JavaScript

This website requires the use of Javascript Explain This   to function correctly. Performance and usage will suffer if it remains disabled.
Enregistrer pour le lire plus tard
Disponible dans ces langues :
  Français
OĂ¹ se trouve l’Église de Dieu aujourd'hui ?
Photo of a CongregationNew York, Etats-Unis Photo of a CongregationJamaĂ¯que Photo of a CongregationPĂ©rou Photo of a CongregationIdaho, Etats-Unis Photo of a CongregationInde Photo of a CongregationBelgique Photo of a CongregationKenya Photo of a CongregationArkansas, Etats-Unis Photo of a CongregationAfrique du Sud Photo of a CongregationAngleterre Photo of a CongregationNigĂ©ria Photo of a CongregationOhio, Etats-Unis

Il existe une seule organisation qui enseigne l’entière vĂ©ritĂ© de la Bible et qui est appelĂ©e Ă  vivre de “toute parole de Dieu.†Savez-vous comment la trouver ? Christ a dit qu’elle :

  • enseignerait tout ce qu’Il a ordonnĂ©
  • appelerait les membres mis Ă  part par la vĂ©ritĂ© pour sortir du monde
  • serait un petit troupeau

Les principes divins d’une vie saine

Il y a une cause pour chaque effet. Lorsque les lois physiques de Dieu sont transgressées, il en résulte la maladie et les afflictions. Mais si vous les observez diligemment, vous serez en bonne santé, heureux et « plein de vie ». Cette brochure restaure la connaissance des principes de Dieu pour une vie saine, lesquels ont été largement abandonnés par le monde.

La crĂ©ation physique de Dieu est rĂ©gie par des lois physiques bien prĂ©cises. Parmi ces lois, il y a notamment celles qui rĂ©gissent le fonctionnement de notre organisme. Pour Ăªtre en bonne santĂ©, vous devez les suivre. Mais quand elles sont transgressĂ©es, cette transgression entraĂ®ne la maladie.

Quand une personne viole ces principes et ces lois de la santé - que ce soit par un acte volontaire, une négligence ou une omission — , le corps en souffre. Parmi les nombreux résultats négatifs, il y a la malnutrition, l’atrophie due à l’inactivité ou l’épuisement à la suite d’un manque de repos - une simple relation de cause à effet.

Dans cette brochure, nous explorerons plusieurs facteurs qui contribuent au bien-Ăªtre physique, et nous vous aiderons Ă  identifier les domaines de votre vie oĂ¹ des amĂ©liorations pourraient Ăªtre apportĂ©es. Certains facteurs vous demanderont de rompre avec de mauvaises habitudes fermement Ă©tablies. Celles-ci doivent Ăªtre remplacĂ©es par de nouvelles habitudes qui s’harmonisent avec les lois de Dieu touchant le bien-Ăªtre et la santĂ©. Une personne qui veut obĂ©ir Ă  Dieu cherchera les voies et les moyens qui amĂ©liorent et optimisent sa vie. Cette recherche inclut le fait dâ€™Ăªtre plus alerte, Ă©veillĂ© et dynamique !

Bien que cela ne soit pas indiqué en détail dans les Dix Commandements ou dans les autres lois et préceptes, les lois physiques touchant la santé sont des lois vivantes - elles sont réelles — , la Bible en présente un grand nombre comme des principes. L’inobservance desdites lois constitue une transgression physique, c’est-à-dire un péché physique.

La Dégradation de la Santé

Tout le long de l’histoire, y compris au temps de l’ancien IsraĂ«l, et mĂªme Ă  l’époque de Christ, la consommation des aliments gĂ©nĂ©ralement disponibles Ă©tait, dans la plupart des cas, des produits nutritifs. Ce n’est plus vrai. De nos jours, la consommation des aliments de base qui sont disponibles peut donner comme rĂ©sultats des carences nutritionnelles graves. Ces aliments regorgent de toxines et de bien d’autres Ă©lĂ©ments nuisibles !

GrĂ¢ce Ă  la technologie, l’homme a dĂ©sormais la capacitĂ© d’irradier son approvisionnement alimentaire. Cela suppose, en consĂ©quence logique, l’utilisation de radiations pour tuer les bactĂ©ries, principalement dans les produits frais. La plus grande prĂ©occupation demeure l’usage croissant des modifications gĂ©nĂ©tiques, surtout aux États-Unis, oĂ¹ l’étiquetage n’est pas nĂ©cessaire pour rĂ©vĂ©ler ce que beaucoup considèrent comme une pratique non testĂ©e, risquĂ©e et possiblement dĂ©vastatrice. L’emploi de l’ingĂ©nierie gĂ©nĂ©tique s’est aujourd’hui propagĂ© pour inclure la plus grande partie des sojas, des maĂ¯s, des autres cĂ©rĂ©ales, des lĂ©gumineuses, des fruits et des produits frais, sans oublier les poissons qui sont Ă©levĂ©s dans les piscicultures, tout en affectant indirectement la majeure partie des produits laitiers et des viandes en vente sur le marchĂ© libre.

Nombre de personnes considèrent ces "découvertes capitales" comme infiniment plus dangereuses que ne l’indiquent leurs promoteurs, lesquels récoltent une manne financière de ces entreprises cautionnées par les autorités gouvernementales. Alors que la plupart des pays Européens, Asiatiques et bien d’autres ont sévèrement rejeté une telle altération de leur approvisionnement alimentaire, les Américains donnent le plein pouvoir à leur gouvernement de mettre en application n’importe quelle ligne de conduite qu’il choisit. Ils élèvent les sciences médicales et la technologie au-dessus de Dieu, et acceptent, intentionnellement, les ordres du gouvernement et des "experts" de la science.

Pour restaurer ou préserver la santé, vous devez vous efforcer de manger des denrées alimentaires non transformées comme Dieu l’a voulu.

Le fait de « suivre la tendance », c’est-Ă -dire la consommation d’aliments dĂ©pourvus de valeurs nutritives, des aliments normalement acceptĂ©s qu’on retrouve sur les Ă©tagères des supermarchĂ©s et dans la plupart des restaurants, peut-Ăªtre plus dangereux que ne s’en rendent compte la plupart des gens. Nous devons comprendre ce que constitue une nourriture saine et oĂ¹ elle peut Ăªtre trouvĂ©e. Vous devez aussi reconnaĂ®tre les dangers d’un mode de vie sĂ©dentaire, si frĂ©quent aujourd’hui, dĂ» Ă  une dĂ©pendance totale aux automobiles.

Les Questions de Santé

Une vie saine va au-delà de la nourriture et de l’activité physique. Cette brochure répondra à des questions de ce genre :

Pourquoi le repos est-il si important ? Comment pouvons-nous réduire les toxines ? L’hygiène est-elle importante ? Les compléments alimentaires peuvent-ils nous aider ? Qu’en est-il des herbes et des avantages des remèdes à base de plantes ? Toutes ces questions et de nombreuses autres nécessitent des réponses !

Il se peut, sans doute, que vous marchiez dĂ©jĂ  quelques minutes par semaine. Il se peut, possiblement, que vous essayiez dĂ©jĂ  de manger un ensemble d’aliments variĂ©s et sains. Si oui, cette brochure renforcera ce que vous pratiquez dĂ©jĂ . Très probablement, mĂªme si vous mettez dĂ©jĂ  en Å“uvre la plupart de ces pratiques, vous obtiendrez de nouvelles idĂ©es, un nouvel aperçu.

Dieu ne veut pas que nous soyons ignorants de la façon dont l’interrelation de cause Ă  effet se rapporte Ă  une vie saine. L’application de ces principes de manière Ă©quilibrĂ©e procure de grands avantages. Une vie saine n’est pas une fin en soi. Il faudra Ă©viter par consĂ©quent de se laisser emporter ou dâ€™Ăªtre obsĂ©dĂ© par la santĂ© - n’en faites pas votre Dieu !

Une fois que vous connaissez les principes qui rĂ©gissent la santĂ©, vous pouvez progresser dans la connaissance et mieux les pratiquer. Mais cette connaissance devrait Ăªtre simplement votre point de dĂ©part, avec Ă  l’esprit des objectifs Ă  long terme. Le physique est au mieux temporaire. Tandis que vous dĂ©montrez Ă  Dieu que vous avez sagement gĂ©rĂ© ces ressources physiques, vos principaux objectifs dans la vie doivent dĂ©passer « l’ici et maintenant ». Vous ne devez pas trop vous focaliser sur l’exercice physique ou les produits alimentaires.

Dans cette vie, certaines souffrances sont nécessaires. Dieu nous permet d’endurer certains maux et afflictions physiques pour une raison bien précise. Dans certains cas, les épreuves se présentent sous la forme d’affliction physique. Cependant, en prenant appui sur certains faits et connaissances, et en agissant relativement à ces choses, vous pouvez montrer à Dieu votre volonté de bien prendre soin de votre organisme - « le temple du Dieu vivant » (I Cor. 3 : 16-17). Cela conduira à une plus grande résistance et à une immunité contre la maladie et les troubles de l’organisme.

Deux Concepts de Traitement de la Maladie

Il convient d’affirmer que deux concepts s’opposent pour ce qui est des moyens thérapeutiques et hygiéniques employés pour guérir des maladies. Le CONCEPT TRADITIONNEL du traitement des maladies n’est pas très différent du vaudou. La seule différence est que « les mauvais esprits » ont été remplacés par des microbes, des bactéries ou des virus. Le concept traditionnel stipule que la maladie frappe de façon imprévisible des victimes qui ne se doutent de rien, ce sont des choses que les gens « attrapent ». Le travail de « l’homme de médecine » moderne consiste dans le sauvetage de la victime en tuant ou en chassant les mauvais intrus (le microbe ou le virus) avec le pouvoir médical "magique" issu de son arsenal d’aiguilles et de prescriptions.

Le CONCEPT BIOLOGIQUE plus récent soulève une objection à propos de la pharmacothérapie traditionnelle relativement au traitement des maladies. Elle s’appuie sur la preuve irréfutable selon laquelle les bactéries ou les virus qui envahissent l’organisme ne sont pas la première cause ou la cause principale de la maladie. C’est plutôt une résistance immunitaire affaiblie, provoquée par des modes de vie qui détruisent la santé. Les bactéries n’entrent en jeu que dans les stades ultérieurs. Elles aident, dans ces conditions, à mettre un terme à des organismes qui manquent d’une défense solide pour lutter contre elles. Tous les organismes sains ont en commun une forte immunité.

Les scientifiques et les biologistes savent que les bactéries sont toujours présentes dans notre environnement, ainsi que dans un état dormant dans tous les organismes. Ces bactéries sont presque invariablement et complètement inoffensives lorsque la santé et la résistance naturelles sont maintenues. Cependant, elles interviendront et détruiront l’organisme hôte dès lors que sa vitalité et sa résistance s’affaibliront ou diminueront.

Plutôt que de traiter les symptômes avec les médicaments, le concept biologique met l’accent sur la recherche et la réévaluation des CAUSES de la maladie. Dans certains cas, les résultats arrivent rapidement. D’autres fois, les résultats prennent plus de temps. Pour résumer, l’approche de cause à effet a été beaucoup plus réussie que le traitement des symptômes.

La bonne santĂ© est un attribut prĂ©cieux. Vous devez la maintenir, sans quoi elle se dĂ©tĂ©riore. Des habitudes de vie traditionnelles et certains milieux sont hostiles Ă  une bonne santĂ©. Ă€ moins que vous fassiez un effort pour la protĂ©ger et la perpĂ©tuer, une bonne santĂ© pourrait facilement disparaĂ®tre, mĂªme Ă  un Ă¢ge prĂ©coce. En nous dĂ©barrassant de nos mauvaises habitudes et en vivant dans un environnement appropriĂ©, l’organisme a Ă©tĂ© conçu pour se guĂ©rir soi-mĂªme et demeurer naturellement en bonne santĂ© physique.

Première Partie : La Réactivation De Votre Organisme

Quel est l’élément essentiel qui manque le plus dans les habitudes de vie de l’homme, et qui s’avère préjudiciable à sa santé ? Les médecins et les professionnels de la santé soulèvent cette question dans de nombreux forums et publications. Leur réponse est pratiquement toujours unanime, et sonne comme une surprise pour certaines personnes.

Les professionnels de la santĂ© citent l’inactivitĂ© comme la tendance moderne la plus dommageable. L’activitĂ© quotidienne - la pratique rĂ©gulière d’activitĂ©s physiques - est la solution. Le corps humain a Ă©tĂ© conçu pour Ăªtre actif et Ăªtre libĂ©rĂ© de la « malĂ©diction de l’inactivitĂ© ».

L’inactivitĂ© est imputĂ©e en partie Ă  la tĂ©lĂ©vision, Ă  l’automobile, aux chaĂ®nes de montage ou aux emplois de bureau et Ă  la paresse. De nombreuses personnes sont chroniquement fatiguĂ©es et ne ressemblent plus simplement Ă  des individus qui ont « rĂ©activĂ© leur organisme ». Or, trop souvent, les pressions et les responsabilitĂ©s de la vie semblent limiter les possibilitĂ©s d’atteindre mĂªme les objectifs les plus Ă©lĂ©mentaires, tels que l’amĂ©lioration de la santĂ©. Mais, si de telles personnes prenaient des mesures pour amĂ©liorer leur santĂ©, elles pourraient Ăªtre surprises !

Les Exercices d’Aérobic

S’il arrivait qu’une compagnie pharmaceutique vendît un médicament avec des résultats prouvés comme ceux de la pratique d’activités physiques régulières et soutenues, la nouvelle serait largement annoncée dans les médias de masse et largement diffusée dans les actualités nationales. Cette vente rapporterait à la société des milliards de dollars.

Ironie du sort, l’idée de remplacer l’inactivité avec juste un peu d’activités physiques soutenues et planifiées n’est simplement pas attrayante pour le public. Par conséquent, nombre de personnes dédaignent la notion d’un programme d’exercices, en faisant la déclaration suivante : « Je ne suis pas un coureur de marathon. Je n’ai tout simplement pas le temps pour ce genre d’activités ». Quelle ironie ! Si tant est que ces avantages provinssent d’un « médicament qui fait des merveilles » et qui est vendu sans ordonnance, la plupart des gens paieraient des milliers de dollars pour le « traitement ». Pourtant, ils n’envisageraient, en aucune façon, de marcher seulement 10 minutes ou plus par jour.

Vous trouverez ci-dessous quelques avantages des activitĂ©s physiques (continues et ininterrompues) rĂ©gulières et soutenues, comme la marche. D’autres formes plus vigoureuses d’activitĂ©s physiques soutenues incluent la course, le vĂ©lo, la natation, le basket-ball et mĂªme la course sur place. Ces formes d’activitĂ©s physiques s’appliquent principalement aux plus jeunes ou aux personnes dâ€™Ă¢ge moyen qui sont en bonne forme physique.

Il va de soi que, si vous décidez de commencer un programme d’activités physiques vigoureuses après avoir été inactif pendant une longue période, vous devez : (1) Demandez l’avis d’un médecin. (2) Commencez doucement et augmentez graduellement votre rythme à mesure que votre condition physique s’améliore. (3) Procédez avec prudence.

La marche est l’activitĂ© physique la plus pratique pour la plupart des personnes - et pour la plupart des horaires choisis. Prendre le temps de le faire pendant une longue pĂ©riode ou sur une longue distance et de façon rĂ©gulière peut gĂ©nĂ©rer d’énormes avantages ! MalgrĂ© cela, la majoritĂ© de la population est relativement inactive. Mis Ă  part le travail, les tĂ¢ches mĂ©nagères ou des occupations dans le jardin, la plupart des gens ne pratiquent pas d’activitĂ©s physiques.

Les avantages des activitĂ©s physiques rĂ©gulières et soutenues ont Ă©tĂ© connus et apprĂ©ciĂ©s depuis de nombreuses gĂ©nĂ©rations. Toutefois, ce fut un ouvrage de Kenneth Cooper, M. D, intitulĂ© AĂ©robics, qui a officiellement dĂ©crit de façon dĂ©taillĂ©e ses avantages. Les exercices d’aĂ©robie sont principalement destinĂ©s Ă  mettre en bonne condition physique le cÅ“ur et les poumons, lesquels distribuent l’oxygène dans l’organisme.

Tragiquement, l’humanité souffre aujourd’hui d’une myriade de troubles cardiaques. Il y a quelques générations, avant que les gens ne fussent devenus tellement dépendants des machines, ce n’était pas le cas. Les maladies cardio-vasculaires sont, à l’époque actuelle, la première cause de décès.

Le corps humain n’a pas Ă©tĂ© crĂ©Ă© pour Ăªtre incessamment inactif. Les exercices d’aĂ©robie visaient Ă  rĂ©tablir un processus qui pourrait rajeunir l’ensemble du système cardio-vasculaire. La marche au travail ou Ă  la maison ne se fait pas gĂ©nĂ©ralement de façon continue ou sur une pĂ©riode et une distance prolongĂ©e. Dans ces conditions, elle n’a pas une valeur aĂ©robique significative.

Dans son ouvrage, le Dr Cooper rĂ©sume ainsi l’inactivitĂ© : « La plupart des symptĂ´mes mĂ©dicaux provoquĂ©s par l’inactivitĂ© sont bien connus et ils sont alarmants. Un organisme qui n’est pas entraĂ®nĂ© et exercĂ© se dĂ©tĂ©riore. Les poumons deviennent inefficaces, le cÅ“ur s’affaiblit, les vaisseaux sanguins deviennent moins souples, les muscles perdent leur tonicitĂ© et gĂ©nĂ©ralement l’organisme s’affaiblit dans son ensemble, devenant corollairement vulnĂ©rable face Ă  un ensemble de maladies. Votre système entier qui doit fournir l’oxygène se recroqueville presque littĂ©ralement.

« Et, si vous combinez le crime de l’inactivité en fumant deux paquets de cigarettes par jour, en mangeant tout ce qui vous frappe la vue, et en vous préoccupant de tout le reste - y compris de votre santé — , dans ce cas-là, le seul conseil que je puisse vous donner consiste dans le maintien à jour des paiements de votre assurance, si tant est que vous ayez les moyens d’en avoir une.

« L’endurance est cependant le meilleur type d’assurance » (p. 11).

Les Avantages de la Mise en Forme ou du Fitness

La marche est, une fois de plus, l’activité physique la plus pratique pour nombre de personnes. Elle n’est qu’une des nombreuses activités physiques qui produiront des bénéfices réels :

  • La marche augmente l’efficacitĂ© des poumons, en les mettant dans les conditions propices pour traiter plus d’air avec moins d’effort. Pendant un travail Ă©puisant, un homme en bonne condition physique peut traiter presque deux fois autant d’air qu’une personne usĂ©e par l’inactivitĂ©.
  • La marche augmente l’efficacitĂ© du cÅ“ur. Ă€ l’instar de tout autre muscle, il devient plus fort et pompe plus de sang Ă  chaque battement, rĂ©duisant le nombre de battements nĂ©cessaires. Pour prendre un exemple, un homme en bonne condition physique peut avoir une frĂ©quence de battements cardiaques au repos 20 fois plus lente qu’une personne qui est en piètre forme physique. Cela permet d’économiser plus de 10 000 battements en une seule nuit de sommeil.
  • La marche augmente le nombre et la taille des vaisseaux sanguins qui transportent le sang vers les tissus de l’organisme.
  • La marche augmente le volume sanguin total : « Elle produit plus de sang, prĂ©cisĂ©ment plus d’hĂ©moglobine qui transporte l’oxygène, plus de globules rouges qui transportent l’hĂ©moglobine, plus de plasma sanguin qui transporte les globules rouges et par consĂ©quent plus de volume total... Un homme de taille moyenne peut augmenter son volume sanguin de près d’un quart Ă  la suite d’une activitĂ© aĂ©robie. Et, de cette quantitĂ©, les globules rouges peuvent augmenter proportionnellement » (Ibid. p. 91).
  • La marche amĂ©liore la tonicitĂ© des muscles et des vaisseaux sanguins, les changeant de faible et de mou en fort et ferme. Ă€ quelques exceptions près, elle rĂ©duit la tension artĂ©rielle.
  • La marche, notamment 30 minutes par jour, permet de brĂ»ler progressivement la graisse, laquelle est essentiellement de l’énergie stockĂ©e.
  • La marche peut aussi complètement changer votre regard sur la vie. Elle peut vous aider Ă  vous dĂ©tendre, dormir plus profondĂ©ment et Ăªtre en mesure de mieux supporter le stress de la vie quotidienne. Vous serez en mesure d’accomplir plus de travail, tout en Ă©prouvant moins de fatigue.

Compte tenu de ces avantages, quelle excuse y a-t-il pour ne pas amĂ©liorer notre condition physique en ayant un programme de marche de 10 minutes par jour ? Pour certaines personnes, des infirmitĂ©s graves ou des affections pourraient les empĂªcher de mettre en Å“uvre un tel programme. Mais pour tous les autres, les avantages l’emportent largement sur les inconvĂ©nients.

La plupart des gens ne peuvent pas avoir un endroit pratique, sĂ»r, ou acceptable pour pratiquer la marche. Quelques façons de rĂ©soudre ce problème pourraient Ăªtre : (1) Marcher en faisant le tour de la cour ou du jardin (2) marcher sur un tapis roulant (3) alternativement faire du jogging et marcher sur place, ou (4) faire du cyclisme sur un vĂ©lo stationnaire. (5) On peut Ă©galement envisager de marcher ou de faire la natation au YMCA/YWCA (abrĂ©viation Young Women’s Christian Association) qui est une association chrĂ©tienne de jeunes filles (surtout connue pour ses centres d’hĂ©bergement).

Dans certains cas, le ressenti des avantages Ă  long terme d’un programme de mise en forme physique demande de L’INGÉNIOSITÉ. En Ă©tant inventif, vous pourriez mettre en Å“uvre un programme permettant de vous renforcer d’une façon très significative sur le plan physique et mental. Reste toutefois le fait de dĂ©terminer si vous apprĂ©cierez suffisamment les rĂ©compenses pour Ăªtre enclin Ă  en payer le prix !

Les Activités Physiques sont Essentielles

Depuis que le Dr Cooper a fait connaître les résultats de ses recherches, d’autres recherches les ont confirmés. La recherche moderne a identifié et isolé les enzymes spécifiques qui favorisent une attitude positive après une marche soutenue ou après une activité physique. Ils sont beaucoup plus efficaces que les stimulants de bonne humeur ou les produits chimiques qui favorisent une attitude positive - et cette fois, sans les effets secondaires négatifs.

Le plan idĂ©al exigera de commencer avec aussi peu que dix minutes par jour de marche rĂ©gulière. Cet exercice devrait Ăªtre rĂ©pĂ©tĂ© au moins quatre jours par semaine (le faire six jours par semaine est l’idĂ©al). Essayez d’augmenter le temps, afin d’atteindre, au bout du compte, 30 minutes par sĂ©ance.

Les chances sont telles que, si vous choisissez cette voie, à la fin de 4 mois, la différence de vitalité saura vous convaincre de poursuivre le programme.

Il ne faut pas oublier, en effet, que les professionnels de la santĂ© insistent sur le fait que la marche est aussi essentielle Ă  la bonne santĂ© que la nourriture. La plupart de ces professionnels recommandent qu’elle soit pratiquĂ©e en plein air (si la mĂ©tĂ©o le permet), et le programme Ă  long terme devrait se renforcer pour atteindre une marche rapide de trente minutes. Si possible, mĂªme les personnes Ă¢gĂ©es sont encouragĂ©es Ă  participer Ă  un programme de marche plus lĂ©ger. Mais l’on peut aussi souligner que la natation rĂ©gulière, le jogging et le vĂ©lo donnent Ă©galement de nombreux avantages.

L’activitĂ© physique - l’exercice physique - est l’élĂ©ment vital qu’on ne trouve pas dans la vie de la plupart des personnes, lesquelles se doivent de rĂ©activer leur condition physique par le moyen des activitĂ©s physiques. Une fois ce problème rĂ©glĂ©, plusieurs autres mesures peuvent Ăªtre prises Ă  l’effet d’amĂ©liorer et de ragaillardir l’organisme. Et chacune de ces Ă©tapes produit des avantages louables.

Deuxième Partie : Une Alimentation Saine

Daniel 1 : 8-16 enseigne de prĂ©cieuses leçons Ă  propos de la nourriture naturelle, biologique. Le prophète Daniel avait informĂ© ses ravisseurs qu’il ne pouvait pas accepter dâ€™Ăªtre souillĂ© par la nourriture impure et le vin fortifiĂ© qui Ă©taient servis quotidiennement Ă  la cour royale de Babylone. Il est indĂ©niable de comprendre le point suivant : dans ce rĂ©cit, il ne suggĂ©rait pas une tentative alĂ©atoire pour voir s’il pourrait bĂ©nĂ©ficier d’avantages nutritionnels en mangeant des « lĂ©gumineuses » (en HĂ©breu : zeroa, « la nourriture qui a Ă©tĂ© semĂ©e » - cultivĂ©e naturellement dans la terre - les lĂ©gumes, les fruits, les cĂ©rĂ©ales et, par extension, la viande pure) - autrement dit de la nourriture biologique. Il connaissait les avantages de consommer de la bonne nourriture. Il avait observĂ©, toute sa vie, les règles d’une alimentation saine. Il savait que les fruits NETTOIENT l’organisme, les lĂ©gumes le CONSTRUISENT, les grains le SOUTIENNENT et les herbes aident Ă  la GUÉRISON.

Quel fut le résultat de cette action ? Après avoir consommé de la nourriture naturelle et de l’eau pendant dix jours, Daniel et ses trois amis apparaissaient « en meilleur état et ils avaient plus grossis que tous les jeunes enfants qui mangeaient la portion des mets du roi » (vs. 15).

Ici, nous avons une expérimentation prouvant la supériorité des aliments naturels, laquelle remonte aussi loin que le début de l’an 600 av. J.-C. Cette narration a été consignée dans les Écritures pour une raison. La nourriture que nous consommons améliore notre santé ou provoque, au contraire, sa détérioration. Avec cet exemple parfait, il est difficile de comprendre la raison pour laquelle un si grand nombre de personnes associent la consommation des aliments naturels et sains au fanatisme.

La Nourriture Saine et le Principe du Balancier

Les gens ont tendance Ă  accorder trop d’importance Ă  certaines questions tout en nĂ©gligeant complètement d’autres. La plupart des gens ne font pas preuve d’équilibre et vont d’un extrĂªme Ă  l’autre. Tel est le cas touchant l’application des principes de Dieu pour ce qui est de la santĂ©, en particulier, la connaissance relative Ă  la consommation d’aliments sains.

Ceux qui ont rejeté les principes divins d’une vie saine ont tendance à citer des exemples isolés « d’abus » ou accordent « trop d’importance » à l’utilisation des aliments naturels comme la preuve que l’ensemble de la pratique est déséquilibrant. Nombre de ces critiques souscrivent à l’idée que les gens devraient laisser totalement les questions de santé aux médecins, affirmant que le recours aux médicaments et aux prescriptions est plus "normal" que le fait d’essayer de protéger ou de maintenir sa propre santé par des moyens naturels. Dans la seule intention de protéger leur propre position déjà affaiblie, ils ridiculisent les autres en les traitant de fanatiques de la santé. (Il va de soi que certains le sont.)

La sociĂ©tĂ© ignore les principes divins d’une vie saine. Bien que quelques-uns s’efforcent de les appliquer du mieux qu’ils peuvent, leurs connaissances et leur pratique semblent Ăªtre une cause perdue. Ces quelques personnes Ă©vitent les aliments transformĂ©s, les imitations artificielles de l’homme. Malheureusement, la majoritĂ© est inconsciemment tombĂ©e dans l’idĂ©e que les aliments transformĂ©s, la nourriture industrielle de l’homme sont meilleurs que la nourriture naturelle. Les jeunes enfants sont conditionnĂ©s, dès leur bas-Ă¢ge, Ă  s’embourber dans cette mentalitĂ© avec des publicitĂ©s interminables faisant la promotion de cĂ©rĂ©ales au petit-dĂ©jeuner par le biais de leurs personnages de dessins animĂ©s prĂ©fĂ©rĂ©s, les stars du sport, ou avec des jingles (des slogans publicitaires).

Les cĂ©rĂ©ales de petit-dĂ©jeuner sont le principal moyen par lequel la plupart des jeunes enfants deviennent accros au sucre, une addiction attestĂ©e par une hyperactivitĂ© chronique. Dans son ouvrage publiĂ© en 1976, intitulĂ© Sugar Blues, William Dufty a relevĂ© que le sucre Ă©tait un addictif au mĂªme titre que la nicotine, et tout aussi toxique. Il a citĂ© une statistique Ă©tonnante montrant que le sucre Ă©tait consommĂ© au taux moyen de 45,36 kg par AmĂ©ricain chaque annĂ©e. C’était en 1976. En 1996, il avait atteint un taux encore plus ahurissant de 68,94 kg !

Les avantages de consommer des aliments sains ne devraient pas Ăªtre difficiles Ă  comprendre. Ce fait n’est plus considĂ©rĂ©, aujourd’hui, comme du fanatisme. Des preuves irrĂ©futables et des recherches plus approfondies ont encore renforcĂ© le plaidoyer en faveur des aliments naturels et un mode de vie saine.

Les Céréales, les Fruits et les Légumes

Certains s’opposent Ă  l’usage de produits Ă  base de farine de blĂ© entier Ă  cause des rĂ©actions allergiques. Toutefois, durant ces dernières annĂ©es, de nombreuses personnes ont dĂ©couvert que seul le blĂ© hybride provoque des rĂ©actions allergiques. Le grain original non hybridĂ©, appelĂ© « blĂ© Ă©peautre », n’a pas de tels effets secondaires allergiques. (La farine de blĂ© Ă©peautre est maintenant commercialisĂ©e dans les grandes surfaces et les magasins de produits naturels). LĂ  encore, c’est seulement lĂ  oĂ¹ l’homme est intervenu pour soi-disant "amĂ©liorer" la crĂ©ation de Dieu que nous trouvons des rĂ©sultats nĂ©gatifs.

Dans les années 1800, la farine blanche était associée à la gastronomie de la classe aristocratique. En conséquence, de nombreuses maladies inconnues jusqu’à cette époque-là suivirent cette tendance.

Aujourd’hui, dans le vingt et unième siècle, la recherche scientifique a confirmé que tous les grains sont plus nutritifs dans leur état naturel, sans en enlever le son et le germe. Aucune personne bien informée ne réfute ces faits. Cependant, dans les supermarchés et autres établissements de vente d’aliments au détail, environ 75 % des pains proposés à la vente consistent dans du pain blanc mou, fait avec de la farine blanchie. Le public ne réagit pas aux écrasantes conclusions de la recherche. Les boulangeries continuent de donner au public ce qu’ils veulent - davantage de nourriture sans valeur nutritive - au lieu de ce dont il a besoin.

Environ 20% du marchĂ© du pain est composĂ© de combinaisons de farine principalement blanche avec une certaine quantitĂ© de son, de grain concassĂ©, ou d’autres combinaisons. Ces produits donnent l’impression dâ€™Ăªtre des aliments sains. Mais ce ne sont PAS des pains au blĂ© entier. Les personnes qui sont bien informĂ©es sur le sujet des aliments sains Ă©vitent ces pains.

De nombreux professionnels de la santĂ© et d’experts en nutrition, lesquels comprennent les besoins de l’organisme, consomment les meilleurs pains de blĂ© multigrains et les pains de blĂ© Ă©peautre. Pourtant, le grand public, par ignorance, se nourrit du pain blanc qui est sans valeur nutritive, en s’appuyant sur la publicitĂ© comme fondement pour faire le choix des produits Ă  acheter. Le grand public est inconscient de la plupart des principes de santĂ©. Toute personne qui pense Ă  elle-mĂªme ne devrait pas, et ne doit pas, suivre aveuglĂ©ment de telles habitudes et pratiques.

Pour ceux qui voudront nager Ă  contre-courant, les produits de qualitĂ© qui concourent Ă  une alimentation saine sont de nos jours beaucoup plus faciles Ă  trouver. La farine de blĂ© complet (ou la farine de blĂ© complet Ă©peautre), et d’autres produits Ă  grains complets comme la farine de maĂ¯s biologique, le riz brun biologique et d’autres cĂ©rĂ©ales naturelles, sont disponibles dans la section des produits naturels des meilleurs supermarchĂ©s. Il y a deux ou trois dĂ©cennies, on ne pouvait trouver ces articles que dans certains magasins de produits naturels ou par la poste. Ces meilleurs grains coĂ»tent un peu plus cher, mais ils sont de loin supĂ©rieurs en valeur nutritive - la diffĂ©rence en vaut bien la peine.

Voudrez-vous nourrir votre organisme avec des produits sans aucune valeur nutritive, des aliments chargĂ©s de toxines, pour la seule raison que vous feriez une meilleure affaire ? Ce qui semble Ăªtre la meilleure affaire Ă  court terme se transformera en crises mĂ©dicales - et occasionnera potentiellement d’énormes coĂ»ts supplĂ©mentaires - Ă  long terme.

Les légumes frais cultivés dans votre propre jardin sont également idéaux pour une efficience qualitative du régime alimentaire. Il s’agit de la meilleure source possible de nourriture. Si vous n’avez pas de jardin, essayez d’acheter des légumes frais au supermarché ou directement avec les agriculteurs. Dans certains cas, à ces endroits, on peut trouver des légumes biologiques. « L’agriculture biologique » suppose qu’il n’y a pas eu d’utilisation de pesticides, ni d’engrais artificiels dans la culture des plantes. Des contrôles inopinés effectués par l’Union des Consommateurs ont confirmé que les produits certifiés biologiques sont exempts des pesticides qui contaminent la plupart des autres produits.

En plus de fournir toutes les substances nutritives vitales, les fruits, les légumes frais et les grains complets fournissent beaucoup de fibres nécessaires. Le système digestif doit avoir des fibres pour fonctionner correctement. La fibre, en plus de bien d’autres qualités, absorbe l’eau et en libère progressivement au cours du processus de digestion, ce qui permet le bon fonctionnement et la meilleure assimilation des nutriments. Malheureusement, les aliments qui fournissent une abondance de fibres ont presque disparu des régimes d’aliments malsains qui sont ingurgités par la plupart des gens. L’attitude des enfants en milieu scolaire reflète les habitudes alimentaires de leurs parents, attendu qu’ils préfèrent les aliments comme les hot-dogs et les pizzas. Dans de nombreuses écoles, ainsi que dans les maisons, les légumes et les grains complets sont « refoulés ». Par contre, les aliments vides, les aliments malsains sont « acceptés ! »

En substituant les grains complets aux produits raffinés et aux grains blanchis, il sera utile d’accorder, autant que possible, une importance particulière aux fruits et aux légumes frais biologiques par rapport à ceux qui sont en conserve ou transformés.

Six Instructions Générales

Voici six lignes directrices en ce qui concerne l’alimentation. Elles font l’unanimité au niveau des professionnels de la santé - et non pas seulement des indications pour quelques expérimentations isolées.

(1) La plupart des produits de votre alimentation (de prĂ©fĂ©rence plus de 60 %) devraient Ăªtre composĂ©s d’aliments dans leur Ă©tat naturel, non cuits ou lĂ©gèrement cuits. Les lĂ©gumes crus et les fruits sont supĂ©rieurs Ă  ceux qui sont cuits. La cuisson dĂ©truit une grande partie de la valeur nutritive. Nombre de vitamines sont partiellement dĂ©truites, les minĂ©raux sont lixiviĂ©s (si les produits sont bouillis) et toutes les enzymes sont dĂ©truites par des tempĂ©ratures supĂ©rieures Ă  49 °C.

Cultiver des vĂ©gĂ©taux est une excellente façon de manger des graines, des haricots et des grains sous leur forme brute. (Cultiver des vĂ©gĂ©taux revient Ă  rĂ©colter les graines au moment de la germination.) Une autre excellente façon consiste Ă  consommer des aliments comme la choucroute maison. Certains produits comme les patates et les ignames, les haricots, les pois secs et les cĂ©rĂ©ales, doivent Ăªtre cuits.

L’idéal de la consommation de plus de 60 % de nos légumes crus est un objectif que peu de personnes sont en mesure d’atteindre. Toutefois, plutôt que de décréter cela comme difficilement applicable, essayez d’augmenter votre apport quotidien de salades, de choux, de fruits et de légumes crus. Vous serez heureux de l’avoir fait !

En prenant en considĂ©ration la particularitĂ© des diffĂ©rentes enzymes digestives, les lĂ©gumes crus et les fruits devraient gĂ©nĂ©ralement Ăªtre consommĂ©s Ă  des moments distincts. Les professionnels de la santĂ© soulignent qu’un ou deux lĂ©gumes semblent Ăªtre mieux qu’un mĂ©lange de quatre ou cinq. De mĂªme, une salade de fruits de deux ou trois sortes de fruits semble Ăªtre mieux digĂ©rĂ©e que celle qui est faite avec cinq ou six espèces de fruits. Étant donnĂ© l’effet de nettoyage des fruits, « une ou deux » combinaisons de salade de fruits sont une collation idĂ©ale en fin de soirĂ©e.

(2) Si possible, les aliments doivent Ăªtre complets, non raffinĂ©s et cultivĂ©s dans votre environnement habituel. Les aliments importĂ©s peuvent contenir des bactĂ©ries auxquelles votre organisme n’est peut-Ăªtre pas habituĂ©.

Quand les autochtones d’une rĂ©gion consomment des produits issus de la production intĂ©rieure, des aliments naturels, complets, non traitĂ©s et non raffinĂ©s, ils jouissent d’une merveilleuse santĂ© et d’une longue vie. Lorsque les produits sont dĂ©naturĂ©s, raffinĂ©s, transformĂ©s, dès le moment oĂ¹ les aliments fabriquĂ©s par l’homme (comme le sucre blanc, la farine blanche et les aliments en conserve et autres produits transformĂ©s) entrent dans leur rĂ©gime alimentaire, la maladie se propage rapidement.

(3) L’eau pure, bien que rare, est vitale pour le corps humain. Buvez-en une gĂ©nĂ©reuse quantitĂ© quotidienne - certains professionnels suggèrent de boire 29,57 mg d’eau pour chaque kilogramme de poids corporel (en l’occurrence, 0,3 l d’eau pour 10 kg). Pour faire la cuisine et pour en boire, l’eau devrait Ăªtre naturelle, de l’eau pure provenant d’un puits profond ou d’une source d’eau minĂ©rale. De nombreux professionnels de la santĂ© recommandent la consommation d’eau distillĂ©e Ă  cause des contaminants inconnus qui affectent notre approvisionnement en eau et les risques imprĂ©visibles d’acheter ce qui est Ă©tiquetĂ© comme « eau pure ». Lorsque vous buvez de l’eau distillĂ©e de façon rĂ©gulière, il faut aussi envisager de prendre un complĂ©ment alimentaire, lequel fournira des oligo-Ă©lĂ©ments comme on en trouve normalement dans l’eau pure.

Comme nous l’avons mentionné, il devient de plus en plus difficile d’obtenir une eau naturelle non contaminée dans l’environnement empoisonné d’aujourd’hui. Soit que votre eau provienne d’un puits soit qu’elle soit fournie par une entreprise de la ville, essayez d’utiliser un filtre. La plupart des systèmes de filtrage sont relativement peu coûteux et sont efficaces - il ne faut tout simplement pas oublier de remplacer la section à l’intérieur de l’ensemble du filtre tous les deux mois ou plus. Il a été démontré que l’eau en bouteille est peu fiable et inconstante en qualité, quoique coûteuse. Si vous devez dépendre de l’eau achetée dans un magasin, envisagez d’en acheter dans de grandes bouteilles auprès d’un fournisseur reconnu dans la distribution de l’eau minérale naturelle de source ou de l’eau distillée.

Des événements récents ont mis en évidence, à plusieurs reprises, des incidents relatifs aux bouteilles d’eau portant des étiquettes et vendues comme « eau de source ». Il a été découvert qu’elles n’étaient rien d’autre que de l’eau de robinet provenant des systèmes municipaux de distribution d’eau. Des tests en laboratoire sur l’eau embouteillée ont donné des résultats étonnants quant au contenu de ce qui est vendu comme de l’eau pure. Voici un échantillon d’impuretés dangereuses, en quantités infimes, qu’on trouve, couramment, dans l’eau potable commercialisée : le benzène, le tétrachlorure de carbone, l’alcool propylique et l’alcool méthylique (le méthanol).

(4) Le lait est un excellent aliment. Mais ceux qui sont intolĂ©rants au lactose devraient envisager de l’éviter. Le lait cru est de loin supĂ©rieur au lait pasteurisĂ© et homogĂ©nĂ©isĂ©. Le titre « d’aliment naturel le plus parfait » correspond parfaitement au lait cru et entier - une mine d’or nutritionnelle. Malheureusement, la plupart d’entre nous doivent se contenter d’un produit de qualitĂ© infĂ©rieure, car les groupes d’intĂ©rĂªt comme l’Association AmĂ©ricaine des Produits Laitiers, avec l’approbation de l’organisme officiel chargĂ© de contrĂ´ler la qualitĂ© des aliments et de dĂ©livrer les autorisations de mise sur le marchĂ© des produits pharmaceutiques (FDA), ont rĂ©ussi Ă  pousser le lait cru hors du marchĂ© commercial.

Une façon idĂ©ale de prendre le lait est sous sa forme aigre : comme le yogourt, le kĂ©fir ou le lait acidophile. En tant que nourriture humaine, le lait de chèvre est meilleur que le lait de vache. Bien que le lait de vache ne semble pas Ăªtre recommandĂ© aux patients souffrant d’arthrite, de maladies rhumatismales ou du cancer, le lait de chèvre contient Ă  la fois des facteurs antiarthritiques et anticancers. Certains estiment qu’il peut Ăªtre thĂ©rapeutique dans de telles conditions. Il est utile de rechercher le lait de chèvre qui est frais, plutĂ´t que la variĂ©tĂ© raffinĂ©e qui est en conserve ou en poudre. Nombre de gens qui sont intolĂ©rants au lactose peuvent tolĂ©rer le lait de chèvre.

(5) le miel naturel, brut, et non transformĂ© est l’un des meilleurs Ă©dulcorants disponibles. Il possède des propriĂ©tĂ©s nutritionnelles et mĂ©dicinales miraculeuses qui ont Ă©tĂ© utilisĂ©es depuis des siècles Ă  des fins curatives. Il a Ă©tĂ© bien Ă©tabli que la plupart des centenaires (les personnes de 100 ans et plus) mettaient gĂ©nĂ©reusement du miel dans leur alimentation. Le miel peut augmenter la rĂ©tention du calcium dans le système, il peut aider Ă  prĂ©venir l’anĂ©mie nutritionnelle, et il est bĂ©nĂ©fique dans la lutte contre les troubles du foie et les maladies rĂ©nales. Il peut Ă©galement Ăªtre thĂ©rapeutique contre les rhumes et les problèmes de mauvaise circulation.

Il convient de souligner la façon dont Dieu avait associé le lait et le miel aux abondantes bénédictions de la terre promise en faveur d’Israël : « Et Je suis descendu pour les délivrer de la main des Égyptiens, et pour les faire sortir de cette terre vers une terre bonne et spacieuse, une terre ruisselante de lait et de miel » (Exo. 3 : 8).

Le lait et le miel étaient des symboles antiques d’abondantes bénédictions et de santé. Aussi le sont-ils encore de nos jours, en particulier dans leur état le plus naturel, non transformé par l’homme.

(6) Une autre denrée alimentaire de base à prendre en considération est l’huile végétale. Les professionnels de la santé recommandent des huiles végétales pressées à froid. Certaines des huiles pressées à froid recherchées sont celles obtenues à partir d’olives, de graines de tournesol, de graines de sésame et de canola. En règle générale, l’huile d’olive importée d’Italie ou d’Espagne est généralement pressée à froid. Pour la bonne raison que les huiles naturelles pressées à froid ne sont pas cuites ou transformées, et qu’elles peuvent possiblement devenir rances, il est utile de vérifier la date sur chaque bouteille ou sur chaque pot.

Les grands transformateurs alimentaires sont autorisĂ©s Ă  utiliser des solvants pour extraire l’huile de certaines noix et graines. Bien que cette mĂ©thode soit plus efficace que la mĂ©thode pressĂ©e Ă  froid, elle laisse derrière elle des rĂ©sidus de solvants, qui vont ensuite s’évaporer par des tempĂ©ratures Ă©levĂ©es. (Cette chaleur tue les vitamines restantes qui peuvent avoir survĂ©cu aux puissants solvants.) Ces rĂ©sidus sont notamment une offre gĂ©nĂ©reuse de radicaux libres qui sont toxiques pour tout l’organisme. Le traitement des complications qu’apportent ces toxines ajoute une pression supplĂ©mentaire au système immunitaire dĂ©jĂ  surmenĂ©. Pour ces raisons, les produits tels que la mayonnaise, et les frites françaises chargĂ©es d’huile vĂ©gĂ©tale doivent Ăªtre Ă©vitĂ©s ou leur consommation doit Ăªtre fortement limitĂ©e.

Nombre de gens ont du mal Ă  s’expliquer que la nourriture fraĂ®che et naturelle puisse devenir mauvaise si on la laisse trop longtemps sur une Ă©tagère. La raison pour laquelle les produits alimentaires transformĂ©s ont une durĂ©e de vie plus longue consiste dans le fait que seuls les glucides inopĂ©rants et inefficaces sont restĂ©s dans ces aliments une fois que les parties nutritives sont enlevĂ©es ou cuites jusqu’à extinction dans le "processus de raffinage". Il ne reste plus grand-chose qui est mĂªme sujet Ă  la dĂ©tĂ©rioration.

La Question des Viandes

Les informations contenues dans cette partie et dans l’ensemble de la brochure supposent que vous Ăªtes familier avec les lois de Dieu relatives aux viandes pures et impures. Sinon, lisez notre article gratuit « Peut-on manger de toute chair animale? »

La question des hormones et des antibiotiques injectĂ©s et utilisĂ©s dans l’alimentation des bovins qui iront Ă  la boucherie a amenĂ© certaines personnes Ă  se demander si le vĂ©gĂ©tarisme ne pourrait pas Ăªtre, tout bien rĂ©flĂ©chi, la meilleure option.

Mais lisez I TimothĂ©e 4 : 1-3 : «... dans les derniers temps quelques-uns abandonneront la foi, prĂªtant attention aux esprits sĂ©ducteurs, et aux doctrines des diables... [les esprits impurs]... dĂ©fendant de se marier, et commandant de s’abstenir d’aliments que Dieu a crĂ©Ă©s pour Ăªtre reçus avec reconnaissance de ceux qui croient et qui connaissent la vĂ©ritĂ© ».

Ici, la pratique de s’abstenir de viandes (pures) qui ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©s par Dieu pour la consommation est appelĂ©e une doctrine de dĂ©mons. Les philosophies et les religions promouvant le vĂ©gĂ©tarisme peuvent Ăªtre souvent impliquĂ©es dans le dĂ©monisme, que ce soit dans certaines rĂ©gions bien connues du monde, aux États-Unis ou ailleurs.

Cependant, de nos jours, oĂ¹ les hormones et les antibiotiques contaminent une grande partie de notre nourriture, la consommation d’un tel bÅ“uf devrait Ăªtre contrĂ´lĂ©e. D’autres alternatives, en l’occurrence, les animaux sans produits chimiques devraient Ăªtre souhaitĂ©s.

La viande rouge est une source vitale de bienfaits pour la santé : le fer, le zinc, le magnésium, la thiamine, la riboflavine, la vitamine A, la protéine, la vitamine B12 (qu’on trouve uniquement dans la viande), la vitamine B6, l’acide nicotinique et plus encore.

MĂªme si vous Ăªtes assez chanceux pour trouver un bÅ“uf et de la volaille sans produits chimiques, et il y a, par ailleurs, des arguments solides en faveur de la consommation modĂ©rĂ©e des protĂ©ines animales. Le mĂ©tabolisme des protĂ©ines consommĂ©es en excès laisse des rĂ©sidus toxiques, des dĂ©chets mĂ©taboliques dans les tissus de l’organisme. Lorsqu’une personne ne s’adonne, très souvent, qu’à la consommation des protĂ©ines animales, une multitude de problèmes et de maladies peuvent en rĂ©sulter. Du reste, une alimentation riche en protĂ©ines animales provoque un vieillissement prĂ©maturĂ© et une espĂ©rance de vie plus faible.

Le fait dâ€™Ăªtre plus Ă©quilibrĂ© dans la quantitĂ© de protĂ©ines animales que nous consommons - en particulier le bÅ“uf ou l’agneau - est bĂ©nĂ©fique. Il est prĂ©fĂ©rable que vous Ă©vitiez les plus « gros » morceaux de viande en faveur de tranches plus petites, Ă  savoir 0,22 kg.

La recherche a démontré que les abus dans la consommation de la viande entraînent des déséquilibres minéraux dans le système. Les rapports montrent qu’il en résulte une trop forte proportion de phosphore proportionnellement au calcium. (La viande a 20 fois plus de phosphore que de calcium.) Cela peut conduire à une grave carence en calcium, ayant comme résultat la perte de dent ou la pyorrhée (une maladie des gencives).

Des chercheurs en Allemagne et en Suisse ont dĂ©couvert que le processus de vieillissement est dĂ©clenchĂ© par l’amyloĂ¯de, un sous-produit du mĂ©tabolisme protĂ©ique. L’amyloĂ¯de est dĂ©posĂ©e dans les tissus conjonctifs et entraĂ®ne une dĂ©gĂ©nĂ©rescence des tissus et des organes. Ce fait explique peut-Ăªtre pourquoi les personnes qui ont une alimentation traditionnellement pauvre en protĂ©ines animales ont l’espĂ©rance de vie moyenne la plus Ă©levĂ©e dans le monde - 90 Ă  100 ans. Ceci expliquerait aussi pourquoi les gens qui vivent d’une alimentation riche en protĂ©ines animales (comme les Esquimaux, les Groenlandais, les Lapons, les tribus Kurgis russes, etc.) ont la plus faible espĂ©rance de vie - 30 Ă  40 ans. Les AmĂ©ricains sont Ă  la tĂªte dans le monde industrialisĂ© pour ce qui est de la consommation de viande par habitant. Comme on pouvait s’y attendre, parmi les pays industrialisĂ©s, ils sont classĂ©s vingt et unièmes en matière d’espĂ©rance de vie !

Les chercheurs de l’Université de Cornell ont pu identifier une corrélation directe entre une alimentation riche en protéines et le développement du cancer. L’ammoniac, qui est produit en grande quantité comme sous-produit du métabolisme de la viande, est hautement cancérigène.

La trop grande consommation de protéines animales est très dangereuse. Il nous apparaît opportun de dire, une fois de plus, que cette brochure ne préconise pas l’adoption d’un végétarisme strict - en aucune façon — , mais plutôt d’un niveau de modération consciencieusement appliqué (Phil. 4 : 5) afin d’éviter le laxisme habituel, lequel entraîne une surconsommation effrénée de la viande.

Lorsqu’une tranche de bÅ“uf de taille moyenne est savourĂ©e avec l’association d’aides Ă  la digestion comme un vin de table de qualitĂ©, la production de produits dĂ©rivĂ©s cancĂ©rogènes lors de la digestion est grandement rĂ©duite. En France et dans divers autres pays oĂ¹ les vins de table de qualitĂ© sont consommĂ©s durant les repas, les maladies cardiaques sont beaucoup plus faibles que dans la plupart des autres nations industrialisĂ©es. Ainsi, en amĂ©liorant considĂ©rablement la digestion, le vin diminue un grand nombre des effets autrement nocifs des protĂ©ines animales. Beaucoup moins de graisses indĂ©sirables et non digĂ©rĂ©es restent dans l’organisme pour pouvoir endommager le système cardio-vasculaire.

Le Vin Comme une Aide Digestive

Comme on vient de le mentionner, en plus de servir en tant que saveur complémentaire idéale aux steaks et à d’autres aliments acceptables, le vin est aussi une excellente aide à la digestion. Prenez bonne note des références scripturaires suivantes qui énoncent d’autres bienfaits du vin lorsqu’il est consommé avec une modération appropriée :

L’apĂ´tre Paul donnait le conseil suivant Ă  TimothĂ©e : « Ne continue pas Ă  ne boire que de l’eau, mais use d’un peu de vin, Ă  cause de ton estomac et de tes frĂ©quents malaises » (I Tim. 5 : 23). On notera Ă©galement que Dieu permet Ă  la terre de produire « le vin qui Ă©gaye le cÅ“ur de l’homme » (Psa. 104 : 15). DeutĂ©ronome 14 : 26 identifie le vin comme une bĂ©nĂ©diction souhaitable. Lorsqu’il est consommĂ© avec modĂ©ration, le vin est un agent de dĂ©tente, et une source de nutrition. Il fournit un certain nombre de minĂ©raux essentiels, d’oligo-Ă©lĂ©ments, des vitamines et des enzymes. (Lire notre article gratuit « Boire est-il un pĂ©chĂ©? »)

Mangez LĂ©ger

Un excellent choix pour un repas nutritif, mais léger est le poisson frais et pur, tel que défini dans la Bible. Veuillez-vous référer s’il vous plaît à l’encart : « Pour en Apprendre Davantage sur le Poisson Frais ».

L’une des habitudes les plus bĂ©nĂ©fiques que l’on puisse Ă©tablir, c’est la pratique systĂ©matique qui consiste Ă  manger modĂ©rĂ©ment. Bien que ce rythme puisse paraĂ®tre « anti-amĂ©ricain », le fait de manger systĂ©matiquement moins est le secret favori de la santĂ© et de la longĂ©vitĂ©. La suralimentation d’autre part, mĂªme des aliments sains, est l’une des principales causes de la maladie et du vieillissement prĂ©maturĂ©. Elle est Ă©galement l’une des principales causes de la plupart des maladies dĂ©gĂ©nĂ©ratives. La consommation de n’importe quels aliments, au-delĂ  des besoins rĂ©els de l’organisme, empoisonne le système. Les Ă©tudes rĂ©alisĂ©es dans la vie de personnes Ă¢gĂ©es de 100 ans ou plus Ă  travers le monde rĂ©vèlent que tous Ă©taient des consommateurs modĂ©rĂ©s tout le long de leurs vies. Quand avez-vous vu pour la dernière fois un obèse Ă¢gĂ© de 100 ans ?

Les Aliments à Éviter

Cette partie ne serait pas complète sans une liste des aliments à éviter. Les professionnels de santé nous conseillent d’éviter tous ces aliments, dans le cas contraire, il faut limiter considérablement leur consommation.

  • La farine blanche raffinĂ©e et le sucre et tous les produits qui en dĂ©coulent : le pain, les viennoiseries, les cĂ©rĂ©ales emballĂ©es, les tartes, les beignets, la crème glacĂ©e, les biscuits, les barres chocolatĂ©es, et bien plus encore.
  • Les viandes transformĂ©es (mĂªme avec du bÅ“uf ou de la volaille complète) : les hot-dogs, le bacon, les saucisses, la mortadelle ou le saucisson de Bologne et les charcuteries. La plupart de toutes ces denrĂ©es contiennent des nitrates et/ou des nitrites reconnus comme cancĂ©rogènes et donc Ă  Ă©viter !
  • Le fromage Ă  la crème, la margarine et la mayonnaise (ces aliments contiennent des produits chimiques indĂ©sirables; la mayonnaise qu’on retrouve dans la section des aliments naturels est meilleure, mais mĂ©fiez-vous des aliments rances).
  • Les boissons gazeuses. Évitez Ă©galement la consommation excessive d’alcool, de cafĂ© ou de thĂ©.

Pour en Apprendre Davantage sur le Poisson Frais

Le poisson frais est riche en protéines et en minéraux essentiels, et il est facile à digérer. De nombreux supermarchés ont des sections de poisson frais, offrant beaucoup d’opportunités qui, autrefois, étaient uniquement disponibles pour ceux qui vivaient dans ou à proximité des grandes villes. Les Goldbecks, les auteurs du Manuel du Supermarché, donnent quelques conseils utiles sur l’achat de poisson :

« Comme nous le savons tous, les poissons proviennent de l’ocĂ©an (les poissons de haute mer ou d’eau salĂ©e) et des lacs et des cours d’eau (les poissons d’eau douce). Malheureusement, l’élevage scientifique et la pollution ont Ă©liminĂ© les poissons d’eau douce parmi ces denrĂ©es qui peuvent Ăªtre considĂ©rĂ©es comme exempts de contaminants. Heureusement cependant, nos vastes ocĂ©ans ont jusqu’à prĂ©sent montrĂ© une incroyable puissance Ă  rĂ©sister Ă  une mauvaise utilisation, gardant les poissons des profondeurs marines relativement sĂ»rs.

« Bien que des Ă©volutions futures puissent changer la vĂ©racitĂ© de cette dĂ©claration, le poisson frais de mer semble Ăªtre actuellement le produit alimentaire le plus intact disponible sur le marchĂ© non biologique et offre une excellente source de subsistances relativement sans produits chimiques.

« La fraĂ®cheur est la seule indication de la qualitĂ© dans le poisson. En raison de sa structure dĂ©licate, la chair du poisson se dĂ©compose facilement. Un poisson frais ne sent jamais « le poisson pourri » ou son goĂ»t n’est pas celui « d’un poisson pourri ». Sa chair est ferme et Ă©lastique. Si vous y appuyez lĂ©gèrement avec le doigt, aucune empreinte ne reste. La peau demeure ferme et lisse. Si vous achetez un poisson entier, ou si vous avez la possibilitĂ© de voir du poisson entier, assurez-vous que les yeux sont brillants et globuleux, les branchies intactes, et les Ă©cailles serrĂ©es, lumineuses et brillantes. La congĂ©lation masque tous ces signes visuels et rend impossible de dĂ©terminer lâ€™Ă¢ge du poisson depuis sa sortie de l’eau.

« Le poisson frais est gĂ©nĂ©ralement emballĂ© et expĂ©diĂ© dans la glace et devrait Ăªtre prĂ©sentĂ© de cette façon.

« Rappelez-vous ce fait : s’il arrivait que vous suspectiez que le poisson a été précédemment congelé, ne l’achetez pas. Une fois décongelé, le poisson se détériore rapidement » (Le Manuel du Supermarché, Goldbeck, PP 74-75).

Le saumon, le hareng et le thon sont relativement riches en matières grasses. La morue, le flet, l’aiglefin, le flétan, la perche et le vivaneau rouge sont très faibles en matières grasses. Les vins de table blancs secs de qualité coupent d’une manière effective les huiles de poisson, et aident à décomposer une grande partie de la teneur en graisse.

Troisième Partie : Le JeÛne Physique

La Bible enseigne le principe du jeûne spirituel, lequel consiste dans l’abstinence de n’importe quelle nourriture solide et liquide. En revanche, durant le jeûne physique on peut consommer certaines quantités de nourriture et certains types de liquides.

Il existe deux types de jeĂ»nes physiques : (1) le jeĂ»ne Ă  eau qui a, de nos jours, relativement moins de partisans. Ce fut populaire avant le milieu des annĂ©es 1900. (2) le jeĂ»ne Ă  jus, qui produit les mĂªmes rĂ©sultats positifs, avec des avantages clĂ©s supplĂ©mentaires. Cette mĂ©thode est très largement prisĂ©e en Europe et dans le reste du monde, et elle est de plus en plus rĂ©pandue aux États-Unis.

Durant le jeĂ»ne Ă  jus, les alcalins qui composent les jus de fruits et les lĂ©gumes augmentent l’effet curatif du jeĂ»ne. Ils accĂ©lèrent l’élimination de l’acide urique et d’autres acides inorganiques. Les sucres naturels dans les jus renforcent aussi le cÅ“ur pendant le jeĂ»ne. Le jeĂ»ne Ă  jus peut Ăªtre fait sur une plus longue pĂ©riode de temps en raison de la nourriture fournie, laquelle n’interfère pas avec le processus d’autolyse (qui sera traitĂ© ci-dessous) - la raison centrale des jeĂ»nes.

Nous allons maintenant considérer à fond ce qui se passe au sein de l’organisme pendant le jeûne. L’information suivante est tirée des écrits du Dr Pavo Airola, un expert international et pionnier dans le domaine des aliments naturels et de la nutrition :

« La maladie et le vieillissement commencent lorsque le processus normal de régénération des cellules et de la reconstruction ralentit. Ce ralentissement est causé par l’accumulation de déchets dans les tissus qui interfère avec la nourriture et l’oxygénation des cellules.

« Chaque cellule de votre corps est une entitĂ© vivante avec son propre mĂ©tabolisme. Elle a besoin d’un apport constant d’oxygène et de nourriture adĂ©quate sous la forme de toutes les substances nutritives connues, telles que les protĂ©ines, les minĂ©raux, les acides gras, les oligo-Ă©lĂ©ments, etc. Lorsque les carences nutritionnelles, la lenteur du mĂ©tabolisme, la vie sĂ©dentaire, le manque d’air frais et d’eau, la suralimentation et par consĂ©quent une mauvaise digestion et une mauvaise assimilation des aliments entraĂ®nent nos cellules Ă  Ăªtre privĂ©es de la nourriture dont elles ont besoin, elles commencent Ă  se dĂ©gĂ©nĂ©rer et elles se dĂ©composent. Le processus normal de remplacement des cellules et de la reconstruction ralentit et votre organisme commence Ă  vieillir. Sa rĂ©sistance aux maladies diminuera et divers maux commenceront Ă  apparaĂ®tre. Cela peut se produire Ă  n’importe quel Ă¢ge.

« Seulement la moitié de toutes vos cellules sont au plus haut niveau de leur développement et en bonne condition de travail. Un quart sont généralement dans un processus de croissance et l’autre quart dans un processus de mort et de remplacement. Il est d’une importance vitale que les cellules mourantes soient décomposées et éliminées du système aussi efficacement que possible. L’élimination rapide et efficace des cellules mortes stimule la construction et la croissance de nouvelles cellules.

« C’est lĂ , en effet, oĂ¹ le jeĂ»ne Ă  jus intervient en tant que moyen le plus efficace pour restaurer la santĂ© et rajeunir l’organisme. Pendant un jeĂ»ne Ă  jus, le processus d’élimination des cellules mortes et mourantes est accĂ©lĂ©rĂ©, et la construction de nouvelles cellules est accĂ©lĂ©rĂ©e et stimulĂ©e. Dans le mĂªme temps, les dĂ©chets toxiques qui interfèrent avec l’alimentation des cellules sont Ă©liminĂ©s et le taux mĂ©tabolique normal et l’oxygĂ©nation des cellules sont restaurĂ©s.

« Voici pourquoi : 1. Pendant un jeĂ»ne prolongĂ© (après les trois premiers jours), votre organisme vivra de sa propre substance. Lorsqu’il est privĂ© de la nutrition nĂ©cessaire, en particulier des protĂ©ines et des graisses, il brĂ»lera et digĂ©rera ses propres tissus par le processus d’autolyse ou d’auto digestion. Mais votre organisme ne le fera pas sans discernement ! Dans sa sagesse, et, lĂ  rĂ©side le secret de l’extraordinaire efficacitĂ© du jeĂ»ne en tant que thĂ©rapie curative et rĂ©gĂ©nĂ©ratrice, votre organisme dĂ©composera et brĂ»lera premièrement les cellules et les tissus qui sont malades, abĂ®mĂ©s, Ă¢gĂ©s ou morts. Durant le jeĂ»ne, votre organisme se nourrit des substances ou des matières les plus impures et les moins importantes, telles que les cellules mortes et les accumulations morbides, les tumeurs, les abcès, les dĂ©pĂ´ts de graisse, etc. Les tissus essentiels et les organes vitaux, les glandes, le système nerveux et le cerveau ne sont pas endommagĂ©s ou digĂ©rĂ©s durant le jeĂ»ne.

« 2. Pendant le jeĂ»ne, tandis que les vieilles cellules et les tissus malades seront dĂ©composĂ©s et brĂ»lĂ©s, la construction de nouvelles cellules saines sera accĂ©lĂ©rĂ©e. Ce processus peut sembler confondre l’entendement, par cela mĂªme qu’aucune nourriture, ou seulement une quantitĂ© limitĂ©e de nourriture pendant un jeĂ»ne Ă  jus, n’est fournie Ă  l’organisme. Mais c’est nĂ©anmoins un fait physiologique... La raison en est que les protĂ©ines dans votre organisme sont dans ce que l’on appelle un Ă©tat dynamique, ces protĂ©ines Ă©tant constamment dĂ©composĂ©es et synthĂ©tisĂ©es de nouveau et rĂ©utilisĂ©es pour divers besoins dans l’organisme. Lorsque les vieilles cellules ou malades sont dĂ©composĂ©es, les acides aminĂ©s ne sont pas perdus, mais ils sont libĂ©rĂ©s et utilisĂ©s une nouvelle fois dans le processus de reconstruction des cellules jeunes et vitales.

« 3. Lors d’un jeĂ»ne Ă  jus, la capacitĂ© d’épuration et de nettoyage des organes d’évacuation des dĂ©chets de l’organisme, en l’occurrence, les poumons, le foie, les reins et la peau - est augmentĂ©e considĂ©rablement, et les masses de toxines et de dĂ©chets mĂ©taboliques accumulĂ©s sont rapidement expulsĂ©es. Ă€ titre d’exemple, pendant le jeĂ»ne, la concentration de toxines dans l’urine peut Ăªtre dix fois plus Ă©levĂ©e que la normale. Cela est dĂ» au fait que le tube digestif, le foie et les reins sont soulagĂ©s du fardeau habituel de la digestion des aliments et de l’élimination des dĂ©chets qui en rĂ©sultent, et qu’ils peuvent, par consĂ©quent, se focaliser sur le nettoyage de vieux dĂ©chets et des toxines accumulĂ©es, telles que l’acide urique... des tissus. Ce processus d’élimination se manifeste par les symptĂ´mes typiques suivants durant le jeĂ»ne : une haleine nausĂ©abonde...

« 4. Le jeûne offre un repos physiologique aux organes digestifs, aux organes d’assimilation et de protection. Après le jeûne, la digestion des aliments et l’utilisation des éléments nutritifs sont grandement améliorées, et la lourdeur de l’organisme et la rétention des déchets sont évitées.

« 5. Enfin, le jeûne exerce un effet de normalisation, de stabilisation et de rajeunissement sur toutes les fonctions vitales physiologiques, nerveuses et mentales. Le système nerveux est rajeuni, les capacités mentales sont améliorées; la chimie glandulaire et les sécrétions hormonales sont stimulées et augmentées; l’équilibre biochimique et minéral des tissus est normalisé » (Comment Bien se Porter, Airola 1974, PP 214-216).

C’est en effet un argument convaincant en faveur du jeĂ»ne Ă  jus ! Les particularitĂ©s et les dĂ©tails de cette pratique sont au-delĂ  de la portĂ©e de cette brochure, mais de nombreuses publications sur le mĂªme sujet sont disponibles dans les magasins d’aliments naturels. On peut aussi trouver une variĂ©tĂ© d’ouvrages, neufs et usagĂ©s, sur Internet. N’oubliez pas cette prĂ©cieuse information. Elle pourrait facilement Ăªtre mise en Å“uvre, avec des avantages importants.

Plusieurs auteurs qui font la promotion du jeûne physique recommandent également d’autres méthodes pour augmenter le processus de nettoyage de l’organisme au cours de ces jeûnes. Certains démontrent les avantages de l’utilisation de procédures visant à aider le processus d’élimination des toxines et des déchets de l’organisme. Certains d’entre eux incluent des bains chauds avec des mélanges à base d’herbes ajoutées à l’eau, l’utilisation des lavements et d’autres procédures pour aider à purger le système. La plupart des publications sur le sujet du jeûne à jus contiennent des indications utiles dans ces domaines.

Quatrième Partie : Les Toxines Dans Notre Alimentation Et Dans Notre Environnement

Les toxines dans la chaĂ®ne d’approvisionnement alimentaire et dans l’environnement sont de plus en plus rĂ©pandues, ce qui reprĂ©sente de graves dangers pour la santĂ© humaine. La prĂ©sence de pesticides dans nos denrĂ©es alimentaires est particulièrement prĂ©occupante. Avant d’envisager des actions visant Ă  diminuer le plus possible le danger, la portĂ©e de cette menace pour la santĂ© doit Ăªtre prise en compte.

ConsidĂ©rons une sĂ©rie d’enquĂªtes menĂ©es dans les annĂ©es 1990 qui ont donnĂ© lieu Ă  des rĂ©vĂ©lations choquantes. Dans une Ă©tude, la première du genre, les donnĂ©es du Ministère de l’Agriculture des États-Unis, celles de l’Union des Consommateurs et celles des Ă©diteurs du magazine Consumer Reports ont analysĂ© les quantitĂ©s de pesticides dans les produits, et quelle Ă©tait leur coefficient de toxicitĂ©. Ils ont analysĂ© les rĂ©sultats de tests effectuĂ©s sur 27 catĂ©gories de denrĂ©es alimentaires entre 1994 et 1997. Ces contrĂ´les exhaustifs portaient sur quelque 27 000 Ă©chantillons (chaque Ă©chantillon Ă©tait composĂ© d’environ 5 kg de produits).

Ce projet a Ă©tĂ© motivĂ© par des inquiĂ©tudes justifiĂ©es quant Ă  l’ampleur de rĂ©sidus toxiques laissĂ©s sur les produits - la majeure partie de notre approvisionnement alimentaire. Certains pesticides peuvent Ăªtre des milliers de fois plus toxiques que d’autres. La plus grande prĂ©occupation en ce qui concerne les pesticides est une exposition de la personne Ă  long terme. Certains pesticides affectent les systèmes nerveux en dĂ©veloppement des jeunes enfants. Certains sont prĂ©sumĂ©s cancĂ©rigènes. D’autres peuvent interfĂ©rer avec les systèmes endocriniens. Sur les 27 denrĂ©es alimentaires testĂ©es au cours de la pĂ©riode de quatre ans, sept avaient des niveaux de toxicitĂ© des centaines de fois plus Ă©levĂ©es que d’autres.

Les indications sur la toxicitĂ© potentielle de ces denrĂ©es alimentaires sont un grand sujet de prĂ©occupation. Les aliments ayant les taux les plus Ă©levĂ©s ont des rĂ©sidus de pesticides dĂ©passant ce qui est considĂ©rĂ© comme sans risques par l’Agence AmĂ©ricaine pour la Protection de l’Environnement (EPA), des niveaux considĂ©rĂ©s par beaucoup comme dĂ©jĂ  trop gĂ©nĂ©reux. L’Union des Consommateurs considĂ©rait qu’une note de 100 ou plus Ă©tait un sujet de grave prĂ©occupation. Une note de 100 est considĂ©rĂ©e comme la « note maximale de sĂ©curitĂ© ». Mais, mĂªme cette tranche donne matière Ă  inquiĂ©tude. En règle gĂ©nĂ©rale, plus le score est infĂ©rieur, plus le risque global Ă  long terme est Ă©galement infĂ©rieur.

L’un des pesticides les plus puissants utilisĂ©s dans la culture des produits partout dans le monde est le mĂ©thyle parathion. C’est aussi l’un des pesticides les plus utilisĂ©s aux États-Unis. C’est un poison neurologique qui fonctionne essentiellement de la mĂªme façon chez les humains autant que chez les insectes. En 1998, l’Agence AmĂ©ricaine pour la Protection de l’Environnement (EPA) a publiĂ© une Ă©valuation prĂ©liminaire des risques du mĂ©thyle parathion, concluant qu’il prĂ©sentait un risque inacceptable. Bien que les agriculteurs en utilisent moins sur certaines cultures comme (les pĂªches, par exemple), les statistiques nationales indiquent qu’ils en utilisent maintenant davantage sur des cultures comme les pommes et les haricots verts.

La dieldrine est un pesticide qui a été retiré du marché en 1974. Un cancérogène connu, cette toxine dangereuse continue de poser autant de risques que les nombreux autres pesticides encore en usage, attendu qu’il faut des décennies pour qu’ils puissent se décomposer dans le sol. D’après le test de l’Union des Consommateurs mentionné ci-dessus, la dieldrine a été retrouvée dans les courges d’hiver en 1997, c’est-à-dire 23 ans après son interdiction !

Sa prĂ©sence est encore un rĂ©el danger : « la dieldrine Ă  la diffĂ©rence du mĂ©thyle parathion est absorbĂ©e par la pulpe des lĂ©gumes plutĂ´t que dâ€™Ăªtre concentrĂ©e sur ou près de la peau, ce qui la rend impossible Ă  laver » (Consumer Reports, Mars 1999). Les concombres, les courges et les melons sont en effet davantage prĂ©disposĂ©s Ă  absorber la dieldrine. La seule façon de l’éviter est de demander aux agriculteurs de ne pas planter ces cultures dans des sols contaminĂ©s.

L’aldicarbe est le plus toxique de tous les pesticides actuellement en usage. En 1990, la plupart des producteurs l’ont abandonnĂ©, mais certains producteurs de pommes de terre de l’Idaho et de Washington ont continuĂ© Ă  l’utiliser jusqu’en 1996. Ă€ la suite de tests effectuĂ©s sur les pommes de terre, le Ministère AmĂ©ricain de l’Agriculture (USDA) a constatĂ© qu’une pomme de terre sur vingt contenait plus que la limite de sĂ©curitĂ© de cette toxine relativement Ă  un enfant. « Ă€ l’instar de la dieldrine, l’aldicarbe s’infiltre dans les produits et ne peut pas y Ăªtre Ă´tĂ© par le nettoyage » (Ibid.).

Outre ces derniers, d’autres pesticides interdits depuis des décennies, y compris le dichlorodiphenyltrichloroethane ou DDT, sont toujours présents dans le sol et apparaissent dans ces tests.

La Loi sur la Protection de la Qualité de l’Alimentation de 1996 a exigé que l’Agence Américaine pour la Protection de l’Environnement (EPA) resserre les limites d’exposition afin de diminuer le niveau de toxines dans les produits. Depuis lors, l’EPA a augmenté l’intervalle requis entre la pulvérisation et la récolte à l’effet de donner le temps aux produits chimiques de se décomposer avant qu’une personne quelconque ne les ingère. D’un autre côté, les teneurs maximales de méthyle parathion et de chlorpyrifos ont été réduites. Les résultats des tests (1994-1997) ci-dessous ne prennent pas en compte ces réductions. Il faudra de nombreuses années avant qu’il n’y ait des résultats significatifs.

Les PĂªches et les Autres Produits Alimentaires

Nous allons constater maintenant les donnĂ©es des tests recueillies par le ministère amĂ©ricain de l’Agriculture (USDA) et analysĂ©es par l’Union des Consommateurs après 1997. Les pĂªches cultivĂ©es aux États-Unis Ă©taient la denrĂ©e principale de la liste. Le niveau de toxicitĂ© des pĂªches a Ă©tĂ© Ă©valuĂ© Ă  4 848 - plus de 48 fois ce qui est considĂ©rĂ© comme le niveau de sĂ©curitĂ© maximum, c’est-Ă -dire 100 ! Le coupable dans ce cas Ă©tait principalement le mĂ©thyle parathion. Les autres pĂªches importĂ©es du Chili ont Ă©tĂ© Ă©valuĂ©es Ă  471.

La plante potagère suivante de la liste Ă©tait les courges d’hiver. Les courges fraĂ®ches d’hiver cultivĂ©es aux États-Unis ont Ă©tĂ© Ă©valuĂ©es Ă  1 706 - soit 17 fois le niveau « acceptable ». Ici, le coupable Ă©tait les rĂ©sidus de dieldrine dans les endroits oĂ¹ les agriculteurs continuent Ă  cultiver des produits sur des sols contaminĂ©s. Les diffĂ©rentes cultures assimilent donc cette toxine. Pour une raison quelconque, les courges d’hiver congelĂ©es cultivĂ©es aux États-Unis ont Ă©tĂ© Ă©valuĂ©es Ă  3 012, soit près du double de la toxicitĂ© des courges fraĂ®ches. La congĂ©lation empĂªche, semble-t-il, la propagation de la dieldrine et des autres pesticides. En revanche, les courges d’hiver en provenance du Mexique et d’AmĂ©rique centrale n’ont pas dĂ©passĂ© un niveau de toxicitĂ© de 41.

Les pommes américaines ont été évaluées à un niveau de 550. Ce taux résultait de toxines comme le chlorpyrifos et le méthyle parathion. Les pommes de Nouvelle-Zélande ont été évaluées à 284. Les poires américaines ont été évaluées à 435, presque identiques aux poires du Chili, évaluées à 415.

Le mĂ©thyle parathion a Ă©galement Ă©tĂ© utilisĂ© dans plus de 90 % des haricots verts cultivĂ©s aux États-Unis. Les haricots verts frais ont Ă©tĂ© Ă©valuĂ©s Ă  222, tandis que ceux en conserve ou congelĂ©s ont Ă©tĂ© Ă©valuĂ©s Ă  529. Il importe de ne pas perdre de vue que ce sont les mĂªmes haricots verts, poires, pommes et pĂªches qui sont aisĂ©ment utilisĂ©es dans les aliments pour bĂ©bĂ©s !

N’importe quel consommateur de produits amĂ©ricains devrait Ăªtre sage en Ă©vitant totalement les denrĂ©es suivantes : les pĂªches fraĂ®ches, les courges fraĂ®ches et congelĂ©es d’hiver et les haricots verts frais, en conserve ou congelĂ©s. Le risque est extrĂªmement Ă©levĂ©. Achetez plutĂ´t des produits cultivĂ©s biologiquement.

Parmi les autres produits qui figurent au nombre de ceux qui ont un niveau de toxicité élevé, on retrouve les épinards cultivés aux États-Unis (349) et au Mexique (256), le céleri des États-Unis (255), et les raisins provenant des États-Unis (228) et ceux du Chili (339). Parmi les produits ayant un niveau légèrement plus élevé que le niveau « acceptable » qui est 100, on retrouve la laitue des États-Unis (122), les tomates (159) et les carottes en provenance du Mexique (136).

Certains produits ont enregistrĂ© un niveau très minimal de toxicitĂ©, il s’agit des oranges, du blĂ©, des patates douces, des pois, des bananes, du brocoli, et mĂªme du lait.

Il est utile de noter les recommandations de Consumer Reports en ce qui concerne le danger réel des pesticides dans nos denrées alimentaires :

« Pour des consommateurs, il existe plusieurs façons de minimiser l’exposition aux pesticides. Une chose que vous ne devriez pas faire est de cesser de servir les produits frais, lesquels fournissent une multitude d’éléments nutritifs essentiels. Au lieu de cela, formez le dessein de prendre les mesures suivantes...

« Épluchez ces denrĂ©es alimentaires qui ont un taux de toxicitĂ© Ă©levĂ© comme les pommes, les pĂªches et les poires. L’épluchage Ă©limine dans la gĂ©nĂ©ralitĂ© des cas une grande partie des rĂ©sidus toxiques. Le lavage avec un dĂ©tergent Ă  vaisselle très diluĂ© est Ă©galement utile.

« Songez à acheter des produits de culture biologique, lesquels sont de plus en plus disponibles. Lorsque nous avons testé les fruits et les légumes biologiques... nous avons constaté qu’ils avaient peu ou pas de résidus de pesticides toxiques. » (C’est nous qui soulignons).

Le conseil ci-dessus, lequel demande d’éplucher certains produits exposĂ©s Ă  des toxines devrait Ăªtre pris en compte par les consommateurs. Malheureusement, les Ă©lĂ©ments nutritifs de la plupart des fruits et lĂ©gumes se trouvent très proches de la peau extĂ©rieure. Mais les toxines s’accumulent Ă  la surface, il est de loin prĂ©fĂ©rable d’éplucher les produits quand ils ont Ă©tĂ© exposĂ©s aux pesticides. Certains magasins d’aliments biologiques vendent des produits de lavage de lĂ©gumes, qui neutralise soi-disant quelques toxines. Ce lavage est idĂ©al pour la laitue en feuilles, les tomates, les raisins et les fraises.

Ă€ moins que vous cultiviez vos propres denrĂ©es alimentaires, la meilleure alternative consiste dans l’achat des produits de culture biologique. Les dangers d’une exposition prolongĂ©e aux pesticides actuellement en usage et bien d’autres produits chimiques qui contaminent les terres agricoles sont encore trop puissants pour Ăªtre ignorĂ©s.

Les professionnels de la santĂ© soulignent que tous les produits achetĂ©s dans les supermarchĂ©s doivent Ăªtre lavĂ©s Ă  fond avec des produits de lavage de lĂ©gumes ou opter pour la solution de 28,34 g d’acide chlorhydrique dans trois litres d’eau. Les produits qui ne peuvent pas Ăªtre lavĂ©s doivent Ăªtre pelĂ©s. Le rinçage Ă  l’eau n’élimine aucun des rĂ©sidus de pesticides. Malheureusement, le rinçage est le seul processus de nettoyage utilisĂ© dans la plupart des restaurants qui prĂ©parent des salades.

Les Toxines dans la Maison

La limitation des toxines autour de la maison exige que l’on suive certaines directives : Ă©vitez d’utiliser les vaporisateurs de dĂ©sodorisant, certains vaporisateurs de nettoyage, les pulvĂ©risateurs d’insectes et mĂªme les laques pour cheveux. Si vous utilisez une laque pour cheveux, envisagez de les traiter Ă  l’extĂ©rieur de la maison. Par ailleurs, en ramenant Ă  la maison des vĂªtements qui ont Ă©tĂ© nettoyĂ©s Ă  sec, il est prĂ©fĂ©rable d’enlever les couvertures en plastique et de laisser les vĂªtements Ă  l’air libre (en plein air) pendant un certain temps avant de les remettre dans la maison. Des produits chimiques volatils sont utilisĂ©s dans le processus de nettoyage.

Certains chercheurs (rĂ©flĂ©chissant sur les effets des produits chimiques toxiques) reconnaissent aujourd’hui qu’un antiseptique qui avait Ă©tĂ© jadis acceptĂ©, prĂ©sentĂ© comme indiscutĂ©, est en rĂ©alitĂ© extrĂªmement dangereux. Cet antiseptique est l’alcool isopropylique, communĂ©ment appelĂ© alcool Ă  friction. Nombre de gens utilisent encore cet antiseptique et le considèrent comme sans risques. Ă€ la lumière des preuves patentes, le choix judicieux Ă  faire consiste Ă  trouver et Ă  utiliser un des nombreux antiseptiques disponibles Ă  la place de ce produit chimique dangereux. Veillez Ă  ce que l’antiseptique de substitution ne contienne pas de particules d’alcool isopropylique.

De toutes les habitudes destructrices de la santé, l’usage du tabac, des drogues et l’abus de l’alcool sont probablement les plus destructeurs. Cela est vrai, non seulement en raison des toxines qu’ils contiennent, mais aussi la dévastation mentale provoquée par la drogue et l’excès d’alcool. Si n’importe lequel de ces pièges fait obstacle à la restauration de votre santé, considérez-les comme l’ennemi qu’ils constituent en réalité.

Il convient de reconnaître qu’il y a beaucoup de dangers que nous ne pouvons pas contrôler. Vous ne devrez pas en ajouter inutilement en mettant en péril votre famille avec de telles attitudes dépendantes qui détruisent la santé. (Pour en savoir plus, lisez nos rapports sur l’épidémie de l’alcool - la malédiction tragique de l’abus de l’alcool et la tragédie de l’abus des drogues, et notre article intitulé : « La Vérité Au Sujet De Fumer La Cigarette ».)

Les toxines sont omniprĂ©sentes dans pratiquement tous les aspects de la vie. Il est dĂ©courageant de constater que tout dans un mĂ©nage normal - mĂªme l’air et l’eau - est pitoyablement en dessous des niveaux de sĂ©curitĂ© requis. Les toxines seront toujours prĂ©sentes et ne pourront pas Ăªtre complètement Ă©vitĂ©es dans la vie quotidienne. Mais une chose que nous pouvons faire sur cette terre pĂ©rilleuse et polluĂ©e consiste dans le renforcement de nos propres dĂ©fenses.

Le Benzopyrène

Le benzopyrène est un cancĂ©rigène puissant et dangereux. Il s’agit d’une toxine potentielle associĂ©e Ă  la cuisson qui doit Ăªtre Ă©vitĂ©e ou considĂ©rablement rĂ©duite. Il se forme mĂªme quand nous faisons cuire notre pain, mĂªme le pain de blĂ© complet.

Pour Ă©viter le benzopyrène, ne faites jamais cuire des aliments directement sur la flamme. Ce produit chimique est un sous-produit de la rĂ©action chimique, lorsque les flammes ont consumĂ© des parties de la surface extĂ©rieure. MĂªme la chaleur d’un grille-pain Ă©lectrique crĂ©e cette toxine. Le grille-pain doit toujours Ăªtre rĂ©glĂ© Ă  sa puissance minimale. De mĂªme, les steaks ou biftecks grillĂ©s sur le charbon de bois produisent le benzopyrène Ă  la surface oĂ¹ les flammes sont en contact direct avec la viande.

Cela peut Ăªtre Ă©vitĂ© en utilisant une cuisinière Ă  gaz avec le gaz rĂ©duit au plus bas, après avoir prĂ©chauffĂ© la cuisinière Ă  un niveau beaucoup plus Ă©levĂ© de chaleur. On peut Ă©galement l’éviter en faisant la cuisson dans une poĂªle ou sur un gril. Les poĂªles de grillade (avec de l’huile d’olive) et les casseroles utilisĂ©es pour cuire les viandes ne produisent jamais le benzopyrène, mĂªme si la nourriture est cuite jusqu’à ce qu’elle noircisse, en raison de l’effet protecteur de la casserole en acier inoxydable.

L’arĂ´me de fumĂ©e des assaisonnements ou des sauces de barbecue doivent Ăªtre Ă©vitĂ©s, en raison de la forte teneur en benzopyrène.

Cinquième Partie : Les ComplÉments Nutritionnels

Dieu a voulu que l’homme tire tous les nutriments nĂ©cessaires des sources d’alimentation qui ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©es. L’homme a Ă©tĂ© crĂ©Ă© pour respirer l’air frais et profiter d’un ensoleillement correctement filtrĂ©. Il a Ă©tĂ© crĂ©Ă© pour Ăªtre actif grĂ¢ce Ă  la marche et au travail, et pour boire de l’eau pure. Ces bĂ©nĂ©dictions abondantes existent rarement Ă  l’état pur aujourd’hui. Au cours de la dernière gĂ©nĂ©ration, la pollution et la contamination ont souillĂ© tous ces Ă©lĂ©ments vitaux que les gĂ©nĂ©rations prĂ©cĂ©dentes avaient tenus pour acquis.

Malheureusement, de nombreuses gĂ©nĂ©rations ont ignorĂ© le commandement de Dieu qui consiste Ă  laisser la terre se reposer tous les sept ans (LĂ©v. 25 : 1-7). Cette ignorance du commandement de Dieu a littĂ©ralement dĂ©truit le sol qui fait pousser notre nourriture. L’ignorance et la dĂ©sobĂ©issance Ă  la Loi de Dieu ont conduit Ă  une malĂ©diction touchant les produits de la terre. La civilisation a transgressĂ© de nombreux autres principes fondamentaux de l’agriculture dans la course pour Ăªtre plus productive. Rappelez-vous les pesticides et les toxines rĂ©siduelles dans le sol.

Il se peut que les aliments biologiques de meilleure qualité que nous pouvons obtenir aujourd’hui soient bien loin de la nutrition que Dieu avait originellement prévue. Si les meilleurs aliments sont en deçà de la qualité d’origine, qu’en est-il de l’alimentation de ceux qui, involontairement, se contentent de ce qui est considéré comme un régime alimentaire normale à l’époque actuelle ? En prenant en considération tous les aliments sans valeurs nutritives qui dominent cette génération, nous ne pouvons guère espérer avoir la nutrition nécessaire pour éviter les carences, maintenir l’immunité, et neutraliser les toxines sans une certaine énergie supplémentaire pour nous « booster » et nous maintenir en bonne santé.

C’est ici qu’on peut reprendre la question relative Ă  la façon dont les gens s’investissent financièrement pour essayer d’avoir un rĂ©gime alimentaire « standard » ou « normal ». Quotidiennement, de nombreuses personnes consomment des aliments tels que les hamburgers, les hot-dogs, les pizzas, les tacos (qui est une crĂªpe mexicaine farcie et frite) et le poulet frit, accompagnĂ©s, le plus souvent, de frites françaises. (Certains de ces aliments pourraient possiblement Ăªtre bĂ©nĂ©fiques s’ils Ă©taient prĂ©parĂ©s avec des ingrĂ©dients sains, comme le font certains restaurants qui prĂ©parent de la bonne nourriture. Mais, tels que prĂ©parĂ©s par la grande majoritĂ© des Ă©tablissements de restauration rapide, ils sont considĂ©rĂ©s simplement comme de la malbouffe.) Il ne faut pas oublier, en effet, que chaque repas est servi gĂ©nĂ©ralement avec son coca-cola favori, ou l’une des boissons gazeuses que certains consomment trois ou quatre fois par jour. Les personnes qui ont ce genre de rĂ©gime alimentaire dĂ©tĂ©riorent gĂ©nĂ©ralement leur santĂ© au moment oĂ¹ elles atteignent la quarantaine ou la cinquantaine - et dans la gĂ©nĂ©ralitĂ© des cas plus tĂ´t ! Et puis, elles n’arrivent plus Ă  comprendre la raison pour laquelle leur niveau d’énergie a « touchĂ© le fond ».

De concert avec un vĂ©ritable effort pour amĂ©liorer et optimiser son rĂ©gime alimentaire d’ensemble, une adjonction de nutriments peut aider une personne Ă  Ăªtre en bonne santĂ©. Ces supplĂ©ments nutritifs, ce sont les complĂ©mentaires alimentaires.

Les Suppléments Nutritifs et les Compléments Alimentaires

Si vous n’avez pas pris des compléments alimentaires auparavant, songez à une combinaison de vitamines multiples, de multiples suppléments minéraux. Les compléments alimentaires de qualité supérieure, qu’on trouve habituellement dans les meilleurs magasins d’aliments naturels, proviennent de sources naturelles.

Les combinaisons les plus chères ne sont pas forcĂ©ment les meilleures. Les meilleures combinaisons naturelles doivent Ăªtre prises deux ou trois fois par jour. Les vitamines naturelles ne sont pas aussi concentrĂ©es que celles qui sont synthĂ©tiques, et elles nĂ©cessitent gĂ©nĂ©ralement des comprimĂ©s plus gros ou des capsules plus grandes, et un plus grand nombre d’entre elles se prĂ©sentent sous ces formes. Tout en essayant d’amĂ©liorer sa santĂ©, les vitamines multiples de qualitĂ© peuvent donner un coup de pouce supplĂ©mentaire. Une vitalitĂ© supplĂ©mentaire peut Ăªtre perceptible. Il va de soi que cette vitalitĂ© viendra aussi en Ă©vitant la malbouffe afin de donner une importance particulière aux aliments plus naturels.

La vitamine C (l’acide ascorbique) est une arme prĂ©cieuse dans cet environnement toxique. C’est l’un des nombreux Ă©lĂ©ments nutritifs qui luttent contre les toxines. Elle peut Ă©galement aider Ă  stimuler le système immunitaire. Les meilleures qualitĂ©s de vitamine C sont gĂ©nĂ©ralement combinĂ©es avec un complexe de bioflavonoĂ¯des. Les bioflavonoĂ¯des sont gĂ©nĂ©ralement considĂ©rĂ©s comme faisant partie de la famille de la vitamine C (Comment se Porter Bien, Airola, PP 269-271).

La vitamine C contient une abondance d’ions chargés négativement. Les nutritionnistes assimilent, dans certains cas, la prise de vitamine C au déversement d’un seau d’électrons pour combattre l’infection ou les toxines, autant que quelqu’un lutterait contre un incendie avec un seau d’eau. Les électrons chargés négativement facilement disponibles dans la vitamine C se combinent avec les charges positives des « radicaux libres », les neutralisant et éliminant le danger que ces derniers représentent. Les anciens radicaux libres, ainsi que les toxines neutralisées, sont ensuite expulsés sous forme de déchets.

L’organisme utilise une grande quantitĂ© de vitamine C quand il est sous pression. Il a souvent besoin d’en Ăªtre rĂ©approvisionnĂ© deux fois par jour ou plus. Les publications sur la santĂ© recommandent gĂ©nĂ©ralement la prise de vitamines naturelles de qualitĂ© en combinaison avec la vitamine C supplĂ©mentaire pour donner le coup de pouce nĂ©cessaire Ă  tous ceux qui ne sont pas habituĂ©s du tout Ă  la prise de complĂ©ments alimentaires. Ces publications soulignent Ă©galement que l’un des moyens les plus efficaces et Ă©conomiques pour assurer Ă  sa famille un approvisionnement suffisant en vitamine C, consiste dans l’utilisation de la vitamine C sous la forme de cristaux, laquelle peut Ăªtre facilement ajoutĂ©e aux jus.

Il y a des centaines de combinaisons et de vitamines individuelles de diffĂ©rentes marques sur le marchĂ©. Comme nous sommes dans une industrie qui gĂ©nère plusieurs milliards de dollars, il y a une plĂ©thore de publicitĂ©s, de magazines de santĂ© et d’autres informations qui peuvent prĂªter Ă  confusion. AmĂ©liorer sa nutrition avec une vitamine naturelle et des supplĂ©ments minĂ©raux et de la vitamine C supplĂ©mentaire est Ă  peu près l’élĂ©ment essentiel de ce que l’on pourrait trouver. Nous entendons explorer plus en dĂ©tail cet aspect de la question, afin que vous puissiez dĂ©couvrir ce qui vous convient le mieux.

Du moment que les carences nutritionnelles dans cette ère moderne sont grandes, combler le fossĂ© avec des complĂ©ments alimentaires est un choix judicieux. Mais veillez Ă  ne pas faire de la nutrition ou des complĂ©ments alimentaires un dieu. Prenez-les en tant que moyen pour booster vos besoins nutritionnels. Les supplĂ©ments nutritionnels, ainsi que tout le reste, doivent Ăªtre apprĂ©hendĂ©s dans la bonne perspective.

Sixième Partie : Le Repos Et Le Sommeil

Le principe du repos s’applique Ă  la fois aux plans physique et spirituel. Notez ce qui s’est passĂ© Ă  la fin de la semaine de la crĂ©ation : « Et au septième jour Dieu acheva Son Å“uvre qu’Il avait faite; et Il Se reposa au septième jour de toute Son Å“uvre qu’Il avait faite » (Gen. 2 : 2).

Dieu a fixĂ© la norme par laquelle l’homme Ă©tait appelĂ© Ă  se reposer de toutes ses activitĂ©s physiques et consacrer du temps aux questions spirituelles. (Bien qu’Il n’ait pas littĂ©ralement besoin de Se reposer.) Outre le fait dâ€™Ăªtre un temps de renouvellement spirituel, le jour du Sabbat est une occasion de rĂ©cupĂ©rer physiquement et mentalement après six jours de travail. Remarquez : « Tu travailleras six jours et tu feras tout ton travail; mais le septième jour est le Sabbat du SEIGNEUR ton Dieu : en ce jour-lĂ , tu ne feras aucun travail... » (Exo. 20 : 9-10).

Le Sabbat de la terre, durant lequel la terre est mise en jachère et au « repos » tous les sept ans, est une extension du mĂªme principe. Le CrĂ©ateur a rĂ©vĂ©lĂ© que mĂªme la terre doit disposer d’un temps pour se recharger : « Pendant six ans, tu sèmeras ton champ et pendant six ans tu tailleras ta vigne et tu en recueilleras le fruit. Mais la septième annĂ©e sera un Sabbat de repos pour la terre, un Sabbat au SEIGNEUR; tu ne sèmeras pas ton champ et tu ne tailleras pas ta vigne » (LĂ©v. 25 : 3-4). Ă€ moins que la terre ne soit autorisĂ©e Ă  procĂ©der Ă  l’équilibre chimique, lequel se produit pĂ©riodiquement quand elle demeure inexploitĂ©e, les produits cultivĂ©s sur cette terre diminuent en qualitĂ©. Les hommes continuent toutefois de braver cette loi !

Tout comme le Sabbat de la terre renouvelle le sol, le repos au cours du Sabbat hebdomadaire revigore l’homme. Il va sans dire que pour Ăªtre en pleine forme, le cycle quotidien du sommeil est nĂ©cessaire. Ce moment essentiel n’est pas du temps perdu. Quand on ne dort pas suffisamment, les systèmes biologiques se dĂ©tĂ©riorent.

La quantitĂ© de sommeil nĂ©cessaire varie en fonction des individus. Certaines personnes peuvent Ăªtre en forme avec aussi peu que 5 heures de sommeil. D’autres personnes ont besoin de 9 heures de sommeil ou plus. 8 est le nombre d’heures de sommeil convenable pour la plupart des gens. Lorsque les circonstances l’imposent, quelqu’un peut remplir son rĂ´le ou sa fonction avec une quantitĂ© moindre de sommeil pendant une certaine pĂ©riode, ce qui dĂ©montre la capacitĂ© de l’organisme Ă  s’adapter en vue de rĂ©pondre aux exigences de la vie. Les activitĂ©s physiques et le jeĂ»ne augmentent notre besoin de sommeil. Ils favorisent Ă©galement un sommeil beaucoup plus profond et rĂ©parateur.

Un sommeil suffisant rapporte de merveilleux dividendes. Il permet de travailler avec une plus grande capacité le lendemain. On est mieux préparé, physiquement et mentalement, pour faire face aux défis de la nouvelle journée. En certaines occasions, les circonstances exigent que l’on travaille plus tard et qu’on sacrifie le sommeil. Les étudiants font régulièrement l’impasse sur le temps de sommeil nécessaire pour vaquer aux études à l’approche des examens ou pour terminer des travaux au dernier moment. Une préparation à l’avance est toujours meilleure que les sacrifices de dernière minute. En tout état de cause, le manque de sommeil est rarement sinon jamais entièrement compensé.

Pendant le sommeil, la pression artĂ©rielle diminue, la vitesse de la respiration et le rythme cardiaque ralentissent de manière significative. Les chercheurs ont classĂ© le sommeil en diffĂ©rentes phases pour ce qui est des ondes cĂ©rĂ©brales, les mouvements oculaires et les niveaux de rĂªve. Un sommeil suffisant et rĂ©parateur renouvelle l’ensemble du système nerveux. Bien entendu, cette pĂ©riode qui permet au cÅ“ur de ralentir son rythme et de se reposer est Ă©galement indispensable. Le sommeil est le seul repos que le cÅ“ur peut s’autoriser.

Il est indéniable de prendre en compte cet exemple qui donne à réfléchir et qui indique à quel point le sommeil est important :

« Pendant le siège armé de la ville de Sarajevo, la capitale de la Bosnie-Herzégovine de 1992 à 1995, 150 000 habitants de la ville ont été contraints de fuir. Ce beau site des Jeux olympiques d’hiver de 1984 était désormais le centre de terribles bouleversements. Les 300 000 habitants restants étaient soumis à d’intenses pressions au cours de la journée et des tireurs embusqués de nuit sans oublier les obus de mortier occasionnels. Environ 10 500 habitants furent tués. Beaucoup d’autres furent blessés, avec des névroses sévères et de maladies continuelles - principalement dues au manque de sommeil - qui affligeait la majorité des personnes qui avait survécu au siège. À la fin du siège, les psychologues de l’Université de Sarajevo ont déterminé que le manque de sommeil, plus que tout autre facteur, avait conduit à la détérioration de la santé des survivants (extrait d’une interview de National Public Radio, « All Things Considered » 1995).

La privation sĂ©vère de sommeil et mĂªme dans certains cas d’un sommeil lĂ©ger diminue les rĂ©actions immunitaires de l’organisme de manière beaucoup plus spectaculaire que les dĂ©ficiences nutritionnelles. L’épuisement annihile l’efficacitĂ© des activitĂ©s physiques et celle d’une bonne nutrition. Quand on manque de sommeil, les systèmes nerveux et endocriniens ne peuvent plus communiquer efficacement. Cela paralyse, au passage, les dĂ©fenses de l’organisme.

De tous les besoins essentiels de l’organisme, le sommeil et le repos sont les plus cardinaux. L’organisme peut survivre plus longtemps sans eau qu’il ne le pourra sans le strict minimum de sommeil et de repos.

Tout comme la terre est appauvrie lorsque son repos du Sabbat lui est refusé, l’organisme se vide de son énergie lorsqu’il est poussé à l’épuisement, sans repos. Par conséquent, permettez à votre organisme d’avoir suffisamment de temps pour se reposer. Trop d’enjeux en dépendent pour qu’il en soit autrement !

Septième Partie : L’hygiène Personnelle

La pratique de l’hygiène est étroitement liée à l’ordre et à l’organisation. Prenez en note le passage suivant : « Car Dieu n’est pas l’auteur de confusion, mais de paix, comme dans toutes les Églises des saints » (I Cor. 14 : 33). Le verset 40 poursuit : « Que toutes choses se fassent décemment et avec ordre ».

Ces versets s’appliquent principalement à la façon dont les gens doivent se comporter dans l’Église. Mais ils s’étendent à tous les autres domaines de la vie. À tous les niveaux, une absence d’effort conscient pour perpétuer l’ordre entraîne la confusion et le désordre. En ce qui concerne l’organisme humain, la négligence de l’hygiène personnelle est concrétisée par l’image du hippie des années 1960. La saleté, la confusion et le désordre deviennent seulement naturels quand on demeure dans la paresse, ne faisant aucun effort pour promouvoir la propreté et l’ordre. Considérons par conséquent ce fait : en l’absence d’une intervention humaine, il en résulte un équilibre naturel entre le règne végétal et le règne animal. Cet équilibre environnemental est une autre façon par laquelle la création assure sa propre régulation.

Dans l’environnement de l’homme, ses milieux d’habitation, l’hygiène personnelle, et partout oĂ¹ l’homme est prĂ©sent, le « laissez-faire », le principe (du laissez-faire ou de la non-intervention) qui fonctionne au sein de l’écosystème n’est plus applicable. L’homme est censĂ© mettre en avant l’effort et le travail afin de garder son environnement immĂ©diat propre et en ordre. Notez : « Et le SEIGNEUR Dieu prit l’homme et le mit dans le Jardin d’Éden pour l’entretenir et pour le garder » (Gen. 2 : 15). Entretenir et garder le jardin signifiaient beaucoup d’efforts soutenus et de travail. Dieu veut que nous soyons productifs et accomplissions de bonnes choses.

L’on doit accorder une attention toute particulière aux exigences fondamentales de l’hygiène personnelle. Faites un effort consciencieux pour garder votre habitation propre et ordonnĂ©e. Les ordures doivent Ăªtre continuellement collectĂ©es et renvoyĂ©es dans les endroits indiquĂ©s. Ne les laissez pas s’accumuler çà et lĂ . La condition intĂ©rieure et extĂ©rieure d’une maison est un reflet pour savoir si une famille pratique ces principes divins.

Certaines pratiques d’hygiène acceptables dans les annĂ©es 1800 et au dĂ©but des annĂ©es 1900 sont inacceptables Ă  l’époque actuelle. L’acceptation des odeurs corporelles en est un exemple. Ces odeurs pourraient vous coĂ»ter une promotion au travail, ou en certains cas, dĂ©terminer si vous devez Ăªtre mĂªme recrutĂ©.

La propretĂ© des cheveux, des ongles, des dents et de l’haleine doit Ăªtre prĂ©servĂ©e Ă  l’effet d’assurer sa santĂ©. Cela dĂ©montre aussi une Ă©lĂ©gance du style. Quand on met en avant l’effort pour garantir ses soins personnels et sa propretĂ©, on maintient, au passage, un niveau acceptable de respect de soi. L’hygiène personnelle, la propretĂ© et une tenue vestimentaire appropriĂ©e pour chaque occasion mettent la personne Ă  un niveau de considĂ©ration supĂ©rieure.

HUITIĂˆME PARTIE : ÉVITEZ LES ACCIDENTS

Les accidents constituent en eux-mĂªmes des menaces souvent nĂ©gligĂ©es dans le contexte d’une bonne santĂ©. La plupart des accidents surviennent dans la vie des personnes qui sont prĂ©occupĂ©es. Le plus souvent, ils se produisent quand on est pressĂ© de respecter un dĂ©lai. Ă€ certains moments, le simple accomplissement du travail semble l’emporter sur sa rĂ©alisation en toute sĂ©curitĂ©.

Le fait d’accorder une attention particulière, lors de la descente, par exemple, des marches d’un escalier avec une charge, permet d’éviter de nombreux accidents. Ne laissez pas les distractions l’emporter sur votre concentration ou sur la prise de conscience des dangers potentiels lorsque vous conduisez ou marchez.

Faites preuve de sagesse et organisez d’avance les voyages. Anticipez les retards en partant plus tĂ´t. Ce faisant, vous pouvez arriver Ă  l’heure. Les retards dans les trafics complexes peuvent pousser certaines personnes Ă  prendre des risques inhabituels, lesquels pourraient leur Ăªtre fatals. En planifiant et en Ă©vitant certains problèmes ou les zones de construction, les voyages peuvent Ăªtre plus sĂ»rs et plus agrĂ©ables.

Des mesures de précaution pour accroître la sécurité (en utilisant par exemple, les ceintures de sécurité) vous seront profitables. Les décès annuels dus aux véhicules à moteur aux États-Unis ont diminué, passant de plus de 54 600 en 1970 à 43 000 en 2000, malgré une augmentation importante des accidents.

À la suite des accidents d’automobile, la prochaine catégorie qui cause le plus de décès par accident est la chute. Aussi incroyable que cela puisse paraître, la chute provoque 16 000 décès par an, un taux relativement constant chaque année entre 1970 et 2000 (World Almanac, une publication annuelle qui recense les événements de l’année; 2002).

Tant sur le lieu de travail qu’à la maison, de nombreux accidents peuvent Ăªtre Ă©vitĂ©s par une prise de conscience accrue de sĂ©curitĂ©. Une vigilance et une attention particulières devraient Ăªtre accordĂ©es aux petits enfants lorsqu’ils jouent, en particulier près de l’eau. Faites attention Ă  quelqu’un qui Ă©touffe pendant un repas - il faut toujours « prĂ©voir l’imprĂ©visible ». Tout le monde devrait Ăªtre familier avec la manÅ“uvre de Heimlich, quand une situation d’étouffement survient.

Pour chaque accident mortel, il y en a des dizaines autres qui causent des blessures graves. Ă€ l’exemple de la maladie, les blessures sont un revers fĂ¢cheux. C’est l’une des ironies de la vie, la façon dont un geste imprudent peut affecter la santĂ© physique pour la vie !

Il faut vous rappeler constamment que vous vivez dans un monde de plus en plus dangereux. En raison des dangers potentiels qui abondent, minimiser la prise de risque et faire une planification offrent la possibilité d’anticiper les dangers éventuels. Ce fait est particulièrement vrai dans le cadre de la conduite. En vous rappelant la réalité de dangers qui peuvent ou non se produire, cela devient habituel de vous soustraire à leurs effets néfastes. Le Roi Salomon l’a mieux exprimé : « Un homme prudent voit venir le mal et se cache; mais les simples passent outre et en sont punis » (Prov. 27 : 12).

Neuvième Partie : Une Attitude Positive

La plupart des gens ne se rendent pas compte qu’une attitude positive et enthousiaste favorise le bon fonctionnement de l’organisme. Un nombre croissant de magazines de santé modernes rapportent de plus en plus les avantages de ce que certaines personnes appellent « la foi et la guérison ». Les histoires de cas unanimement salués comme un « miracle » à la suite d’une attitude mentale positive. Bien entendu, cela s’appuie sur la foi humaine, une attitude noble, mais limitée. En outre, lorsque les conditions sont favorables, l’organisme humain est en effet un mécanisme d’auto-guérissons.

Il y a eu un certain nombre de cas exceptionnels dans lesquels les patients en phase terminale renvoyés chez eux pour mourir se sont en réalité rétablis et ont recouvré entièrement la santé. Dans tous ces cas, le corps a suivi l’initiative d’une espérance positive et optimiste, combinée à la foi humaine. Un nombre croissant de ces survivants témoignent de la puissance de l’esprit sur l’organisme.

Ce phĂ©nomène fonctionne non seulement avec des malades en phase terminale, mais aussi avec ceux qui se portent lĂ©gèrement bien ou ceux qui essaient d’amĂ©liorer leur santĂ©. Dans les faits, une attitude saine et positive est grandement dĂ©veloppĂ©e quand on est conduit par l’Esprit Saint de Dieu (Rom. 8 : 14). L’Esprit produit la paix (vs. 6) et l’optimisme qui mettent le corps et l’esprit en harmonie avec Dieu, la source mĂªme de la vie et de la santĂ©.

Malheureusement, la plupart des gens ne sont pas positifs. Dans de tels cas, quand on est stressĂ© et sous tension, le cerveau envoie des signaux nĂ©gatifs Ă  l’organisme. Celui-ci peut Ăªtre fortement affectĂ© par les maladies psychosomatiques, des maladies dĂ©clenchĂ©es par des facteurs psychiques. Ces affections englobent les troubles nerveux, les ulcères, les indigestions et bien d’autres maladies.

ConsidĂ©rons l’exhortation suivante : « Finalement, frères, que toutes les choses qui sont vraies, toutes les choses qui sont honnĂªtes, toutes les choses qui sont justes, toutes les choses qui sont pures, toutes les choses qui sont charmantes, toutes les choses qui sont de bonne rĂ©putation; s’il y a quelque vertu, et s’il y a quelque louange, pensez Ă  ces choses » (Phil. 4 : 8). Voici les points sur lesquels l’on devrait mĂ©diter. Cette prescription produit de nombreux avantages. Un Ă©tat d’esprit positif et une satisfaction gĂ©nĂ©rale stimulent les systèmes de l’organisme Ă  travailler Ă  plein rendement, ce qui contribue Ă  Ă©loigner plus la maladie.

Il est important de noter, au passage, la sagesse inhérente du livre des Proverbes, attendu qu’ils soulignent les bienfaits de l’obéissance aux lois de Dieu :

« Ne sois pas sage à tes propres yeux; crains le SEIGNEUR et écarte-toi du mal. Ce sera la SANTÉ pour ton nombril, et la moelle pour tes os » (3 : 7-8).

« Mon fils, sois attentif Ă  mes paroles, incline ton oreille Ă  mes propos. Ne les laisse pas s’écarter de tes yeux; garde-le au fond de ton cÅ“ur; car ils sont la vie Ă  ceux qui les trouvent, et la SANTÉ de toute leur chair » (4 : 20-22).

« L’homme misĂ©ricordieux fait du bien Ă  son Ă¢me, mais celui qui est cruel PERTURBE SA CHAIR » (11 : 17).

« Un messager malfaisant tombe dans le mal, mais un ambassadeur fidèle est en bonne SANTÉ » (13 : 17).

« Un cœur sain est la vie de la CHAIR, mais l’envie est la pourriture des OS » (14 : 30).

« Un cÅ“ur joyeux expose un visage heureux, mais par le chagrin du cÅ“ur l’esprit est brisĂ© » (15 : 13).

« La lumière des yeux rĂ©jouit le cÅ“ur; et une bonne renommĂ©e FORTIFIE les OS » (15 : 30).

« Un cÅ“ur joyeux est comme un bon remède, mais un esprit brisĂ© dessèche les OS » (17 : 22).

Tous les aspects d’une bonne santĂ© devraient Ăªtre agrĂ©ables Ă  mettre en pratique, d’autant plus qu’ils sont bĂ©nĂ©fiques Ă  l’organisme et Ă  l’esprit. Dans cette optique, il est important de rappeler les points suivants :

La marche, en tant qu’activitĂ© physique, devrait non seulement amĂ©liorer les poumons, le cÅ“ur et le système cardio-vasculaire de façon gĂ©nĂ©rale, mais elle permet aussi dâ€™Ăªtre revigorĂ© mentalement et spirituellement.

Les aliments sains devraient Ăªtre apprĂ©ciĂ©s pour leur saveur naturelle. Si nos papilles n’ont pas Ă©tĂ© complètement corrompues par des annĂ©es de consommation d’aliments transformĂ©s ou par la malbouffe, nous devrions immĂ©diatement apprĂ©cier la saveur supĂ©rieure des aliments sains. De nouvelles idĂ©es peuvent Ăªtre dĂ©veloppĂ©es pour trouver des recettes crĂ©atives. Certains chefs de cuisine d’aliments naturels ont concoctĂ© des idĂ©es nutritives pour augmenter la valeur nutritionnelle de lĂ©gumes crus, comme la vinaigrette maison. Il y a des possibilitĂ©s crĂ©atives illimitĂ©es pour les desserts faits avec des fruits crus ainsi que les gĂ¢teaux et les tartes, tout en utilisant des ingrĂ©dients naturels et sains.

Le jeĂ»ne physique est extrĂªmement bĂ©nĂ©fique et il n’est pas difficile Ă  mettre en Å“uvre. Il faut de la dĂ©termination et de la persĂ©vĂ©rance pour avoir l’élan nĂ©cessaire afin de commencer. Mais les nombreux avantages rĂ©compensent grandement l’effort fourni.

Évitez les toxines dans votre nourriture et dans votre environnement.

Les compléments alimentaires fabriqués à partir de produits naturels peuvent améliorer la santé et le système immunitaire. Ces avantages sont facilement perceptibles.

S’accorder suffisamment de temps de repos et de sommeil donne des résultats positifs.

Une bonne hygiène et une bonne organisation protègent notre santé tout en favorisant une vision ou une attitude positive et enthousiaste dans la vie.

Faites preuve de prudence et de précautions afin d’éviter les accidents. Vous en retirerez des avantages.

La tranquillité d’esprit qui provient d’une attitude positive et enthousiaste est un attribut précieux, mais très rare dans le monde turbulent d’aujourd’hui. C’est le catalyseur qui utilise tous les autres éléments des principes d’une vie saine.

Si vous Ăªtes disposĂ© Ă  obĂ©ir Ă  Dieu, vous chercherez des moyens en vue d’amĂ©liorer et revaloriser votre vie. (Lisez Ă©galement notre brochure complète intitulĂ©e : La VĂ©ritĂ© sur la GuĂ©rison qui lève l’ambiguĂ¯tĂ© entre la foi humaine et la foi divine.)

Dixième Partie : Faites Vos Propres Recherches

Dieu S’attend Ă  ce que les Ăªtres humains prennent des initiatives afin de surmonter les obstacles auxquels ils sont aux prises. Bien qu’Il exige que nous priions et cherchions l’onction lorsque nous sommes malades (Jac. 5 : 14), cette possibilitĂ© ne devrait pas Ăªtre considĂ©rĂ© comme un moyen de nous dĂ©barrasser simplement des effets, ainsi qu’on le ferait avec un genre "d’aspirine" spirituelle. Essayez de comprendre, dans un premier temps, ce qui a causĂ© vos maux ou vos affections et faites ensuite tout ce qui est possible pour Ă©viter d’y retomber. Dans Sa sagesse infinie, Dieu sait qu’il y a quelque chose que nous pouvons faire pour changer ou supprimer la cause, afin que nous ne souffrions plus, Ă  maintes reprises, de l’effet.

Dieu veut que nous cherchions activement des solutions aux problèmes de santé. Il veut que nous priions et y contribuions tandis que nous cherchons à résoudre au mieux les problèmes. Il veut que nous utilisions les épreuves pour développer l’habileté, l’ingéniosité et la capacité à résoudre des problèmes. (Nous vous proposons une autre brochure connexe et utile, intitulée Les lois du succès, qui décrit sept lois distinctes, parmi lesquelles l’ingéniosité.)

Nous vivons Ă  une Ă©poque oĂ¹ les connaissances et l’information sont en croissance, voire en pleine explosion (Dan. 12 : 4). Les ordinateurs ont mis beaucoup d’informations Ă  la disposition du public. Les recherches sur les causes de maladies particulières donnent des montagnes de preuves. C’est la raison pour laquelle celui qui ne cherche pas Ă  amĂ©liorer son Ă©tat de santĂ© n’aura aucune excuse pour abandonner et conclure qu’il n’existe aucune solution.

La Détermination d’un Père

Avant d’explorer quelques-uns des pistes disponibles au niveau de la recherche, voyons un cas qui sonne comme un exemple. Le père d’un enfant mourant refusa de croire les spécialistes. Au bout du compte, il a été récompensé de son engagement à faire tout son possible pour le rétablissement et la survie de l’enfant :

« Ryan Dant était l’un des 40 bébés aux États-Unis qui naissent chaque année avec une maladie appelée... MPS1, un genre d’une famille de maladies génétiques dans lesquelles l’organisme du patient manque d’une enzyme nécessaire pour fonctionner correctement. La situation est presque toujours mortelle.

« Les parents de Ryan, Marc et Jeanne Dant, ont été informés qu’ils ne pouvaient rien faire d’autre que d’attendre la mort de leur enfant. La famille Dant n’était toutefois pas disposée à accepter un tel fait. Marc se mit alors au travail » (« Sauver Ryan », CBSnews.com, le 26 Juin 2002).

Ryan manquait d’une enzyme nĂ©cessaire Ă  la dĂ©composition des dĂ©chets dans l’organisme. Au fil du temps, l’accumulation de matières rĂ©siduelles enlise la capacitĂ© de son organisme Ă  fonctionner. La recherche sur cette maladie (MPS1) faisait dĂ©faut, car elle Ă©tait si rare. Les Dant s’engagèrent eux-mĂªmes dans la recherche d’un remède. Ils créèrent une fondation pour financer la recherche. Ils commencèrent modestement une vente de pĂ¢tisseries qui leur rapportait 342 dollars nets.

Marc Dant, un agent de police de Dallas, dans la rĂ©gion du Texas, fit pression sur de nombreuses entreprises pour solliciter de l’aide afin d’entamer des recherches dans le but de sauver son fils. Après environ trois ans de sollicitation et de ventes de pĂ¢tisseries, quelques tournois de golf commencèrent Ă  donner des montants de leurs bĂ©nĂ©fices Ă  la Fondation Ryan, un peu plus de 100 000 dollars chacun.

« En 1995, Marc rencontra un jeune chercheur Ă  UCLA (partie de l’universitĂ© de Californie situĂ©e Ă  Los Angeles, cĂ©lèbre pour la qualitĂ© de ses Ă©quipes de sport) nommĂ© Emil Kakkis. Kakkis Ă©tait l’un des rares chercheurs dans le monde qui Ă©tudiait le MPS1 et, sa rencontre avec Marc ne pouvait pas tomber Ă  un si meilleur moment. Il Ă©tait sur le point d’arrĂªter la recherche faute d’argent.

« Kakkis avait le sentiment que cette maladie complexe avait une solution assez simple qui consisterait dans la création d’une version artificielle de l’enzyme... manquante chez les enfants qui ont le MPS1.

« Les données scientifiques étaient solides. Mais, Kakkis avait besoin d’argent afin de porter son enzyme artificielle depuis le laboratoire jusqu’au chevet du patient. Au cours des années qui suivirent, la Fondation recueillit un million de dollars et elle remit toute la somme à Emil Kakkis.

« Dans les trois années qui suivent cette dotation, Kakkis avait attiré des fonds supplémentaires d’une petite entreprise de biotechnologie et avait obtenu l’approbation de la FDA (l’organisme officiel chargé de contrôler la qualité des aliments et de délivrer les autorisations de mise sur le marché des produits pharmaceutiques) en vue d’un essai clinique de son traitement enzymatique artificiel. Dix enfants furent choisis pour l’essai à Harbor/UCLA hospital en Californie. Ryan était l’un d’eux.

« Deux mois avant le 10e anniversaire de Ryan, Kakkis et les Dant administrèrent la première dose du traitement enzymatique de Ryan. Semaine après semaine, la vie de Ryan s’amĂ©liorait. Ă€ prĂ©sent, Ă  lâ€™Ă¢ge de 13 ans, Ryan avait commencĂ© Ă  jouer au baseball...

« Tous les 10 enfants montrèrent des signes d’amélioration. Trois ans après ce premier essai, Ryan continue de recevoir le traitement enzymatique une fois par semaine dans un hôpital de Dallas » (Ibid.).

La volonté de Marc et Jeanne Dant est exemplaire. Lorsque nous sommes parfois placés devant des dilemmes, ce genre de détermination est de loin nécessaire pour en arriver à une solution. La morale de cette histoire n’est pas que nous devrions nous efforcer de créer des fondations de charité ou de solliciter des dons monétaires. Au contraire, soyons déterminés à trouver une réponse. Refusons d’accepter la défaite ou d’abandonner.

Recherchez l’information disponible en abondance. Dieu veut que nous cherchions activement des solutions au plus grand nombre d’obstacles possibles et que nous puissions croître tout en apprenant à mieux résoudre les problèmes.

Une Solution de Bon Sens

Dans de nombreux cas, des solutions Ă  des problèmes de santĂ© existent dĂ©jĂ , mais elles ne sont pas mĂ©diatisĂ©es, en raison des dĂ©penses engagĂ©es. Un exemple de cette situation est celui des personnes conseillĂ©es par leur mĂ©decin d’éliminer le sel (le chlorure de sodium) de leurs rĂ©gimes alimentaires. Plus tard, ces mĂªmes personnes sont aux prises Ă  des complications graves dues Ă  l’absence du mĂªme sel qu’elles ont Ă©tĂ© invitĂ©es Ă  Ă©liminer !

Certains professionnels perspicaces de la santé ont conseillé à leurs patients de préparer un mélange à 50/50 de chlorure de sodium et de chlorure de potassium. Ce mélange permet la réduction du sodium de 50 %. Le potassium ajouté contribue à réduire la pression artérielle, et fournit d’autres besoins essentiels à l’organisme. Dans les faits, de nombreuses personnes sont déficientes en potassium. Le chlorure de potassium a un goût très comparable au sel ordinaire. Après le mélange, la plupart ne peuvent plus faire la différence entre cette association et le sel de table pure. Cette solution de bon sens est l’une des nombreuses solutions utilisées avec succès, mais jamais rendues publiques afin que des millions de personnes puissent s’y pencher et agir en conséquence.

Le Vaste Panorama des Remèdes à Base de Plantes

Dans divers passages, la Bible s’intéresse à la valeur des herbes. Une prophétie dans le livre d’Ézéchiel montre que, dans le Royaume de Dieu qui viendra bientôt, un fleuve coulera sous le temple de Jérusalem et guérira les océans. Ézéchiel 47 : 12 explique que de part et d’autre de ce fleuve, il y aura de nombreux arbres fruitiers, «... et leur feuillage servira de remède ». Les plantes médicinales n’ont pas seulement été utilisées depuis les temps anciens, elles seront encore disponibles dans le futur Millénium.

Il est important de noter l’évaluation suivante relative aux plantes mĂ©dicinales : « MĂªme la science mĂ©dicale moderne du 20e siècle, après avoir Ă©tĂ© mĂ©prisante vis-Ă -vis de la phytothĂ©rapie depuis des dĂ©cennies, se tourne dĂ©sormais « vers la nature » et est engagĂ©e dans une recherche mondiale de remèdes Ă  base de plantes anciennes. Certaines de nos plus grandes sociĂ©tĂ©s pharmaceutiques testent des milliers d’herbes et de plantes dans l’espoir d’isoler l’élĂ©ment mĂ©dical supposĂ©ment actif aux fins de le mettre sous forme de comprimĂ©s... Les chimistes de toutes les grandes compagnies pharmaceutiques Ă©tudient de vieux livres sur des herbes dans l’espoir de trouver des mĂ©dicaments efficaces et inoffensifs pour remplacer certains des produits chimiques nocifs et inefficaces dans les pharmacies modernes. MĂªme l’Institut National du Cancer Ă©tudie, aujourd’hui, et sĂ©rieusement, la possibilitĂ© d’obtenir des remèdes naturels Ă  base de plantes contre le cancer. Plusieurs universitĂ©s notamment l’UniversitĂ© d’Arizona... L’UniversitĂ© de l’Utah, et bien d’autres universitĂ©s, soutenues par le gouvernement et des subventions privĂ©es, se sont engagĂ©es dans la recherche de plantes mĂ©dicinales qui peuvent guĂ©rir une liste Ă  croissance exponentielle de maladies en face de laquelle les mĂ©dicaments chimiques sont impuissants : le cancer, l’arthrite, la sclĂ©rose en plaques, le psoriasis, les maladies cardiaques, etc.

« La science médicale est en train de confirmer aujourd’hui ce que la Bible a dit depuis le début et que les peuples "primitifs" à travers le monde connaissaient depuis le début, ce meilleur remède de l’homme est tout juste près de lui et autour de lui, dans le règne végétal. Il n’y a pas une seule maladie chez l’homme qui ne possède pas un remède correspondant ou une cure dans quelques herbes, racines, écorces ou autres remèdes botaniques. Comme il a été dit : « pour chaque maladie, il y a un remède », et ce remède a été donné à l’homme par un Créateur sage et miséricordieux tout juste dans son environnement proche, en l’occurrence, dans le règne végétal. Il nous appartient de découvrir et d’utiliser ces plantes médicinales données par Dieu à l’effet de guérir nos maux » (Comment Bien se Porter, Airola, 1974).

Lorsque vous faites des recherches sur le sujet des plantes ou dans tout autre domaine connexe, assurez-vous de garder les choses dans la bonne perspective. Certains praticiens ont tendance à déifier ou à diviniser les différentes procédures ou méthodes de guérison. Veillez à ne pas leur emboîter le pas. Demeurez dans l’équilibre !

Certaines personnes croient que la Bible condamne tous les mĂ©decins. Ce n’est pas le cas ! L’auteur de l’évangile du mĂªme nom, Luc Ă©tait un mĂ©decin (Col. 4 : 14). Certains commentaires bibliques Ă©mettent l’opinion selon laquelle il doit avoir Ă©tĂ© un spĂ©cialiste dans le rapprochement des symptĂ´mes avec des remèdes Ă  base de plantes connues, des estimations qui pourraient avoisiner des centaines de plantes. Un tel mĂ©decin devra comprendre l’anatomie humaine ainsi que la complexitĂ© du mĂ©lange des herbes mĂ©dicinales dans une combinaison pour rĂ©pondre aux besoins des autres.

Une autre question intĂ©ressante a trait Ă  un proverbe que JĂ©sus rĂ©pĂ©ta aux habitants de Nazareth, oĂ¹ Il avait grandi : « MĂ©decin, guĂ©ris-toi toi-mĂªme » (Luc 4 : 23). JĂ©sus n’était pas en dĂ©saccord avec la thèse dĂ©veloppĂ©e dans ce proverbe, lequel contenait un Ă©lĂ©ment de sagesse. Il ne condamnait pas non plus les mĂ©decins de Son Ă©poque. En fait, dans un autre passage, Il fit cette dĂ©claration : « Ceux qui sont bien portants n’ont pas besoin de mĂ©decin, mais ceux qui sont malades » (Marc 2 : 17).

Il y a un certain nombre d’herbes mĂ©dicinales qui peuvent Ăªtre prises non seulement pour traiter une maladie, mais aussi, et surtout comme une protection prĂ©ventive de la santĂ© de divers organes et glandes. Il y a, par exemple, un minĂ©ral et un certain nombre d’herbes mĂ©dicinales qui, lorsqu’ils sont pris ensemble rĂ©gulièrement, peuvent aider Ă  prĂ©venir les calculs rĂ©naux et Ă  soutenir l’organisme de plusieurs façons.

Les principales caractéristiques de la plupart des herbes médicinales et des substances nutritives sont prises pour des mesures préventives, les herbes médicinales sont utiles de plusieurs façons, et ce, sans effets secondaires négatifs, pourvu qu’elles soient prises correctement. Les fabricants de médicaments dans les laboratoires peuvent rarement, voire jamais, faire de telles affirmations.

Un grand nombre d’ouvrages sur les herbes médicinales sont disponibles. Un best-seller est The How to Herb Book de Keith et Gordon, 1984. Un autre ouvrage est Prescriptions for Nutritional Healing du Dr James Balch et Phyllis Balch, 2000 (3e édition). Il traite non seulement des options nutritionnelles, mais donne aussi la signification des plantes.

Ă€ la faveur de recherches personnelles, nombre de personnes ont dĂ©couvert des faits que leurs mĂ©decins ne leur disaient pas, et, très probablement, ils ne les connaissaient pas. Ces personnes ont trouvĂ© les causes sous-jacentes de leurs maux. En consĂ©quence, ils ont rĂ©ussi Ă  Ă©liminer ou Ă  contrĂ´ler la cause, amĂ©liorant par la mĂªme occasion considĂ©rablement leur Ă©tat de santĂ© ! Compte tenu de l’incroyable succès obtenu par d’autres personnes, vous ne devriez jamais conjecturer que votre propre situation dĂ©fie toute solution.

La recherche de la solution à un problème physique peut présupposer un certain degré d’essais et d’erreurs. Il importe de s’expliquer qu’un état de santé qui a mis des années à se développer ne disparaît pas du jour au lendemain.

Lorsque vous faites une recherche touchant les herbes mĂ©dicinales et les complĂ©ments alimentaires, cherchez autant d’opinions disponibles de professionnelles que possible. Allez aux sources d’expĂ©riences professionnelles rĂ©ussies (et non pas seulement leurs propres publicitĂ©s) qui nĂ©cessiteraient une enquĂªte plus approfondie.

Un Autre Regard sur la MĂ©decine Moderne

Plus nous étudions, fouillons et faisons des recherches, plus nous en apprenons sur certaines pratiques douteuses de la médecine moderne. Le regretté Dr Robert Mendelsohn a été l’un des premiers à exposer la pratique médicale moderne comme une fausse religion :

« La médecine moderne n’est ni un art ni une science. C’est une religion » [Mendelsohn] a-t-il écrit dans son livre, Confessions of a Medical Heretic Confessions d’un Hérétique Médical, (livres contemporains), « demandez tout simplement pourquoi ? Assez souvent et tôt ou tard, vous atteindrez l’Abîme de la Foi. Votre médecin vous amènera à céder sur le fait que vous n’avez aucun moyen de savoir ou de comprendre toutes les merveilles qu’il a à sa disposition. Faites-moi confiance » (Ce Que les Médecins ne Vous Disent Pas, McTaggart, 1998, p. 7).

Bien que les médecins parlent publiquement avec assurance des prouesses de la médecine moderne, beaucoup expriment en privé des doutes et des désaccords. Il est rare que le public apprenne les véritables dangers auxquels il est exposé.

L’exposé qui suit porte sur l’une de ces rares occasions : « Récemment, une donnée alarmante est apparue au grand jour au sujet des vaccins. Les Centres pour le Contrôle et la Prévention des Maladies à Atlanta, en Géorgie, ont découvert que les enfants qui recevaient la triple injection contre la diphtérie/le tétanos/la coqueluche ou la rougeole/les oreillons/la rubéole étaient trois fois plus susceptibles de souffrir de crises. Néanmoins, cette information a été annoncée à seulement 9 scientifiques et n’a jamais été autrement rendue publique » (Ibid., p.12, c’est nous qui soulignons).

Non seulement les faits ont Ă©tĂ© Ă©clipsĂ©s et prĂ©sentĂ©s de manière peu objective, mais ils ont Ă©galement Ă©tĂ© intentionnellement dĂ©formĂ©s. Après des Ă©tudes approfondies dĂ©montrant la supĂ©rioritĂ© du lait maternel pour les nourrissons au moyen de l’allaitement maternel naturel, la rĂ©ponse prĂ©fĂ©rĂ©e de mĂ©decins a Ă©tĂ© : « L’allaitement maternel naturel est la meilleure mĂ©thode, mais l’allaitement au biberon est tout aussi bon ». Le Dr Mendelsohn a appelĂ© cette logique tordue, un raisonnement « d’Alice au Pays des Merveilles ». Il Ă©tait convaincu de la supĂ©rioritĂ© de l’allaitement maternel et savait que d’autres mĂ©decins l’étaient aussi bien. MalgrĂ© tout, ils ont refusĂ© de reconnaĂ®tre la vĂ©ritĂ© lorsqu’elle contredit leur philosophie mĂ©dicale, laquelle a placĂ© leurs innovations chĂ©tives sur le mĂªme pied d’égalitĂ© que la crĂ©ation de Dieu.

Il y avait un autre domaine oĂ¹ le monde mĂ©dical a refusĂ© de reconnaĂ®tre les rĂ©sultats d’une Ă©tude scientifique. Cette Ă©tude s’est dĂ©roulĂ©e aux Pays-Bas dans les annĂ©es 1990, apportant la preuve irrĂ©futable du lien entre l’utilisation de la « pilule » contraceptive et le cancer du sein. Étant donnĂ© que toutes les associations mĂ©dicales internationales Ă©taient en dĂ©saccord avec les rĂ©sultats de cette Ă©tude approfondie, ils ont simplement rejetĂ© les rĂ©sultats comme Ă©tant peu concluants (Ibid., p. 9).

Ce fut aussi scandaleux que la rĂ©ponse initiale de l’Association Dentaire AmĂ©ricaine sur le danger de l’empoisonnement au mercure dans l’amalgame d’argent-Ă©tain pour les obturations dentaires. Il avait Ă©tĂ© signalĂ© que les amalgames d’argent-Ă©tain ne contenaient pas de mercure. Pourtant, l’amalgame est un alliage du mercure et d’autres mĂ©taux ! Malheureusement, le public est considĂ©rĂ© comme naĂ¯f, crĂ©dule et incapable de comprendre la vĂ©ritĂ©. Un aveu, Ă  contrecÅ“ur, et hĂ©sitante, de l’ADA fut fait plus tard.

D’un autre cĂ´tĂ©, la profession mĂ©dicale moderne a rendu un Ă©norme service Ă  l’humanitĂ©. La dĂ©couverte de la pĂ©nicilline et de la cortisone après la Seconde Guerre mondiale a sauvĂ© des millions de vies. Les problèmes avec la mĂ©decine moderne ne sont pas tant les "charpentiers" que les "outils". Bon nombre de leurs traitements ne fonctionnent tout simplement pas, et n’ont jamais Ă©tĂ© prouvĂ©s comme tels ou mĂªme comme Ă©tant sĂ»rs. Il est aujourd’hui admis que la pĂ©nicilline et la cortisone ont des effets secondaires dĂ©sastreux lorsqu’elles sont utilisĂ©es aussi indiscrètement comme ce fut le cas tout le long des annĂ©es 1950 et dans une moindre mesure depuis ce temps-lĂ . Ce n’est qu’au prix de nombreuses victimes que ces mĂ©dicaments dangereux ont Ă©tĂ© freinĂ©s et utilisĂ©s uniquement comme un dernier moyen de dĂ©fense.

Les déclarations suivantes résument une grande partie la duplicité de la science médicale :

« La science mĂ©dicale est, pour l’essentiel, un triomphe de statistiques sur le bon sens. Lorsqu’ils se heurtent Ă  des vĂ©ritĂ©s dĂ©sagrĂ©ables dans leurs Ă©tudes, les chercheurs en mĂ©decine qui, une fois de plus, supposent toujours qu’un traitement mĂ©dical peut Ăªtre bĂ©nĂ©fique, sont enclins Ă  se montrer sous leur meilleur jour dans l’ensemble de l’exercice, ou Ă  couper et Ă  coller, affiner et modifier, dans le seul but de s’adapter Ă  l’hypothèse ou dans le dessein d’expliquer un rĂ©sultat indĂ©sirable... »

« La plus grande raison pour laquelle la recherche mĂ©dicale est viciĂ©e, c’est que la majoritĂ© de celle-ci est financĂ©e par les sociĂ©tĂ©s mĂªmes qui ne pourront qu’y gagner en profitant de certains rĂ©sultats. Ces compagnies pharmaceutiques paient non seulement les salaires des chercheurs, mais ils peuvent souvent dĂ©cider quand, en effet, si oui ou non, les rĂ©sultats doivent Ăªtre publiĂ©s. Il est important de garder Ă  l’esprit que cette industrie, dans une certaine mesure, a un intĂ©rĂªt direct Ă  voir la perpĂ©tuation de la mauvaise santĂ© : si les compagnies pharmaceutiques trouvaient des remèdes, plutĂ´t que des thĂ©rapies perpĂ©tuelles de "soutien" Ă  l’organisme, elles ne resteraient plus longtemps en affaires. »

« L’exposition constante de la mĂ©decine Ă  l’industrie pharmaceutique, et la dĂ©pendance de la recherche mĂ©dicale future sur ces entreprises ont engendrĂ© un climat dans lequel une grande partie de la mĂ©decine conventionnelle refuse d’envisager d’autres options de traitement en plus des mĂ©dicaments et de la chirurgie, mĂªme lorsque les preuves scientifiques abondantes existent pour appuyer ces options. »

De nombreux médecins conventionnels sont particulièrement injurieux [désapprouvant d’une manière vocalement offensante] dans leur rejet du travail important accompli par des innovateurs, sans se poser la moindre question pour accepter, sans réserve, les nombreuses solutions chirurgicales ou pharmacologiques qui sont un peu plus que de la poudre de perlimpinpin aujourd’hui. Cela a engendré un climat dans lequel les guérisseurs sont polarisés dans des camps « alternatif » et « orthodoxe », plutôt que dans un groupe commun approuvant tout ce qui a une base solide dans la science ou dans la pratique clinique » (Ibid., PP 9, 12-13, c’est nous qui soulignons).

Pour une Meilleure Santé, Agissez

À la lumière de l’inflexibilité médicale moderne, il y a un mouvement croissant qui oblige les individus à s’instruire sur la bonne santé. Il s’agit, dans ce cas-là, de comprendre que la médecine préventive est de la responsabilité de chaque individu. Au fur et à mesure que ce mouvement s’est propagé, de plus en plus d’informations sont devenues accessibles. Une grande partie de cette information était autrefois considérée comme le domaine exclusif de la profession médicale. Toute personne qui cherche à augmenter ses connaissances a, de nos jours, des possibilités jusqu’alors inexistantes.

Il va de soi que la connaissance est en augmentation. Nous pouvons en tirer certains bénéfices. La recherche personnelle (pas uniquement pour la santé) peut vous aider à prendre de meilleures décisions. Acquiescez à l’exhortation de Paul : « Éprouvez toutes choses; tenez ferme ce qui est bon » (I Thess. 5 : 21).

Dans Sa sagesse, Dieu S’attend Ă  ce que nous cherchions la CAUSE et l’EFFET de nos maux et, que nous apprenions des leçons dans le processus. Il y a des moments oĂ¹ nous sommes dans une impasse et l’on ne peut que chercher la dĂ©livrance de Dieu. Mais il y a des choses que nous pouvons et devons faire nous-mĂªmes. Dieu pourrait immĂ©diatement nous guĂ©rir, si c’était Sa volontĂ©. Mais Ă  moins de dĂ©couvrir la cause et de prendre des mesures correctives, le mĂªme problème pourrait se reproduire.

Dieu pourrait un jour vous dire : « Tu as bien fait, bon et fidèle serviteur : tu as Ă©tĂ© fidèle sur peu de chose, Je t’établirai dirigeant sur beaucoup de choses : entre dans la joie de ton seigneur » (Matt. 25 : 21). Dieu observe jusqu’à quel point nous demeurons fidèles au fil du temps, et dans diverses circonstances. L’effort et la lutte pour maintenir une bonne santĂ© favorisent le dĂ©veloppement du CARACTĂˆRE. La façon dont nous pourrons relever ces dĂ©fis et gĂ©rer ces achoppements est importante aux yeux de Dieu !

Pourquoi « Revenir » à des Produits Entiers Naturels ?

Les publicités alimentaires laissent l’impression que l’homme a considérablement amélioré tous les aspects de la création. « Considérez tout simplement les merveilleux médicaments de l’homme », insisteront plusieurs personnes. Mais les innovations chétives de l’homme et les aliments transformés qui, pour la plupart, constituent de la malbouffe ne peuvent pas se comparer aux aliments sains et nutritifs que Dieu a créés.

Il est opportun de réfléchir sur la déclaration suivante extraite de la brochure de Herbert W. Armstrong intitulée Dieu Existe-t-Il ?

« Mais maintenant, nous allons COMPARER la sagesse et l’intelligence de l’homme avec celle de Dieu qui a fait ces merveilles et permet à ces dernières de fonctionner. »

« Le grain de blĂ© que DIEU fait sortir de la terre est un aliment parfait. Mais, Ă  l’instar des autres dons parfaits de Dieu, l’homme ne parvient pas Ă  valoriser la perfection inestimable du Dieu Ă  la Sagesse tout immense, et en s’engageant Ă  vouloir amĂ©liorer l’œuvre de Dieu, il la pervertit, la pollue, et la souille ! Chaque brin de la perfection de Dieu que la main de l’homme a une fois touchĂ©, il semble bien qu’il l’ait souillĂ©, corrompu et polluĂ© ! »

« Et le pauvre grain de blĂ© sans dĂ©fense ne fait pas exception ! Dans les moulins Ă  farine de la conception humaine disparaissent les millions de boisseaux de blĂ© sain. Et lĂ , lâ€™Ăªtre humain censĂ©ment intelligent le dĂ©monte, il supprime les 12 Ă©lĂ©ments minĂ©raux Ă  rĂ©action alcaline, et il produit comme sacs pour la consommation humaine de la farine blanche composĂ©e, essentiellement, de quatre Ă©lĂ©ments rĂ©actifs des acides hydrates de carbone, avec un dĂ©colorant de poison supplĂ©mentaire ! »

« De cela, la population humaine fait du pain blanc, des biscuits, des beignets, des pĂ¢tisseries, les desserts, les macaronis, les spaghettis, les sauces au jus, etc., etc., souvent un mĂ©lange de farine avec le sucre blanc « raffinĂ© », les graisses ou les matières grasses, une combinaison garantie pour dĂ©truire n’importe quel estomac avec le temps ! Ă€ l’évidence, les raffineurs du sucre font la mĂªme chose avec le sucre, et pour ainsi dire, tous les aliments sur le marchĂ© de la consommation humaine de nos jours sont passĂ©s par les usines de l’homme et ont subi ces procĂ©dĂ©s de l’homme jusqu’à ce qu’ils aient Ă©tĂ© dĂ©vitalisĂ©s, dĂ©pourvus de leurs valeurs nutritives, et transformĂ©es de produits alimentaires en poisons Ă  action lente ! Et ces produits alimentaires sans aucune valeur nutritive, lesquels l’homme a altĂ©rĂ©s dans sa soif de profits, occasionnent dans le corps humain un ensemble de maladies que nos ancĂªtres, il y a quelques gĂ©nĂ©rations, n’en avaient jamais entendu parler ! »

« En guise de rĂ©sultat : Aujourd’hui, les Ăªtres humains meurent tous avant leur temps Ă  la suite d’une insuffisance cardiaque, d’autres meurent de cancers, la population souffre de rhumatisme, de l’arthrite, du diabète, des maladies rĂ©nales, de l’anĂ©mie, du rhume, de la fièvre, de la pneumonie et de milliers d’autres pathologies. Nous rĂ©pondons aux petites annonces sur la pĂ¢te dentifrice et la brosse Ă  dents et nous brossons frĂ©nĂ©tiquement nos dents, mais nos dents continuent de se dĂ©labrer et nous les perdons Ă  un Ă¢ge prĂ©coce en raison du manque de calcium et du fluor dans notre rĂ©gime alimentaire. »

« Il semblerait, tout bien pesé, que l’homme n’est pas très intelligent ! »

« Puis, aussi, le Dieu qui a créé la terre et toute la végétation nous a dit de laisser nos terres inexploitées, tous les sept ans. Mais l’homme est trop avide pour faire ainsi. Et, par conséquent, notre terre est épuisée et appauvrie, et ces bons aliments naturels comme les carottes, les betteraves, les navets manquent d’éléments minéraux nécessaires et de vitamines ! Et les compagnies pharmaceutiques s’enrichissent en vendant des pilules vitaminées ! »

« QUELLE EST L’INTELLIGENCE SUPÉRIEURE ? Celle de DIEU qui a pourvu aux besoins parfaits pour tous les Ăªtres vivants ou celui des gourmands, des crĂ©dules, celle des hommes qui, dans le but de faire de plus grands bĂ©nĂ©fices et de vouloir le plus de luxe pour eux-mĂªmes, ont rejetĂ© Dieu, et ont mĂªme SOUSTRAIT aux aliments que Dieu a crĂ©Ă©s et nous a donnĂ©s, toutes leurs valeurs de santĂ© et de construction de l’organisme ?

Vous pouvez lire ce que vous dĂ©sirez :