

Commençons par l’œil humain. Ce mécanisme complexe est particulièrement spectaculaire et témoigne d’une façon inspirante de la grandeur de l’intelligence suprême de Dieu.

Voici trois affirmations de la part du Dr David N. Menton. La première illustre l’énorme difficulté qu’il y aurait à faire évoluer l’œil humain pour l’amener à son état actuel de complexité.

« La partie la plus extraordinaire de l’appareil oculaire est son « film » ou rétine. Cette mince couche de tissu sensible à la lumière recouvrant l’arrière de la cavité de l’œil est plus mince qu’une pellicule de papier d’emballage transparent. Elle est sensible à un écart beaucoup plus étendu de clarté que tout film fabriqué par l’être humain. Le meilleur film peut réagir à un écart de luminosité variant de 1 à 1000. En comparaison, la rétine possède un spectre dynamique de 1 à 10 milliards (soit 10 millions de fois plus). La rétine, placée dans l’obscurité, est capable de distinguer la lumière produite par un seul photon. À l’inverse, sous un éclairage éclatant, celle-ci s’ajuste afin d’empêcher toute saturation ».

« Les cellules de la rétine sont sensibles à la lumière et agissent comme un amplificateur à gain élevé. La rétine se compose de plus de dix millions de ces cellules. Leur densité est particulièrement élevée au niveau de la fovéa. Avec ses deux cent mille cellules par centimètre carré, c’est une zone d’une très grande sensibilité. Ces photorécepteurs ont un métabolisme très élevé et doivent être remplacés au bout de sept jours. Si nous regardons directement le soleil, elles brûlent, mais sont la plupart du temps rapidement remplacées par de nouvelles cellules. Parce que la rétine est plus mince que la longueur d’onde de la lumière visible, elle est totalement transparente. De plus, chacun de ces minuscules photorécepteurs est beaucoup plus complexe que les ordinateurs les plus sophistiqués que l’homme a inventés. »

Prenez note de ce qui suit. Le Dr Ernest Mayer, évolutionniste, a déjà dit : « Il faut faire un effort considérable pour croire que des systèmes finement équilibrés de certains organes sensitifs (comme l’œil humain ou les plumes des oiseaux) aient pu être améliorés par des mutations aléatoires ».

Même Darwin a déjà dit que la seule pensée de la complexité de l’œil lui donnait des frissons. Voici une raison supplémentaire pour laquelle il aurait pu dire ceci. Cette citation, bien qu’inspirante, fait certainement frissonner : « On estime qu’il doit y avoir dix milliards d’opérations à chaque seconde au niveau de la rétine avant même que l’image lumineuse puisse être transmise au cerveau ». C’est un fait qui donne à réfléchir lorsqu’on compare cela aux performances des meilleurs ordinateurs faits de main d’homme. Dans un article publié dans le magazine Byte (Avril 1985), le Dr John Stevens dit : « Pour simuler le processus de traitement complet par une seule cellule nerveuse de la rétine, il nous faudrait résoudre cent fois, et simultanément, environ cinq cents équations différentielles non linéaires. Ceci prendrait plusieurs minutes sur un super ordinateur Cray. Si nous considérons qu’il y a plus de dix millions de ces cellules qui interagissent les unes avec les autres d’une manière complexe, cela exigerait cent ans de calculs à un ordinateur Cray pour simuler ce qui se passe dans votre œil à chaque seconde », (Dr. David N. Menton, Ph.D., The Eye, Missouri Assoc. for Creation, Inc.— C’est nous qui soulignons).

Nous vous laissons le soin de tirer vos propres conclusions au sujet de ce merveilleux organe qu’est l’œil humain et de sa « capacité » à évoluer. Je ne suis pas surpris que mon propre optométriste ait pu me dire que l’œil n’est pas le produit de l’évolution. Il comprend très bien que cela est impossible. Il a été « inventé » par le Grand Inventeur.

Les termites australiens.

Maintenant, examinons un minuscule organisme, à peu près pas connu, le termite australien. Celui-ci est différent de tous les autres. En réalité il est composé de quatre organismes tous dépendants les uns des autres pour leur propre survie. Ce termite est un exemple où il est impossible d’avoir un des éléments sans avoir les autres. Considérez ce qui suit :

« Lorsque j’ai fait mes classes en microbiologie, j’ai été frappé par un micro-organisme appelé Mixoticha Paradoxa qui vit dans l’intestin du termite australien. Lorsqu’on le vit pour la première fois, il semblait être couvert de poils frisés. Suite à un examen plus approfondi, on s’aperçut qu’il ne s’agissait pas de poils mais bien de spirochètes, un autre micro-organisme totalement différent. Sur la Mixotricha, on retrouve des protubérances ou des appendices sur lesquels les spirochètes s’attachent d’un côté et des bacilles de l’autre côté. Les spirochètes servent en fait de moyen de locomotion à toute la colonie de micro-organismes. En réalité, ce sont trois types de microbes qui ont décidé de vivre en communauté. Ce que nous retrouvons donc est une interdépendance entre un gros microbe, un spirochète, un bacille et un termite australien. Même l’arbre à partir duquel le termite se nourrit pourrait être inclus. Comme évolutionniste, je suppose qu’il faille croire qu’à un certain moment dans le temps, ces organismes ont décidé de se concerter et de travailler tous ensemble ; le Mixotricha pour « développer » les protubérances où le spirochète pourrait enfouir sa tête et en arrière duquel le bacille pourrait se cacher, puis, tous ensemble, auraient « décidé » d’aller vivre dans les intestins du termite », (Douglas B. Sharp, The Revolution Against Evolution, ch. 5. —C’est nous qui soulignons et traduisons).

De toute évidence, ce qui précède est un exemple de création spéciale de tous ces organismes en même temps. Il est impossible qu’ils se soient développés séparément pour en arriver à un point de « rendez-vous » pour ensuite continuer, d’une façon permanente, une existence interdépendante.

Les koalas et les eucalyptus.

La plupart des gens sont familiers avec les koalas en peluche et ont déjà entendu parler des arbres appelés eucalyptus. Il y a quelque chose de particulier à propos de chacun. Ils ne vivent qu’à un seul endroit sur Terre, soit en Australie. Les koalas ne mangent qu’une seule chose : des feuilles d’eucalyptus. Il y en a même qui passeront toute leur vie dans le même bocage. Ces feuilles leur procurent également l’humidité dont ils ont besoin car ils ne boivent pratiquement jamais d’eau.

Les koalas possèdent à l’intérieur de leur système digestif des micro-organismes capables de métaboliser les feuilles d’eucalyptus. Ces dernières sont toxiques pour tout autre créature. En fait ces toxines sont converties en vitamines par ce processus. Comment les koalas ont-ils pu évoluer ?…À moins qu’ils aient été créés avec ces micro-organismes déjà présents dans leur estomac ? Sans ces derniers, manger des feuilles d’eucalyptus leur aurait été fatal. En réalité, leur système est si spécifique qu’ils ne peuvent survivre qu’en mangeant ces feuilles. Plusieurs naturalistes considèrent qu’ils possèdent le « système digestif le plus avancé de la planète ». Le bas niveau de protéines de leur diète (5%) et les quantités de tannins et de toxines absorbées seraient mortelles pour tout autre animal.

Pour être capable de rejeter le principe d’une création spéciale de la part de Dieu, les évolutionnistes sont obligés de conclure : « Quelle chance ont eue ces koalas de voir ces micro-organismes entrer dans leur estomac juste au moment où ils développaient le goût de manger exclusivement des feuilles d’eucalyptus ». Ceci est une preuve que Dieu a créé les koalas.

Les baleines et les dauphins.

La citation suivante démontre l’impossibilité pour les baleines et les dauphins d’avoir évolué jusqu’à leur état actuel. Cela illustre aussi pourquoi nous ne trouvons pas d’autres formes intermédiaires de développement dans le registre fossile.

« On peut démontrer le problème causé par l’absence de forme transitionnelle en citant l’exemple des baleines et des dauphins. (C’est nous qui traduisons tout au long de la brochure). Ces mammifères portent leurs petits vivants, respirent à l’air libre mais passent leur vie dans l’eau. Pour accepter l’évolution des baleines et des dauphins, on doit donc supposer que leurs ancêtres étaient des mammifères terrestres qui, un jour, sont retournés à l’eau pour ensuite se modifier en créatures marines. Toutefois ces mammifères possèdent un tel nombre de caractéristiques extraordinaires et essentielles à leur survie qu’il est impossible qu’ils soient le résultat d’une évolution. C’est un peu comme si on voulait transformer un autobus en sous-marin, une pièce à la fois, tout en roulant à cent kilomètres à l’heure.

Voici une liste de transitions dont doivent tenir compte les partisans de l’évolution du dauphin depuis son départ d’un soi-disant habitat terrestre pré-dauphin. (1) Leur nez devrait reculer vers l’arrière. (2) Les pattes, les griffes ou la queue doivent être transformées en nageoires. (3) Il leur faudrait développer une forme de torpille afin de pouvoir nager avec efficacité. (4) Ils devraient pouvoir boire de l’eau de mer et la dessaler. (5) Toute sa structure squelettique et son métabolisme devraient être refaits. (6) Ils auraient besoin de développer un système sonar avancé pour pouvoir localiser leur nourriture.

Est-il possible que les dauphins acquièrent ces caractéristiques graduellement, au fil des ans pendant des millions d’années ? Qu’en est-il des formes de transitions ? Auraient-elles pu survivre avec une partie seulement de ces traits ? Pourquoi ne trouvons-nous pas de formes transitionnelles ?

Considérez maintenant la baleine et sa taille énorme par rapport au phytoplancton dont elle se nourrit. La baleine est en quelque sorte un aspirateur marin garni de fanons. Pendant qu’elle « développait » ces derniers, avec quoi se nourrissait-elle ? En ce qui me concerne, cela prend tout un effort d’imagination pour accepter l’évolution des baleines et des dauphins. » (Douglas B. Sharp, The Revolution Against Evolution, ch. 5.— C’est nous qui traduisons tout le long du texte).

Il nous faut donc conclure que les baleines et les dauphins ont été créés.

Qu’en est-il des oiseaux-mouches (colibris) ?

Même un survol très bref du monde des oiseaux révèle des choses remarquables. Pratiquement chaque oiseau bâtit son nid d’une façon différente. Les rituels d’accouplement, les rôles sexuels et la reproduction sont différents chez pratiquement chaque espèce. Chez une, les rôles de cueilleur de nourriture par le mâle et de couvaison par la femelle sont inversés. Depuis quand le rôle des sexes a-t-il changé ? (Certaines plantes sont à la fois mâle et femelle. Comment cela s’est-il passé) ?

Les colibris sont le reflet d’un véritable génie. Ils pèsent deux grammes et, tout comme les hélicoptères, sont capables de voler vers l’avant, l’arrière, de côté et faire du sur-place. Leur mécanisme de vol est incroyablement complexe et les pennes de leurs plumes sont plus résistantes par rapport à leur poids que toute structure conçue par l’homme. Ces pennes changent de forme constamment afin de s’ajuster aux pressions de l’air et du vent. La barbe principale de leurs plumes fonctionne de la même manière qu’une hélice, fournissant à la fois la sustentation et la propulsion.

Les trois quarts de leur poids est constitué par les muscles de leurs ailes. Ils ont en plus un genre de système à réaction qu’ils peuvent utiliser lors de l’atterrissage et du décollage. L’air ne circule dans leurs poumons que dans une seule direction afin de fournir suffisamment d’oxygène pour suffire à la demande exigeante de leur vol à haute vitesse. Ils possèdent un train d’atterrissage rétractable et plusieurs autres systèmes particuliers : un de navigation pour les migrations, un pour l’aérodynamisme, un autre de camouflage et encore un autre respiratoire leur permettant d’emmagasiner de l’air supplémentaire dans leurs os creux. Ce dernier peut servir à la fois pour faciliter le vol ou comme système de conditionnement d’air interne. Les colibris doivent manger continuellement afin de pouvoir satisfaire les fortes exigences de leur métabolisme. Arrêter tant soit peu de manger est synonyme de mort en ce qui les concerne. Ce n’est qu’en utilisant un genre « d’hibernation » la nuit qu’ils peuvent survivre. Est-il possible que tout ceci soit le résultat d’une évolution ou d’un événement aléatoire ?

Autant l’abeille butineuse semble défier les lois de la physique par son vol, autant le colibri est particulier en ce qu’il est pratiquement une perfection aérodynamique. Il n’y a que Dieu pour avoir créer une machine volante aussi efficace. Il n’existe aucun ingénieur aéronautique qui ait jamais conçu une chose s’approchant de cette minuscule merveille volante.

Et les poissons ?

La baudroie (ou lotte de mer), le poisson archer (Toxotes Jaculator) ainsi que l’anableps sont trois poissons qui littéralement font une moquerie de l’évolution.

La baudroie femelle possède un leurre qui pend à partir d’un appendice sur le devant de son nez. Elle l’agite afin d’attirer vers elle les poissons pour les gober. Le mâle n’en a pas car il ne mange jamais. Il a plutôt une façon de s’attacher à la femelle pour que la circulation sanguine de cette dernière se mélange à la sienne et ainsi le nourrisse. Les évolutionnistes ne peuvent expliquer la baudroie.

Le poisson archer peut abattre des insectes situés au-dessus de la surface de l’eau en faisant gicler des gouttes d’eau en leur direction. L’eau réfracte la lumière causant ainsi une déformation des cibles à atteindre. Cela devrait présenter un gros problème d’ajustement de tir pour le poisson. Comment tous les poissons archers réussissent-ils instinctivement à calculer cet angle de déviation de manière à atteindre leur proie.

L’anableps est un poisson possédant des yeux tout à fait remarquables. Ils lui permettent de se tenir en surface et de voir hors de l’eau et sous l’eau en même temps. Ses yeux sont littéralement séparés en deux sections différentes. Comment l’évolution a-t-elle pu faire pour permettre à la moitié d’un œil de s’adapter de manière à voir hors de l’eau en même temps que le contraire pour l’autre moitié ?

Quel est l’ingénieur qui ait jamais réussi à construire un sous-marin aussi efficace que ces poissons, dont la conception en fait de parfaits chasseurs dans l’environnement où ils vivent ?

Toute conception requiert un CONCEPTEUR.

Nous ne voulons pas conclure cette brochure avant d’avoir jeté un coup d’œil sur deux autres sources. De plus en plus de scientifiques acceptent l’idée que les merveilles qui nous entourent sont la preuve d’une conception magistrale qui demande que nous acquiescions à l’existence d’un Grand Concepteur. Un nombre de plus en plus grand parmi eux croient qu’accepter tout autre explication équivaut à nier la réalité. Voici deux citations dont la première est une introduction à la seconde.

« Il va de soi pour tous de conclure naturellement et aisément que toute chose hautement organisée ou qui a fait l’objet d’une conception (les machines, les maisons, etc.) doit son existence à un concepteur. Ça ne serait pas naturel de tirer une autre conclusion. Par contre l’évolution exige que nous fassions fi de cette logique en nous demandant de croire à ce qui est contre-nature, déraisonnable et, on doit le dire, incroyable. Ce qui justifie l’abandon de ce qui serait naturel et raisonnable de croire ne sont pas des faits, des observations ou l’expérience mais plutôt des extrapolations faites à partir de probabilités et de mathématiques abstraites et de la philosophie », (Wysong, R. L., The Creation/Evolution Controversy, 1976).

Et de dire notre seconde source : « En conclusion, il est important de réaliser que nous ne déduisons pas qu’il y a eu conception à partir de choses que nous ne connaissons pas mais bien à partir de choses que nous connaissons. Nous n’inférons pas qu’il y a eu conception pour expliquer un résultat qui proviendrait d’une « boîte noire » mais bien pour expliquer ce qui provient d’une boîte ouverte. Un homme de culture primitive, qui verrait une automobile, pourrait penser qu’elle est propulsée par le vent ou par une antilope cachée sous le capot, mais en levant ce dernier et en voyant le moteur, il réaliserait immédiatement que c’est quelque chose de fabriqué. Il en est de même de la cellule. La biochimie nous a permis de l’ouvrir, d’examiner ce qui la fait fonctionner et de constater qu’elle aussi est quelque chose qui a été fabriqué.

Ce fut un choc pour les gens du dix-neuvième siècle lorsqu’ils découvrirent que, selon les observations faites par la science, plusieurs caractéristiques du monde biologique pouvaient être attribuées à l’élégant principe de la sélection naturelle. C’est un choc pour nous, aujourd’hui, au vingtième siècle, de découvrir, à partir d’observations faites par la science, que les mécanismes fondamentaux de la vie ne peuvent être attribués à la sélection naturelle et, qu’en conclusion, ils sont le résultat d’une conception. Mais nous devons nous remettre de ce choc et continuer. La théorie de l’évolution libre est déjà morte, mais le travail de la science continue », (Behe, Michael J., Molecular Machines).

Il n’y a aucun doute que la véritable science sera toujours en harmonie avec les faits. Croire en Dieu et en une création spécifique ne va ni à l’encontre de Sa volonté ni contre les faits réels démontrés par la science.

La probabilité de l’existence de la Terre.

Imaginons un voyage vers la Lune à partir de laquelle nous regardons la Terre. Arrêtons-nous pour penser à tout ce que nous avons laissé derrière en la quittant. Nous pourrions nous demander : quelles sont les probabilités que celle-ci, avec toutes ses plantes, ses animaux, ses écosystèmes et leurs interdépendances complexes, ait pu voir le jour par elle-même ? Quelles sont les probabilités réelles que cela ait pu se produire une seule fois ? Autrement dit, quelles sont les probabilités de l’existence d’une planète comme la nôtre ?

Un grand nombre de scientifiques ont constaté que, pour un système solaire comme le nôtre, la Terre occupe, par rapport à la Lune, une position fort improbable. Si la Terre s’éloignait de 10 % de sa distance du Soleil, elle se congèlerait. Si, au contraire, elle se rapprochait de 10 % de cette distance, elle deviendrait un four. Si la Lune était plus proche de 20 % de sa distance actuelle, des vagues de fonds de 10 à 15 mètres de hauteur déferleraient à grande vitesse deux fois par jour sur la majeure partie des terres actuelles.

Le Dr Hugh Ross a pris le temps de faire des calculs mathématiques complexes en relation avec l’état actuel des choses. Il a considéré 123 paramètres différents et a calculé les probabilités, pour que ces facteurs essentiels à une Terre telle que nous la connaissons puissent venir à l’existence en même temps, par hasard.

Nous devons citer quelques-uns des paramètres qu’il a pris en compte afin d’être en mesure d’évaluer la complexité des calculs qu’il a dû effectuer.

Il a déterminé les valeurs exactes pour la taille de la galaxie, de son type, de sa localisation, de la date de naissance du soleil, de la proximité de la nébuleuse solaire originale par rapport à une supernova, le nombre de lunes, la masse et la distance des lunes, les forces des marées, l’inclinaison de l’axe de la Terre, la distance la séparant des étoiles, la distribution des continents, l’épaisseur de la croûte terrestre, la transparence de l’atmosphère, la pression, la viscosité, les niveaux de CO2, les quantités présentes de chlore, de cobalt, de cuivre, de fluor, de nickel, de potassium ainsi que de nombreux autres éléments présents dans la croûte terrestre, le ratio oxygène-azote, l’activité volcanique et des dizaines d’autres facteurs. À partir de là, le Dr Ross a effectué un dernier calcul pour arriver à une conclusion quant aux chances de trouver une planète comme la nôtre dans l’univers entier.

Les résultats de ces calculs — c’est-à-dire les chances de trouver tous les 123 paramètres sur une seule planète — « moins d’une chance sur 10 139 (ou si vous préférez, sur dix millions de billions de billions de billions de billions de billions de billions de billions de billions de billions de billions de billions) qu’il puisse exister même une seule planète semblable à la nôtre, où que ce soit, dans tout l’univers.

Cela représente un grand nombre de zéros !

Il y a de cela quelques décennies, le chiffre le plus grand utilisé par les mathématiciens était le « vigintillion » soit le nombre « un » suivi de soixante-trois zéros. C’est l’équivalent en français de « mille décillions ». Un billion a quinze zéros et un trillion en a dix-huit. Aussi immenses que puissent paraître ces nombres, la probabilité qu’apparaisse une planète comme la nôtre dans tout l’univers est tellement faible que même un trillion est minuscule en comparaison. (Il est important pour nous de comprendre que l’étude de l’univers fait nécessairement appel aux mathématiques).

En résumé, l’apparition d’une seule autre planète semblable à la nôtre, où que ce soit dans l’univers, est d’une impossibilité totale. Tout mathématicien « digne de ce nom » admettra que la Terre a été créée telle que nous la voyons.

Des scientifiques et des athées gênés.

Cette brochure ne représente qu’une fraction de ce que j’ai dû étudier afin de pouvoir l’écrire. Elle aura tout aussi bien pu contenir mille pages sans épuiser le matériel qui aurait pu la constituer. Mais toutes choses, y compris cette brochure, doit avoir une limite raisonnable.

Paul a écrit à propos de ceux qui refusent d’accepter l’existence de Dieu bien qu’ils soient en présence de preuves évidentes : « … car ce qu’on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux, Dieu le leur ayant fait connaître. En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’oeil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables, puisque ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces ; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur coeur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres », (Rom 1 :19-21). La science moderne est sans excuse lorsqu’elle choisit de croire et d’enseigner l’évolution et d’ignorer l’existence de Dieu. Le dicton dit : « Il n’y a pas plus aveugle que celui qui refuse de voir ». Si les gens refusent d’accepter les preuves, l’évidence, la vérité au sujet de l’existence de Dieu, rien de ce que l’on pourrait leur dire ne leur enlèvera la cécité dans laquelle ils se complaisent. Rappelez-vous, il n’y a que « l’insensé qui disent en son cœur : il n’y a point de Dieu ».

Voici une dernière citation de la science qui résume bien la raison pour laquelle plusieurs athées et évolutionnistes se sentent frustrés et désabusés.

« Trouver un début actuel à l’univers est une chose à laquelle nombre de scientifiques ne s’attendaient pas. Ce fait a rendu la plupart d’entre-eux, incluant Einstein, très mal à l’aise. Il existe en sciences un « genre de religion » dit Jastrow, « c’est la religion de celui qui croit qu’il y a dans l’univers ordre et harmonie et que chaque événement peut être expliqué de façon rationnelle comme étant le résultat de d’autres causes précédentes, chaque effet devant avoir sa cause, sans Cause Première ». Mais voilà, il y a eu un Premier Effet. La majorité des astronomes et des physiciens sont maintenant d’accord pour dire que l’univers a eu un début à un moment précis. Il lui faut donc une Cause Première, un « Auteur » primordial — Dieu — qui ait mis l’univers en mouvement. Pour le scientifique ayant vécu sa vie avec foi « dans les montagnes de l’ignorance », arrive le moment de la conquête du plus haut sommet, moment où se hissant par dessus le dernier obstacle rocheux il est accueilli par une bande de théologiens assis là depuis des siècles. (The New American, “Divine Design, D. Behreandt, 18 décembre. 2000 — Partout, c’est nous qui traduisons).

Avis aux sceptiques.

Parmi les gens instruits de l’Occident, le terme commun qui décrit ceux qui refusent d’accepter l’autorité d’un Dieu tout-puissant est « déiste », « rationaliste » ou, d’une manière encore plus familière, des « gens de haute culture ».

La Bible enseigne que « l’affection de la chair est inimitié [hostile] contre Dieu, parce qu’elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu’elle ne le peut même pas », (Rom 8 :7). Ceci est le penchant naturel de tous les êtres humains — vous inclus — même si personne ne veut le croire ou l’admettre, (Lire Jér 17 :9). Il n’y a aucune preuve, évidence, fait, logique ou raisonnement suffisamment convaincants qui réussiront à amener quelqu’un à croire et à se soumettre à Dieu. Les êtres humains ne sont pas disposés à mettre de côté leurs préjugés naturels et automatiques qui vont à l’encontre de la foi en Dieu et de la soumission à Sa bienveillante autorité. Cette attitude réticente envers un Dieu tout-puissant qui leur dit comment ils doivent vivre est sans doute suffisante pour malheureusement empêcher la plupart des gens d’accepter en toute honnêteté les preuves présentées dans cette brochure.

Qu’avez-vous l’intention de faire ?

Dans sa brochure « Dieu existe-t-il ? », M Herbert W. Armstrong a conclu sous le titre « L’horloge maîtresse de l’univers » avec l’affirmation suivante :

« Et vous, M. le Sceptique — vous contemplez les cieux immenses constituant l’horloge maîtresse de l’univers, celle qui ne retarde jamais d’une seconde — l’horloge parfaite sur laquelle toutes les autres montres imparfaites créées par l’homme doivent s’ajuster — et vous me dites : Tout cela est fortuit ! Il n’y a jamais eu de Grand Horloger ! Aucun Concepteur ultime qui ait pensé et planifié ce vaste univers. Personne l’ayant amené à l’existence, mettant chaque étoile à sa place particulière pour ensuite lancer la course de chaque corps céleste à travers l’espace, chacun selon sa propre orbite, avec une précision parfaite. Non, tout cela s’est fait tout seul, s’est mis en place sans l’aide de personne, s’est ensuite remonté de lui-même pour ensuite démarrer spontanément. Il n’y a eu aucune intelligence, aucune planification, aucune création, aucun Dieu !

Est-ce bien ce que vous me dites ?

Si c’est cela, alors ma réponse est que je n’ai aucun respect pour votre intelligence. Et le Dieu que je connais vous dit : « L’insensé dit en son cœur, il n’y a pas de Dieu », (Ps 14 :1; 53 :1).

Si vous pouvez regarder autour de vous et constater avec quel soin toutes choses dans la nature, autant chez les plantes que chez les animaux, ont été planifiées et exécutées — tout, excepté les choses bousillées, bâclées et polluées par la main d’hommes voulant ignorer et rejeter Dieu, — pour ensuite dire que vous doutez de l’existence d’un Dieu créateur, d’une sagesse infinie, omniscient et omnipotent, alors je n’ai pas grand foi en votre rationalité ni en votre sincérité en tant que personne à la recherche de la vérité ».

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