Je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui voulait vraiment échouer. Tout le monde veut être vu comme un succès et avoir ce succès. Pourtant, la plupart n’ont pas la moindre idée sur la façon d’y parvenir. Même en le voyant, ils ne sont pas sûrs de la façon de le reconnaître—que ce soit chez eux ou chez les autres. L’enseignement présumé “supérieur” ne l’a jamais enseigné. La plupart ne comprennent pas non plus qu’il existe des lois précises et fondamentales qui doivent être employées pour atteindre le succès.
Mais alors qu’est-ce que le succès? Tant de gens le recherchent, sans jamais l’avoir défini. En conséquence, très peu deviennent de vrais succès. Et la plupart ne prennent jamais vraiment le temps de se poser et d’essayer d’analyser les raisons de leur échec. La plupart sont bien sûr capables de reconnaître qu’ils ont échoué—mais ne savent comment l'expliquer ni pourquoi!
Bien que certains pourraient se sentir voués à l'échec, ce n'est pas la réalité. Les hommes et les femmes de tout âge peuvent réussir. Mais ils doivent comprendre et appliquer la bonne formule—et seulement après avoir exactement compris ce qu’ils essaient d’atteindre!
Les supposées idées de ce qu’est le succès
Bon nombre pensent que le succès nécessite d’atteindre un certain niveau de richesse. Leur seule raison d’être est d’accumuler de l’argent et des biens matériels. Comme le dit l'un d'entre eux: “Le but est de voir qui mourra avec le plus de jouets”. On dirait que c’est seulement après avoir atteint une "fortune" significative (et une grande quantité de biens) qu’ils peuvent affirmer avoir “réussi”. Pourtant ces mêmes personnes ne trouvent jamais le vrai bonheur dans “l'argent de l’arc-en-ciel”.
D’autres en viennent à croire que le succès se reflète dans l'étendue de leur pouvoir. Comme si la valeur de leur vie se mesurerait par leur influence sur les personnes, les événements ou encore les questions économiques, gouvernementales ou internationales. Ces gens ont habituellement des personnalités “dominantes”. Pour eux, le succès se reflète dans la masse—ou le nombre—de personnes qu'ils contrôlent. En général, ces gens sont plus malheureux que ceux qui recherchent la fortune. Et souvent ils rendent leur entourage encore plus malheureux qu’ils ne le sont. Ils vivent habituellement avec la peur de perdre leur pouvoir.
D'autres encore espèrent se faire une renommée. Ces gens sont souvent motivés par un besoin d'êtres connus. Plus on a conscience de leur nom, mieux ils se sentent. Ils recherchent à avoir la “reconnaissance du nom”. Bien sûr, tout le monde aimerait au moins profiter de son “quart d'heure de gloire”.
Mais tous ne pensent pas que célébrité égal succès. Et ceux qui sont célèbres représentent probablement la catégorie la plus triste de ces “succès”.
Dans tous les cas, les gens qui semblent avoir réussi ont acquéri un certain statut. Que ce succès soit lié à la fortune, au pouvoir et à l’influence, ou encore à la célébrité, ils ont atteint un certain statut comparativement aux autres. En d'autres termes, le succès implique de s'élever au dessus des autres.
Il est très rare d’être couronnés de succès sans avoir obtenu un ou plusieurs de ces aspects de statut couramment décrits.
Pensez-y un instant! Et soyez honnête. Parmi ceux que vous considérez avoir vraiment réussi, combien de personnes ne correspondent pas à l’une de ces catégories? Je doute que vous en ayez beaucoup, voire aucun.
Des gens à succès?
Que dire des gens dont on pense généralement qu’ils ont réussit dans leurs domaines? Considérons brièvement quelques exemples.
Il y a quelques temps, un grand joueur de baseball était mort. Dès qu’un athlète célèbre meurt, leurs statistiques sont examinées par les journalistes sportifs qui les comparent aux performances d’autres “grands” de ce sport. La majorité des journalistes et des joueurs de baseball pensaient que ce membre du “temple de la renommée” était le meilleur frappeur de tout les temps. A l’âge de 19 ans, il avait déclaré ouvertement: “Je veux être le plus grand frappeur qui n’ait jamais joué.”
Il avait atteint son but. Il avait cependant été marié trois fois et on disait généralement que c'était quelqu'un de très malheureux. Dans la ville de son équipe, les fans ont vécu avec lui une relation partagée entre l’amour et la haine pendant plus de vingt ans. Jusqu’au jour de sa mort, il avait detesté la presse à cause d’un seul article négatif qui avait été écrit sur lui au début de sa carrière. Puis ses enfants s'étaient battus pour avoir sa dépouille—l’un de ses fils voulait le congeler et le cloner en plusieurs grands frappeurs identiques. Avant sa mort prématurée, ce fils espérait “le ramener à la vie”.
Etait-ce un succès? La vie de cet homme reflétait-elle le succès?
Beaucoup de grands athlètes ont atteint leurs records puis la reconnaissance car ils étaient décidés à les obtenir. Mais avec la trentaine, ils ne peuvent en général plus jouer ou concourir au même niveau international de leurs débuts. Au final, leurs records ont toujours été battus par quelqu’un d'un peu plus grand, plus rapide, plus fort, ou meilleur. Très vite, la plupart de leurs exploits en compétition sont oubliés.
La reconnaissance de leurs pairs, des fans et des journalistes sportifs de leurs temps est-elle un gage de succès?
Qu'en est-il des acteurs de cinéma ou des producteurs de musique? Dans quasiment tous les autres domaines, certains arrivent à des niveaux de renommée internationale sans précédent. Bien souvent, ils sont considérés comme des dieux et des déesses. Ils sont choyés, paraîssent constamment dans la presse et les médias, deviennent souvent extrêmement riches, et vont jusqu’à posséder cinq ou six maisons dans plusieurs parties du monde. Mais lorsque beaucoup se sentent déçus après plusieurs mariages, ils se tournent vers l’alcool, la drogue, le sexe et, dans bien des cas, le suicide.
Les vies de ces gens reflètent-elle vraiment le succès?
Prenons les grands capitaines de l’industrie. Beaucoup disposent d'immenses salaires et fortunes, et exercent une grande influence au sein d'entreprises de plusieurs milliards de dollars. Ils vivent leurs vies comme les gens “riches et célèbres”. Et pourtant, une succession quasi-interminable de scandales révèle chaque jour que beaucoup de ces “capitaines” veulent toujours plus d’argent et plus de pouvoir—et qu’ils sont prêts à enfreindre les lois et à se laisser corrompre pour accumuler ce qu'ils recherchent. Au final, ils n’ont aucun principes—et apparemment très peu voire aucun caractère.
Ces succès en sont-ils vraiment?
Qu'en est-il des magnats les plus respectables des grandes entreprises d'il y a à peine 100 ans? Bien après leurs disparations, qui se rappelle de ce qu’ils ont accompli—en supposant qu'on se souvienne encore de leurs noms? Combien de gens aujourd’hui se soucient de la valeur nette de J.P. Morgan? Et d’abord combien savent qui il était? Combien se souviennent de Carnegie, Guggenheim ou Mellon?
Ces hommes avaient-ils vraiment du succès? Qu’est-ce que leur fortune et leur célébrité leur ont apporté? S’ils ne pouvaient pas “l’emporter avec eux”, et qu’ils ont finit par être en grande partie ou complètement oubliés, à quoi cela leur a servi—quel succès permanent ont-ils gagné? Tout ce qu'ils ont "réussi" étaient temporaires—tout au mieux une brève illusion.
Récemment, j’ai lu concernant un multi-millionnaire qui avait proclamé, “Depuis l’âge de mes trois, la seule chose que je voulais c’était faire de l’argent. Je voulais posséder plus de propriétés universitaires dans le monde que quiconque”. Cet homme a finalement reçu une lourde peine de prison pour des affaires de drogues et le gouvernement a saisi tout ce qu’il avait. Au bout du compte, où ses buts l’ont-ils mener? A quoi lui ont-ils servi?
Il y a bien des années, mon père avait vendu l’une de ses entreprises à un homme qui avait été l’un de mes amis d’enfance. Il disait à mon père, “Mon but c’est d’avoir un million de dollars de dette”. Il expliquait ainsi son raisonnement: “si j’ai autant de dette, cela veut dire que j’ai tellement de fer sur le feu que quelque chose va bien en sortir”. Etant donné la nature de l’entreprise de mon père, elle avait atteint son niveau maximum, il l’avait vendu au bon moment. Mon père aimait à me rappeler qu’il avait clairement “aidé ton (mon) ami à aller vers son but”.
C’est un exemple peu commun. Mais il montre à quel point les valeurs et les objectifs des gens peuvent être horriblement chaotiques.
Posez-vous une autre question: Les auteurs et inventeurs célèbres ont-ils vraiment réussi, simplement parce que leurs œuvres leur ont survécu? Si vous répondez oui, êtes-vous sûrs? Sur quoi basez-vous votre réponse?
Etes-vous absolument sûrs que votre définition du succès est la bonne? Si la pérception populaire du succès est exacte, alors pourquoi y-a-t-il autant de misère dans les vies des gens qui ont connu la fortune, le pouvoir et la gloire? Pourquoi changent-ils de compagnons comme on change de chaussures? Pourquoi bon nombre de ces "succès" plongent en silence dans la drogue, l’alcool, le surmenage, la sexualité libérée, le matérialisme, l’évasionisme et la recherche du plaisir? Pourquoi leurs vies sont-elles vides—dénuées de sens?
Pourquoi leurs enfants sont souvent de piètres exemples qui témoignent de leurs vies de famille malheureuses? Pourquoi tant d’interviewés disent que la fortune, le pouvoir et la célébrité n'étaient pas satisfaisant? Pourquoi sont-ils tant à ne pas pouvoir supporter la “réussite”?
Quatre “succès” familiers
Mon meilleur ami d’enfance était issu d'une famille aisée. Lui et moi étaient pratiquement inséparables jusqu’à notre entrée à l’université. Sa mère était considérée comme une grande chanteuse de cabaret avant son mariage. Son père était un brillant docteur. Ils faisaient parti du meilleur country club et dans notre ville d’environ 100.000 habitants, ils étaient la seule famille à posséder une Rolls Royce. J'y suis monté à l'intérieur des centaines de fois. Je n’était qu’un enfant mais je m'y sentais comme un roi. C’étaient des gens très gentils qui vivaient dans une belle résidence, et dans un quartier de même style. Je passais du temps dans leur maison plusieurs fois par semaine, et lui chez nous. Sa famille voyageait beaucoup et jouait au golf dans les meilleurs clubs. Ils s’occupaient de moi à merveille et je garde de très bon souvenirs d’eux.
Il y a quelques années, j'ai eu l'occastion de faire signe à mon ami, après environ 30 années d’absence. Notre longue discussion de "retrouvailles" a fini par aboutir sur ce qu’étaient devenus ses parents. Son père s’était suicidé avec un revolver dans le jardin de la maison suite à une dépression. Peu après, sa mère l'avait imité avec des somnifères. C'était une fin stupéfiante pour les gens qui avaient autrefois occupé une grande place dans ma vie. Après leurs départs, enfants (et petit-enfants) endeuillés se demandaient comment leurs vies de succès—et de générosité—avaient pu se terminer ainsi.
J’avais aussi un autre ami, également issu d’une famille plutôt aisée, dont la mère était alcoolique. Je n’ai que quelques rares souvenirs d’elle en état de sobriété. A chaque fois que je rendais visite à mon ami, elle s’isolait habituellement dans une autre pièce. Naturellement, sa famille “dissimulait” son alcoolisme du mieux qu’ils pouvaient. Mais nous étions tous conscient de sa maladie. De toute mon enfance, je ne me rappelle l’avoir vu sortir de la maison deux fois seulement. Son corps avait fini par s’amaigrir et se dégrader avant de mourir d’une cirrhose du foie. C’était une triste journée pour ses enfants, qui avaient déjà été privés de leur mère quasiment toutes leurs vies.
On nous avait tous dit qu’elle savait exactement ce qu’elle faisait, qu'elle était tout simplement résolu à continuer de boire, peu importe les conséquences. C'était devenu une sorte de “compte-à-rebours” morbide. Ni sa famille, ni sa fortune et ni le country club ne pouvait la rendre heureuse. En ayant choisi de se suicider à petite dose, sa vie s’était soldé par un échec total!
Le troisième exemple est un peu similaire au deuxième. J’avais un autre ami dont la mère était la meilleur amie de ma mère. On nous disait souvent que lui et moi ressemblions à des frères. Son père était aussi un grand docteur et ils faisaient aussi parti du meilleur country club de la ville. Nos mères étaient si proches qu'une fois nous étions partis en vacances ensemble en Floride.
Son père avait aussi de grave problème d’alcool. Je me rappelle qu’il se présentait souvent à notre domicile pour se servir directement dans le meuble-bar, sans même avoir salué mes parents. Mon père se battait constamment pour trouver une solution et l’aider à sortir de l’alcool. Il n’y était jamais parvenu. Dans ses dernières années, il ne vivait pratiquement que d'alcool. A la différence de mon ami, son père était très petit—et je me rappelle avoir vu ce petit bonhomme très diminué mourir d’un cancer au début de la quarantaine. A son départ, ses deux filles ainsi que mon ami étaient effondrés. Malgré sa carrière de docteur exceptionnel, sa vie s’est conclue par un échec lamentable, au milieu d'une famille et d'amis endeuillés.
Encore un dernier exemple qui mérite d'être examiné. Vers les 1963, celui d'un MNS très séduisant que je connaissais plutôt bien et qui avait été enrôlé et envoyé au Vietnam comme pilote (MNS: maître-nageur sauveteur). Très vite on nous apprenait que son avion de chasse avait disparu—et qu’il “manquait à l'appel”. Nous avions tous été choqué par son départ. Seule restait sa belle épouse d'une vingtaine année. Peu de temps après, elle avait eu une affaire avec le père d’un de mes autres amis qui était très riche. Et avait deux fois son âge.
L’épouse de cet homme était aussi l'unes des proches amies de ma mère. Son épouse était une personne formidable et ses yeux étincelants reflétaient la joie de vivre. Un de ses récits que je n’oublierais jamais était celui du célèbre humoriste Jonathan Winters avec qui elle était sorti lorsqu’ils allaient ensemble à l’université. J’avais toujours eu une préférence pour cet humoriste.
Mon ami, ses frères et sœurs et leur mère avaient été complètement anéantis lorsque leur père avait soudainement demandé le divorce pour” s’enfuir” avec cette jeune femme. Du fait de son importance dans la communauté, l'histoire avait pris de l'ampleur.
Cet homme était-il vraiment un exemple de “succès”? Au final, qu’est-ce sa fortune ou son importance ont fait pour lui ou sa famille? Bien que les événements datent de plusieurs années, les conséquences pour ses enfants, petits-enfants, et peut-être même arrière-petits-enfants sont toujours bien réels. Il avait de l’argent, mais le caractère et l’intégrité lui faisaient défaut. A l’évidence il lui était impossible de comprendre ce qui était important dans la vie. Certainement décédé à l’heure actuelle, il n’aura jamais compris ses choix—ou ses motivations.
Mes parents
Comparés aux quatre exemples précédemment décrits, je dois dire que j’avait des parents bien différents. Ils étaient des gens de principes et en avaient plus que toutes les autres personnes que j’ai pu rencontrées. Malgré leurs parcours complétement différents, ils avaient réussi à conjuguer leurs différences, être heureux en mariage et créer plusieurs entreprises florissantes. Ils étaient mariés depuis plus de 48 ans lorsque ma mère est décédée.
Mon père avait grandi dans la plus grande misère. Il avait quelques talents naturels, comme celui de la vente et du commerce, mais il devait travailler très dur pour réussir. Et jamais il ne recevait quoi que ce soit. Ma mère, bien qu'issue d’une famille très aisée, avait aussi un excellent sens moral dans le travail. Elle avait soutenu ses décisions pendant nombre d'années alors qu’il était en déplacement plusieurs nuits par semaine. Et elle trouvait quand même le temps de rendre service aux gens.
Mes parents étaient aimés de pratiquement tous les autres parents que j’ai cités—ainsi que de bon nombre de leurs connaissances—parce qu’ils se préoccupaient réellement des autres. Ils n'étaient pas religieux à cette époque mais ils s’efforçaient activement à ne pas dire de mal de qui que ce soit. Ils étaient un exemple extraordinaire pour tous—y compris moi-même.
Mais c’était leur apprentissage des vérités de la Parole de Dieu—avec la conversion et la pratique du Christianisme—qui faisait que je pouvais dire qu’ils développaient une réelle satisfaction durable qui transcendait tout ce qu’ils avaient connu jusque là. Bien sûr ils décidaient avec fermeté de leur ultime destin, ce qui est la définition même du succès. Nous reviendrons sur cette définition.
Dans l’ensemble, mes parents suivaient beaucoup les septs lois du succès. Ils les suivaient alors qu’ils n’en avaient pas vraiment conscience. Et ils avaient éduqué leur trois enfants pour qu’ils suivent ces mêmes principes. C’est encore un honneur pour moi que d’avoir été leurs fils—même s’ils sont aujourd’hui tous deux disparus et que je ne peux plus leur exprimer cette gratitude.
Jamais vous n'échouerez!
A présent, étudions le succès sous un autre angle.
Pensez au monde dans sa globalité. Tant de séniors sont dépendants de programmes gouvernementaux et de différents types d'aide pour survivre. Beaucoup sont dépendants alors qu’ils devraient être indépendants. En atteignant un âge avancé, ils se sentent inquiets et incertains, car ils n’avaient jamais clairement planifié le cours de leurs vies vers une fin précise. Ils ne s'étaient jamais vraiment décidés à réussir.
Voici pourquoi cela arrive à tant d’entre eux! L’hypothèse générale est que le succès dérive en grande partie de la capacité naturelle d'un individu. C'est comme si “certains l'avaient et d'autres non”. Bon nombre pensent qu’ils n’ont que très peu d’influence sur leur propres échecs et réussites. Ils ont étaient formatés par l’hypothèse courante qu’ils ne peuvent pas faire grand chose pour changer leur niveau de résultat dans la vie.
Est-ce la vérité? Le succès et l’échec sont-ils entièrement liés aux talents qui nous sont donnés à la naissance?
J’ai personnellement engagé beaucoup de personne, et en ai renvoyé quelques unes. J'ai également dirigé pendant cinq ans une entreprise florissante que j’avais hérité de mes parents. (Je l’ai vendu à l’un de mes fils il y a quelques années). Etant donné la petite taille de notre chaîne de distribution, nous recherchions des journaliers en permanence. On voyait en général que seuls quelques uns travaillaient dur par rapport au reste. Au delà d'un certain point, leurs talents ou capacités semblaient avoir peu de liens avec leur échec et réussite. J’ai appris que le succès des gens avait bien plus de liens avec le désir de produire, d’apprendre, de progresser et de réussir que toutes les autres raisons.
Et j'ai découvert que presque tous auraient pu réussir—s’ils avaient connu et appliqué les lois du succès. Je me suis rendu compte que les gens échouent de plein gré, et non de par leurs caractéristiques héréditaires—leurs “génétiques”. J’ai appris que les gens ont beaucoup plus d’influence sur le cours de leurs vies qu’ils ne s'en rendent compte, ou ne veulent bien l’admettre.
Ainsi, la plupart dépérissent tout au long de leurs vies pensant que peu ou rien ne peut être fait pour avoir le succès qu’ils désirent.
Les systèmes d'“enrichissement rapide”
Là encore, la plupart ne comprennent pas que des règles absolues, précises doivent être appliquées sur le chemin menant vers un but précis, établi avec soin. Ils n’essayent même pas de trouver le grand but vers lequel leurs vies devraient aller pour réussir. Et pourtant ces mêmes personnes seraient très impatientes qu’on leur remette de grandes sommes d’argent en échange d’efforts minimum.
Permettez-moi de vous le prouver!
Combien de gens achètent des billets de loto? Ils doivent être des millions. Tous ces gens espèrent “gagner gros” en faisant le simple effort d’acheter un billet à un dollar ou cinquante cents. Ils veulent quelque chose en échange de rien. Combien parmi ces mêmes gens, ou d’autres comme eux, jouent à tous les types de tirage au sort dans l’espoir de “remporter gros”? Les pubs de télévision montrent constamment des gagnants qu’on surprend devant leur porte d’entrée.
Sans oublier les jeux télévisés. Tous ces programmes tournent tous autour de l'espérance que l'on peut repartir chez soi avec des gains, simplement en donnant les meilleurs réponses à un concours d’une demi-heure.
Il n’y a encore pas si longtemps, les marchés boursiers américains connaissaient année après année, des hausses historiques. Les gens commençaient à recevoir de grands bénéfices simplement parce qu'ils confiaient leur argent à des investisseurs. Comme avec tous “booms” économiques, les marchés commençant à se rétracter, les économies d’un grands nombres d’investisseurs ont finalement été rapidement divisées ou anéanties. Un sentiment d’abus et de colère s'est fait sentir chez un très grand nombre de personnes. Pourquoi? Parce que les gens s’étaient habitués à penser qu’ils étaient censés recevoir automatiquement d’importants dividendes annuels, sans aucun effort, hormis celui d’encaisser les chèques, lire les analyses, et d’observer l’augmentation incessante de la valeur de leur investissement!
Il y a aussi de nombreux types de “système pyramidal” où les gens peuvent faire rapidement “beaucoup d’argent”. Les publicitaires les diffusent en continue à la télévision, et en masse sur les fax et les répondeurs téléphoniques dans l’espoir de trouver “preneur”. Il y a quelques jours alors que j’était au bureau, mon répondeur a enregistré un appel que j’ai retranscris ici pour vous présenter un exemple me permettant de “faire rapidement de l'argent”. C'est l'un des nombreux que je reçois:
“Bonjour, c’est [nom]. Dommage que vous ne soyez pas là. En temps normal, je vous aurais envoyé une invitation, mais, du fait du laps de temps, je me suis dit qu’il serait mieux de vous appeler pour vous inviter en personne à une démonstration gratuite du lancement du nouveau produit le plus palplitant. Nous allons présenter ce nouveau produit pour la première fois dans votre région pour ceux qui veulent améliorer le train de vie de leur famille. Il ne s’agit pas d’un système d’enrichissement rapide ou de commercialisation/vente à paliers multiples. Notre entreprise est réelle. A vrai dire, il n’y a rien à acheter lors de nos expositions et aucune pression pour faire/acheter quoique ce soit. Alors venez sans vos chéquiers ou cartes de crédit. En revanche vous recevrez par votre simple présence, un chèque-vacances de trois-jours et deux-nuits pour un séjour parmis vingt grandes destinations. Alors, si vous désirez vraiment générer un salaire à six-chiffres, nous pouvons vous en faire la démonstration en deux heures et demi. Si vous voulez faire parti d’une entreprise de huit-milliards-de-dollar, qui sert quotidiennement ses consommateurs, nous pouvons vous montrer comment démarrer votre entreprise sans aucun apport personnel. La seule question est, êtes-vous suffisamment décidé pour venir à la présentation? Les places sont limitées mais en appelant gratuitement au [n° de téléphone] vous aurez, vous et votre invité, des réservations. Encore désolé de vous avoir manqué et navré pour la longueur de l'appel.”
Cette publicité très mensongère était exactement ce que le vendeur prétendant ne pas être—un système d'enrichissement rapide. Elle tente d'"impliquer" les gens à se renseigner sans leur dire a l’avance ce sur quoi ils se renseigneraient. Il n'y avait aucune explication sur la nature de ce “lancement de produit”. On nous piège psychologiquement en sous-entendant que des gens "bien décidés" seraient là, à condition de ne pas tarder car “le nombre de place est limité”. Le discours “venez sans argent” était censé désarmé le client. Ces tactiques fonctionnent souvent.
Malheureusement, je sais par expérience que beaucoup courent après ce genre d’“occasions”, vers leurs propres souffrance et malheurs. Bien trop souvent, j’ai dû conseillé des gens qui s’était mis dans un marasme financier parce qu’ils pensaient pouvoir recevoir un "repas gratuit"—quelque chose en échange de rien.
Et pour finir, il y a ceux qui courent après ce qu'on pourrait appeler l'ultime système d'enrichissement rapide—voler des banques ou autrui. En d’autres termes, par le crime, ils prennent simplement ce qui n’est pas à eux—pour devenir riche.
Dans un sens, les voleurs ne sont pas si différents de ceux qui essayent les systèmes “classiques” d'enrichissement rapide. Quoiqu’il en soit, tout ces gens lorgnent sur—convoitent—l’argent. Mais leur manque de caractère ne franchit pas le seuil du comportement criminel. Ils courent après les mêmes richesses instantanées, mais choisissent des moyens que la société définie comme licites.
Pas satisfaisant
Soyons clair! Les “gagnants” de ces différents systèmes ne trouvent jamais le vrai bonheur—ne deviennent jamais de vrai succès. Leur argent ne pourrait même pas leur acheter le succès. Ce ne pas une commodité que l’on peut monnayer, il ne peut non plus être remporté par chance ou hasard. Non, le chemin de la facilité ne conduit jamais au vrai bonheur ou succès!
J’ai connu beaucoup de millionnaires et de multi-millionnaires dans ma vie. Y compris des proches, toujours en vie pour certains. Je peux confirmer qu’aucun d’entre eux n’a réussi financièrement par des systèmes. Tous semblaient avoir compris que ces systèmes ne fonctionnent guère ou apportent tout au mieux des richesses qui sont habituellement de courte durée.
Les gens riches que j’ai rencontré pratiquaient inlassablement au moins quatre des six première lois du succès. En théorie, un gagnant du lotto pourrait devenir multi-millionnaire sans avoir à pratiquer ni l'une ou l'autre. Mais je n’en ai jamais rencontré. Encore une fois, ceux que je connaissais pratiquaient toujours au moins plusieurs, et jusqu’à six, des lois du succès.
Mais pas un seul des millionnaires que je connaissais pratiquaient la septième loi!
Tous les millionnaires finissent par mourir. Il n’y a pas d’exception à cette règle, tous meurent (Héb. 9:27)! A chaque fois, la fortune, le pouvoir et la gloire—et même la célébrité des gens les plus connus—meurent avec eux. Bénéficier de ces choses n’a pas non plus été suffisant pour les garder en vie. Même si un petit nombre survit un temps dans les mémoires au delà de leur vivant, eux n’en savent rien depuis la tombe. Et même le souvenir des exploits de leurs vies est de courte durée.
Autres aspects du caractère
Il y a beaucoup d’autres aspects du caractère qui sont généralement associés aux qualités de la vertu. Il n’y a aucun doute que l’on doit être courtois, fidèle, travailleur, honnête, toujours à l'heure, fiable, patient, et sûrement bien plus encore, pour oser espérer avoir du succès dans ce monde. Quasiment tous comprennent la majorité de ces qualités, mais peu—encore moins de jour en jour—en font preuve.
Mais ces qualités sont absolument toutes inférieures à l’énorme importance des septs lois du succès que ce livret vous décrira avec attention. Tout sera clair.
Reconnaître la 1ère loi
D’abord la première loi: établir le but!
Plein de différents types de buts peuvent être établis tout au long de la vie. Tout le monde le comprends. Ces buts peuvent être mineurs—d’autres moyens—et d’autres encore qu’on pourrait considérer être des buts à grande voire très grande échelle. Bien que la définition d’un but soit arbitraire, tous s’accorderaient probablement pour dire que les êtres humains établissent plein de types de buts à différentes échelles.
Beaucoup de gens que je connais se fixent régulièrement eux-même des buts. Et vous vous en fixez probablement, aujourd'hui comme hier. Moi-même je le fais. Uns des buts possibles serait de “faire du jardinage” (mineur) ou d'obtenir un diplôme universitaire (majeur). Peindre la maison, partir en vacances, désirer et obtenir une augmentation, se marier, avoir trois enfants, perdre du poids, acheter une maison, apprendre à jouer d’un instrument, exceller dans un sport, apprendre à donner un discours en public, perdre ou prendre une habitude, lire un livre—et d’autres millier de choses—sont tous des buts d'une certaine échelle.
Tout ces buts ne posent aucun problème. La plupart, ou d’autres exemples similaires, sont très importants pour mener une vie épanouie et productive. Mais le grand but à atteindre ne s’apparente en rien à tous ceux-là.
La plupart se laissent glisser, sans avoir de but dans la vie. Ils n’ont aucune idée de ce qu’est le succès—ou de son lien direct avec la première loi. En réalité, avoir la bonne définition du succès est la première loi. Même si beaucoup se définissent et se fixent des buts à court-terme, pratiquement tout le monde ignore cette première loi essentielle du succès!
Les gens laissent presque toujours les circonstances dicter le cours de leurs vies. Seulement quelques uns prennent le temps de planifier à l’avance ce qu’ils espèrent ou veulent accomplir sur une grande échelle de temps. Et le nombre de ceux qui déterminent à l’avance ce qu’ils veulent avoir accompli avant la fin de leurs vies est certainement encore plus restreint. Même en établissant beaucoup de buts sur le court, moyen et long-terme, y compris sur une durée s’étendant sur de très nombreuses années, voire une vie tout entière, cela n'a de sens que si le but est bien le bon. Car seul le but basé sur une compréhension correcte du vrai succès peut être considéré comme le bon.
Très peu prennent réellement le temps de l’analyse pour savoir si l'existence humaine devrait globalement avoir une grande finalité ou non. Quelques philosophes et “penseurs” ont consacré à ce but beaucoup de temps et de réflexion—mais tous ont échoué quant à la bonne réponse. Là encore, la majorité ne fait aucun des efforts que seul une minorité semblent trouver d’intérêt à “résoudre” ou à apprendre.
Beaucoup d’hommes riches et importants, y compris ceux dont la fortune ou le statut ont entraîné gloire et grande renommée, ont effectivement obtenu leur importance par eux-mêmes, mais celle-ci a tout de même fini par mourir avec eux car il s'agissait du mauvais but.
Alors il faut absolument que le but établi soit le bon si l'on veut devenir un vrai succès!
La 2e loi révélée
Nous sommes à présent prêts pour dévoiler la deuxième loi: l’éducation!
Quasiment tout ce qu'une personne peut faire implique une éducation de base—un certain savoir-faire—pour réussir. Ce n’est pas difficile à comprendre.
Pensez-y un instant. Si votre voiture a une roue crevée, il faut alors un tant soi peu de connaissance pour pouvoir la réparer. Il en va de même pour peindre une maison. Quelques simples connaissances ne suffisent pas pour le faire correctement. Lorsque j’étais à l’université, j'étais chargé de peindre des maisons le temps d'un été. Même avec mes quelques expériences de peintre à l'âge adolescent, je devais reconnaître qu’il me restait beaucoup à apprendre pour maîtriser ce métier. Je suis contant de cette opportunité, car il y avait là un bon revenu et une expérience suffisante pour me permettre plus tard dans la vie de peindre ma propre maison, et de l’apprendre à nos enfants en même temps.
Les pianistes professionnels s’entraînent pendant de nombreuses années, des dizaines de milliers d’heures environ, pour être aussi accomplis. Ils doivent apprendre à jouer du piano. Une éducation supérieure, des connaisssances et beaucoup de cours privés sont nécessaires pour atteindre un tel niveau de compétences avec les touches et pédales du piano.
Devenir un expert aérospatial nécessite une éducation avancée en physique, chimie, astronomie et encore d'autres aspects scientifiques dont l'aérodynamique. Une vaste quantité de connaissances complexes sont absolument nécessaires pour réussir dans ce domaine. Ce que quasiment tout le monde comprend.
Essayez de penser à—nouer des lacets, faire voler un cerf-volant, conduire une voiture, construire une maison, cuisiner un repas, écrire un rapport universitaire—une seule chose qui ne demande pas au moins un certain savoir-faire, voire peut-être une grande quantité de connaissance.
Mais quel animal doit apprendre à faire ce qu’il fait? Les animaux fonctionnent avec l’instinct dès l'instant où ils sortent du ventre. A travers l’instinct, Dieu a simplement programmé tout ce dont ils ont besoin pour fonctionner correctement dans leur environnement.
A sa naissance, un chaton sait instinctivement où trouver le lait de sa mère et que faire ensuite. Il n’a pas besoin qu’on lui apprenne cette connaissance de base. Ceci est vrai pour toutes les autres espèces de mammifères. Ils naissent avec une certaine connaissance instinctive qui leur suffit à survivre dans leur environnement.
Je ne dit pas qu’il soit impossible d’apprendre aux animaux quelques numéros. En les dressant patiemment, éléphants, chiens, chevaux et divers autres animaux peuvent aussi être commandés pour jouer. Mais cela est très différent de la capacité à concevoir, imaginer, planifier, raisonner et penser de façon directe dans un but ou toute autre chose.
D’un autre côté, les humains sont capables d’acquérir des connaissances, de prendre des décisions, d’utiliser la volonté et de développer un caractère moral et spirituel. Les gens ne connaissent pas instinctivement tout le nécessaire pour réussir à mener leur vie. Ils doivent constamment acquérir plus de savoir tout au long de leurs vies pour faire face à de nouveaux défis et exigences imposés. Ceci est la plus grande différence entre les hommes et les animaux.
Les êtres humains doivent s'instruire—appronfondir leurs connaissances—pour faire ou réussir quoi que ce soit de valable dans la vie. Ils doivent apprendre tout au long de la vie, assimilant constamment plus de connaissance. Ce qui en soi est une connaissance fondamentale.
Dans de nombreux domaines d’étude, la quantité de savoir a tellement progressé que les gens doivent maintenant suivrent une éducation très spécialisée afin d’atteindre leurs buts. Ils doivent apprendre—et être qualifié dans—le métier de leur choix. Cette compréhension de base semble être insaisissable pour un grand nombre.
Grâce aux recherches et aux vastes quantités d’informations accumulées par les hommes, il est désormais possible d’étudier la chimie, la biologie, la géologie, l’astronomie, l’ingénierie, l’histoire, la médecine et beaucoup d’autres domaines à des niveaux de pointe. Les collèges et universités du monde entier les enseignent, et demandent aux étudiants de les réviser, leur permettant ainsi de s’instruire dans le métier de leur choix.
Mais attention: Pour qu’une éducation soit bien réussie avec les bonnes morales et les bons principes, il faut apprendre à vivre—pas simplement gagner sa vie. Il y a une différence majeure! Pour être suffisamment préparé à devenir un vrai succès, il faut recevoir une éducation harmonieuse et apprendre la morale, les lois et principes spirituelles—et la grande loi des causes et des effets—tous ces points sont extrêmement importants.
Si une éducation et un savoir minimum sont nécessaires pour comprendre les moyens de réussir une tâche physique ou un métier quel qu’il soit, alors quelle peut-être l’importance de recevoir une éducation des grandes valeurs spirituelles de la vie?
Personne ne penserait de leur éducation qu’elle est achevée sans une certaine connaissance en littérature, musique, art et histoire. Alors pourquoi tant de gens pensent que leur éducation est achevée en en ayant appris très peu ou aucun du plus important des savoirs, le savoir-vivre? Pourquoi tant de gens pensent qu'il suffit simplement de gagner sa vie? Pourquoi tant de gens négligent l’importance de ressaisir les vraies valeurs? Pourquoi si peu cherche à savoir s’il la vie humaine à une finalité?
S’il y avait une meilleure compréhension de ces questions sans réponses, il y aurait plus de gens heureux au milieu de ce monde misérable, malade, troublé, perdu, déchiré par les guerres et frappé par la pauvreté. (Lisez notre livret Ce que la science ne découvrira jamais sur votre esprit.)
L’ignorance de ces vraies valeurs de la vie a conduit l’homme dans cet état décadent et dégénéré. La pseudo-éducation moderne a mis de côté le juste savoir. L’éducation de ce monde est criblée de ces fausses valeurs et faux principes ainsi que de doctrines de “sans absolues” et de “situationnisme”. Les collèges et universités dévient des millions de gens qui n’ont aucun sens moral pour les diriger face aux nombreuses prises de décisions nécessaires. Ce sont des navires sans gouvernails!
Une bonne éducation est la deuxième grande étape pour devenir un vrai succès!
La 3e loi—une loi nécessaire
Nous sommes maintenant prêts pour la troisième loi nécessaire et vitale: UNE BONNE SANTÉ!
Votre corps se compose de matière physique. Il est composé d’éléments chimiques proportionnellement disposés les uns par rapport aux autres. Dans la Bible, la Genèse affirme: “L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant.” (2:7)
Vous êtes fait de poussières. La poussière est faite de matière physique. Impossible d’échapper au fait que vous devez manger des aliments, boire de l’eau et respirer de l’air pour continuer votre existence. Sans l’une de ces substances physiques, même pour une courte période, vous mourrez. Vous en dépendez complètement pour votre survie.
Pendant de nombreuses années, mes parents détenaient un magasin alimentaire de produits naturels. Avec le temps, c’est devenu une chaine de plusieurs magasins. Le plus grand d’entre eux proposait 8000 produits différents. Nous avons été élevés avec la compréhension de base des régimes et de l’alimentation. J’en suis grandement reconnaissant. C’est l’une des raisons expliquant la bénédiction de mon énergie extraordinaire. Le savoir rudimentaire permettant d’atteindre et de se maintenir en grande forme fait défaut à tant de gens. On dirait qu’ils pensent qu'“un aliment est un aliment” et “quelle différence y-a-t-il si l’on mange de telle ou telle façon?”
La plupart n’ont aucun sens de l’équilibre alimentaire qui peut soit être sain soit MALSAIN! La plupart se remplissent avec des aliments gras et lourds. Et de beaucoup d’autres types d’aliments que l’on pourrait qualifier de “bombes à sucre”, ainsi que de vastes quantités de “boisons gazeuses” qui s'accompagnent d’une hydratation insuffisante. Beaucoup n’ont pas idée que, tout comme l’huile pour le moteur, l’eau rafraîchit, nettoie, lubrifie et améliore la condition générale du corps. Il n’ont pas idée de la quantité d’eau significative qu’il faut boire, allant bien au delà des quelques gorgées prises lorsqu’ils ont soif.
C’est bien connu, les fruits nettoient le corps, les légumes le construisent, les grains l’entretiennent, et les herbes aident à guérir le corps humain. Beaucoup de docteurs le savent. Ainsi que les entreprises pharmaceutiques, qui produisent beaucoup de médicaments à partir de plantes.
Pourtant, peu de parents enseignent à leurs enfants—et c’est une partie importante de l’éducation—que pour réussir dans la vie, il faut rester SAIN!
Personne n’aime être malade. Personne n'aime ressentir un manque d’énergie. Les maladies et une faible santé ne facilitent pas la vie. Au contraire, elles nous privent (et pourraient nous supprimer entièrement) la capacité de connaître le vrai succès. Si l’on a bien établi son but et reçu une éducation correcte, mais que l’on souffre d’une mauvaise santé et d’un manque de connaissance pour se soigner, le vrai succès devient alors un rêve pratiquement impossible.
Le monde ignore le fait que Dieu a décrit dans Sa Parole (Lévitique 11 et Deutéronome 14) plein d’espèces animalières sur terre, des créatures dans les mers et des oiseaux de proie qui sont des charognards—et qui ne doivent pas être mangés. Il est vital de comprendre cette connaissance révélée si l’on veut profiter d’une bonne santé. Seule la Bible révèle ces créatures impures à la consummation, en tant que telles.
La plupart des gens mange des aliments dévitalisés qui ont été dépourvus de la plupart des minéraux importants et nécessaires pour une bonne santé. Dans mon enfance, je me souviens en particulier d’un pain auquel on avait retiré plus de 20 minéraux distincts, afin de le rendre blanc et pur en apparence, avec huit “ajoutés” pour qu’on puisse le classifier comme “enrichi”. Ensuite, ce même fabriquant de pain avait annoncé que quatre substances nutritives de plus avait été “ajoutés”, ce qui signifie qu’il était “enrichi” de 12 manières. Puis ils avaient annoncé un dernier passage à 16. La majorité était dupe et ne reconnaissait pas que les grains originaux reinsérés dans le pain avaient été détériorés de deux façons: (1) Certains des grains d’origine ne se sont jamais retrouvés dans le pain et (2) ceux réinsérés n’avaient plus la précision, l’équilibre et la construction que le Créateur avait initialement prévu à la conception des grains de départ.
Des millions mangent quotidiennement ce qui pourrait seulement être décrit comme des “aliments sans aliments”. Ils mangent des céréales au petit déjeuner qui sont remplis de sucre et de produits de substitution qui n’apportent rien de plus que des calories vides et inutiles.
Avec l’invention de la télévision et beaucoup d’autres appareils facilitant le travail, la plupart de ceux qui vivent dans le monde moderne ne font plus assez d’exercices. Beaucoup se sédentarisent—ils “végètent” assis devant leur télévision ou écran d’ordinateur, mangeant des chips, des sucreries, des snacks et encore d’autres de ces types d'aliments malsains. Dans les “civilisations” occidentales, ce mélange mortel transforme la majorité des gens en personnes obèses et mal-nourries—et dévitalisées d’énergie.
J’ai passé la grande partie de ma vie à m’entraîner et à pratiquer des sports vigoureux. Dès l’âge de cinq ans, j’ai commencé une carrière de nageur professionnel s’étalant sur 14 années avec 7.000 miles (11.270 km) d’entraînement vigoureux dans l’eau. Il y avait des moments où je pensais que je ne faisais rien d'autre que passer mon temps dans les piscines. Bien que j’atteignais les buts que je m’étais fixé, j’en faisais trop, et j'ai dû ralentir pour une approche plus modérée de l’exercise. Je devais apprendre l’équilibre en ce qui concerne l’activité physique.
Les êtres humains vont aux extrêmes. Soit ils font trop d’exercice, soit pas assez—ou pas du tout. A présent, je marche plus de deux miles (3 km) par jour avec ma femme, qui elle-même marche plus de trois miles (5 km) chaque jour. Je veux avoir une santé vigoureuse, et je l’ai. Je sais ce pour quoi je suis né—je comprends le grand dessein de la vie. Et cela m’inspire et m'encourage à prendre soin de ma santé pour que je puisse l’accomplir.
J’ai parfois souffert de blessures et de problèmes de santé ayant pour cause des fautes d’inattention. C’est frustrant de rester au lit ou d’utiliser une cane ou des béquilles pour marcher. Cela diminue notre efficacité—cela limite notre capacité et productivité. Je n’ai jamais aimé être malade. Vous non plus.
Même si des leçons peuvent être tirées des infirmités et maladies, ceci n’est pas un état natural pour le corps. Ce n’était pas l’intention de Dieu que les gens tombent malades. Mais lorsqu’ils enfreignent la loi des causes et des effets, c’est le résultat inévitable. Dans l’ensemble, les gens choisissent de tomber malades. Les infirmités et maladies ne sont pas des prédateurs qui frappent aléatoirement aux portes de certaines personnes et qui ignorent les autres. En générale, elles sont la conséquence d'une négligence des principes de bonne santé.
Laissez-moi vous dire qu’un des principes de bonne santé est d’éviter les accidents autant que possible. Soyez raisonnablement attentif et réfléchi sur ce que vous faîtes et la façon de les faire. Dans certaines circonstances, bien réfléchir aux précautions pour éviter les blessures peut faire disparaître beaucoup de douleur et d'angoisse inutile.
Même une étude sommaire des gens de ce monde ayant la fortune et le "succès" révèlent que la plus part d’entre eux bénéficient d’une santé quelque peu meilleure que la moyenne. Ils ont habituellement un meilleur sens en alimentation, exercice et repos approprié. En général, ils semblent comprendre que leurs corps est une ressource. Comme toute ressource non-renouvellable, ils peuvent en faire usage!
Vous pouvez y échapper, si vous obéissez à la troisième loi du succès—être en santé!
La 4e loi—la plus vitale
Une bonne santé est un tremplin pour appliquer la quatrième loi: le dépassement de soi!
J’en ai connu beaucoup qui appliquaient les trois premières lois du succès, mais sans jamais progressé vers la quatrième loi vitale et importante. Ils semblaient vraiment comprendre le succès, le besoin d’avoir une bonne éducation, et l’importance de jouir d’une bonne santé. Mais jamais ils ne se dépassaient dans leur but. Jamais ils n'utilisaient leur éducation, leur santé, leur notion du succès avec l’ingrédient vital qu'est le dépassement de soi pour atteindre ce qu’ils recherchaient.
La plupart des gens dépensent leur énergie comme s’ils cherchaient à voir jusqu’à quel point ils peuvent avancer sans trop se dépenser. C’est comme s’ils cherchaient à ne faire que le strict minimum, tout en espérant réussir. Il n'y a que les plus doués et les plus chanceux qui puissent réussir de façon permanente en négligeant le dépassement de soi. On n'insistera jamais assez sur ce point.
Je ne suis pas une personne matinale de nature. J’ai dû l’apprendre—m'ENTRAINER—à me lever le matin. Durant la majeur partie de ma dernière année du secondaire, je nageais un mile tous les matins. C’était seulement l’un des trois exercices quotidiens que je faisais, avant et après d’aller en classe. J’avais mon but et je me dépassais pour l’atteindre. Je savais que je n’avais pas autant de capacité naturelle qu’un grand athlète, mais j’étais déterminé, en m’entraînant à penser de cette façon, à me dépasser pour travailler plus dur que tous mes autres opposants. En conséquence, j'arrivais à battre beaucoup d’athlètes meilleurs que moi.
Développer cette pratique très tôt dans la vie m'a appris que physiquement je pouvais accomplir beaucoup plus que ce que je ne pensais être capable, à condition de commencer avec une bonne santé—et ensuite de me dépasser. J’ai même appris une sorte de dépendance à la douleur et à la fatigue lorsque je m’entraînais en natation et autres sports. Je n’ai jamais oublié la leçon suivante: je pouvais en faire bien plus que je ne le pensais a priori, seulement si j’étais prêt à me dépasser dans les “derniers km”.
Les récompenses étaient palpitantes—même exaltantes—et je ne voulais pas abandonner cette sensation de réussite!
Le Sage Roi Salomon a dit un jour, “Un désir accompli est doux à l'âme” (Prov. 13:19). Tout le monde apprécie de finir des tâches importantes. C’est une satisfaction vraiment—“douce pour l’âme”. Mais cela ne peut se faire sans avoir reconnu et appliqué la quatrième loi extrêmement importante—le dépassement de soi!
La 5e loi—une loi critique
Nous sommes à présent prêts pour comprendre la cinquième loi: l'ingéniosité!
La compréhension des lois du succès ne serait pas parfaite si on omettait d’admettre que les choses peuvent mal tourner, ou peuvent être plus dures ou plus complexes qu’initialement prévues. En fait, très peu de choses sont aussi simples qu’elles n’en ont l’air.
Il faut souvent se poser et bien réfléchir sur la meilleure manière d'aborder les obstacles et barrières inattendus qui apparaissent sur le chemin du succès. La vie en présente un si grand nombre que les gens de sagesse s’entraîne sans arrêt à “prévoir l’imprévisible”.
Bien qu’il soit important d'anticiper les barrages inattendus dans la quête de la réussite, cette importance n'est rien en comparaison à l’ingéniosité qui est démontrée pour les surmonter. Quelque soit l’obstacle se présentant à travers votre chemin, il faut y faire face et le résoudre. Ceci demande de la détermination et de la volonté pour bien réfléchir aux différentes alternatives—aux multiples solutions possibles—qui peuvent être utilisées pour pouvoir avancer vers votre but.
Si la vie était facile, et le chemin toujours bien pavé, tout le monde pourrait réussir en employant seulement les quatre premières lois du succès. Mais la vie n’est pas ainsi faite. Pour réussir, il faut constamment être ingénieux face aux problèmes imprévus, difficultés, pièges, et l'adversité.
Il faut particulièrement s’entraîner à rester calme lors de crises. La panique n’abouti à rien, à part paniquer les autres autour de vous et perdre du temps. J’ai appris il y a très longtemps que les tracas, les inquiétudes et la panique n’éliminait jamais l’obstacle que je rencontrais. Rien ne changeait ou bien ne s’améliorait. Cette réaction ne faisait que me ralentir, causant ainsi la perte d’un temps précieux qui aurait pu être utilisé pour avancer vers l’obstacle suivant, si seulement j'avais fait preuve d’ingéniosité tout de suite après avoir repérer les problèmes me faisant face.
Mon oncle Frank, le petit frère de ma mère, est l’un des hommes les plus habiles que j’ai jamais rencontré. En trente ans de poste comme responsable de l’Encyclopédie Britannica, leurs meilleurs pubs étaient de sa composition, et son leadership démultipliait les ventes, se chiffrant en millions de dollars. Il est aussi un fin stratège et un historien accompli sur Lincoln, Custer et la Guerre Civile. C’est un homme de grand succès qui possède une grande imagination. Dans ma jeune enfance, je cherchais déjà à l’imiter.
C’était un mélange de toutes ces précédentes qualités qui autrefois lui permettait de me dire: “David, tu dois toujours mieux réfléchir que tes opposants.” La première fois qu’il me l’avait dit, je n’avais pas vraiment saisi l’importance de ce principe. Avec le temps, j’ai commencé à me rendre compte qu’il était quasiment de la plus grande importance. J'ai fini par me rendre compte que la plupart des gens ne le font pas—et n’y ont jamais été enseignés.
Les opposants ne sont pas toujours des gens. Tous les problèmes, les difficultés, les résistances, les barrières et barrages que vous rencontrez sont, d’une manière, des opposants. Soyez déterminé à réfléchir au delà! Prenez les individuellement les yeux dans les yeux et dîtes, “C'est toi ou moi mon ami—et ça ne sera pas moi!” Entraînez-vous y et meilleur vous serez. Ça deviendra plus naturel. Vous verrez que vous finirez par être très à l’aise, vous apprécierez le défi de vaincre les ennemis qui veulent vous vaincre. Le “frisson de la victoire” remplacera petit à petit l’“agonie de la défaite” qui consume tant de gens qui ignorent qu’ils doivent faire appel au calme, à une raison méticuleuse afin de vaincre les problèmes.
N’oubliez jamais: Pour devenir un vrai succès, faites preuve d’ingéniosité!
La 6e loi—une loi négligée
Même l'application de la cinquième loi ne sera pas suffisant pour s’assurer de la victoire—du vrai succès—à moins d’appliquer constamment la sixième loi: la persévérance!
En pratiquant la cinquième loi de façon habituelle, automatiquement on se retrouve pratiquement sur le point de pratiquer la sixième loi du succès.
Une fois de plus, la vie n’est pas facile. Le Christ enseignait ceci: “Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là.” Mais étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent. (Matt. 7:13-14)
Le Christ comprenait que seuls quelques uns paieraient le prix pour devenir Chrétien. Il savait que la plupart trouverait le vrai chemin de Chrétien trop difficile, bien trop contraire au chemin facile que pratiquement tout le monde choisit dans la vie. Au lieu de se concentrer sur la récompense, ils se retiraient du prix, pensant qu’il serait trop important par rapport à ce qu’ils pourraient “obtenir” du vrai Christianisme.
Apprécier la douce sensation du succès a un prix. Malheureusement, la plupart refusent de le payer. Comme lorsqu’on choisit d’acheter telle montre en particulier, avant de décider qu’elle est trop chère—alors que c’est particulièrement celle-ci que l’on a choisie et que l'on désire—la plupart se contenteront simplement d'une montre moins cher. Ils ne sont pas disposés à épargner pour l’achat, car ils ne veulent pas “payer le prix”. Ils acceptent quelque chose de moins valable alors qu'ils n'y étaient pas obligés.
Réussir demande de s'en tenir au but. Cela demande de la persévérance, aussi appelé ne-pas-lâcher-prise. Durant la Seconde Guerre Mondiale, Winston Churchill avait poussé la Grande-Bretagne à ne “jamais, jamais, jamais abandonner”. Avec l’aide des autres forces alliées, ils ont continué jusqu’à la victoire contre Hitler et les puissances de l’Axe—changeant complétement le cours de l’histoire. J'ai souvent pensé que l'influence de l'incitation à l'action de ce grand homme d'état, expliquant que les Britanniques iraient se battre (je paraphrase) "dans les airs, sur terres, dans les villes, et sur les plages", était l'un des plus remarquables exemples de persévérance et de constance de courage inépuisable que j'avais jamais vu. C’est potentiellement toute une génération qui s’est soulevée et a survécu avec les mots de cet homme seul!
Etant enfant, jamais on ne me permettait d’être un “lâcheur”. Bien que mon père me laissait habituellement le choix avec certains sports, hobbies et activités scolaires, jamais il ne me permettait d’abandonner une fois le choix fixé. C’était hors de question—impensable pour lui.
En conséquence, l’idée de laisser tomber ou d’abandonner est l’une des pensées qui me répugnent le plus. Je suis énormément reconnaissant d’avoir été forcé (car je n’aurais pas naturellement choisi cette voie) par mon père, et des circonstances qui se sont suivies plus tard dans ma vie, pour pratiquer la perseverance face à l'adversité.
En cas d’épreuve ou d’opposition, si l’on est ingénieux une, deux ou trois fois, avant d'abandonner—de lâcher—alors l’ingéniosité n’était pas suffisante pour s’assurer du succès. Ne-pas-lâcher-prise était alors ce qui a fait défaut et qu’il aurait fallu.
Très peu semblent comprendre qu’ils doivent insister encore—et encore—ET ENCORE! Si vous pouvez vous entraîner à peindre une maison, enfourcher un vélo ou jouer du piano, vous pouvez vous entraîner à penser—et vivre—de cette manière. N'acceptez pas de vous contentez ou de croire en moins!
Après la mort de Herbert W. Armstrong, les chefs qui l’ont remplacé ont détourner l’Eglise de Dieu de la vérité, détruisant essentiellement l’église visible. Tout ceux qui croyaient à toute ou presque toute la vérité ont fuit cette église. Au moment d’établir l’Eglise de Dieu Restaurée, nous avons rencontré de nombreux barrages et barrières, et d’intense persécution—et de grandes oppositions partout où nous allions. Comme c'est toujours le cas avec de telles circonstances, certains sont devenus défaitistes et pessimistes et ont lâché. Ils ont abandonné—et jeter l'éponge!
Poursuivre, sous la supervision constante du Christ, n’a jamais été facile. Mais, comme il s’agit de l’Eglise de Dieu—et comme nous n’avons jamais abandonné—non seulement nous survivons, mais nous prospérons et diffusons aussi l’évangile du Royaume de Dieu partout dans le monde. Malgré les énormes oppositions dont nous avons souffert dans les tous premiers jours de notre existence, cet Œuvre du Christ réussit d’une manière que personne n’aurait cru possible. Si c’est l’Œuvre du Christ, et s’avère rester son Œuvre, nous devons suivre Ses Paroles: “Mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé” (Matt. 24:13; 10:22) C’est ce que nous sommes déterminés à faire. Et dans tous les objectifs de la vie, vous devez en faire de même.
Entraînez-vous à être repoussé par la seule idée d’abandonner. Entraînez-vous à avoir honte et à être embarrassé à cette simple pensée. Dîtes-vous que quelques soient les options qui se présentent à vous, abandonner n’en est pas une, du moment que vous avez bien établi le but. Une fois les cinq premières lois du succès appliquées, la dernière idée qu’il ne faut surtout pas laisser grimper dans votre esprit est celle de négliger la sixième loi vitale, ce qui demande de continuer patiemment vers votre objectif.
Tenez-vous en incessamment, en continue, de façon persistante et infaillible à votre but! N’abandonnez jamais! Ne devenez jamais un dégonflé! Ne jetez jamais l’éponge! Faire preuve de PERSÉVÉRANCE jusqu’à la fin!
La 7e loi—une loi capitale et rejetée
Nous sommes arrivés à la septième et la plus grande des septs lois du succès: Dieu est en contact, il guide et aide en continu!
Les six premières lois ayant été apprises et mises en pratique, il vous reste encore une très grande marche pour pouvoir espérer atteindre un vrai succès durable. Bien qu'un grand nombre, avec beaucoup d’effort, et l’utilisation de la raison humaine, ont pu discerné les six premières lois du succès, ils n’ont jamais su trouver la septième loi oubliée.
Quelques hommes, que l’on compte grands parmi les “grands” de ce monde, ont pu apprendre et mettre en pratique les six premières lois. Ils sont devenus des succès au regard de leurs pairs et de la société. Mais cela n’a pas fait d’eux un vrai succès! Ils se sont arrêtés devant une énorme marche avant l’objectif final. S’ils avaient eu cette importante clé, ça ne serait pas arrivé. La finalité de leurs vies auraient été complètement différents!
Le point culminant
Arrivé ici, une importante explication doit vous être donnée pour établir dans votre raisonnement l’énorme pierre finale qu’est la septième loi. En réalité, même si j’ai choisi d’en parler en dernier, il s’agit en fait de la première loi du succès, par ordre d’importance. Allons-y.
Dans la vie, rien de grande valeur ne peut se produire sans Dieu. Toute croissance spirituelle, développement et progrès est bloqué sans cette loi fermement ancrée dans notre esprit. Donc, c’est vraiment le point de départ pour une réelle croissance sur le chemin du vrai succès. Mais je l’ai mentionné en dernier, car il s’agit de la loi suprême et dominante que l’humanité ne peut elle-même découvrir. Dieu doit la révéler.
Comme expliqué, les hommes peuvent mettre en pratique les autres lois, après qu’elles soient systématiquement distinguées l’une après l’autre. Même si très peu l’ont fait en raison de la difficulté, cela est possible. Aucune des six premières lois ne constituent un savoir spirituellement révélé. La septième loi—être en contact avec Dieu—est un savoir révélé. Personne ne peut le discerner sans l’aide de Dieu!
La grande septième loi est celle dont les gens se désintéressent le plus. Pourquoi? Parce que la plupart des gens veulent vivre selon leurs propres termes. Ils désirent bien sûr le succès, la célébrité, la fortune—et toutes les “bonnes choses” de la vie—mais pas si cela implique d’obéir à Dieu. Pourtant, l’esprit et le corps humain ont été conçus par ce Créateur tout-puissant et omniscient. Il sait mieux comment les faire fonctionner. Dieu seul peut révéler les nombreux principes, valeurs, lois, et clés du savoir et de la compréhension qui découlent d’un contact constant avec Lui au quotidien. (Pour mieux comprendre les lois de Dieu, lisez notre livre Les dix commandements – « cloués à la croix » ou requis pour le salut?)
Dieu en dernier recourt
Des millions affirment rechercher Dieu. Mais en réalité, ce n’est pas le cas. Ils affirment avoir Dieu dans leurs vies—ou être religieux. Mais en réalité, ils ne le sont pas!
Dans leur quotidien, la majorité ne recherche jamais réellement Dieu—ne l'appelent jamais réellement à l’aide—à moins qu’ils soient dans d’extrêmes difficultés. Dans ces moments, Dieu devient soudainement très important. Là les gens ont vraiment besoin de Son aide. Lorsque tout va bien, ils ne veulent pas qu’Il “mette son nez dans leurs affaires”. Ils le veulent hors de leurs chemins pour pouvoir diriger leurs propres routes, rechercher leurs propres buts et définitions du succès.
Toutefois, en cas de grave difficultés financières, de problèmes de santé, lorsque leur mariage semble brisé, ou après la mort d’un enfant ou d’autres bien aimés, Dieu devient plus important. Le problème est que Dieu est le dernier recours—au lieu du premier, comme Il devrait l’être. Les gens vivent comme si “Essayons Dieu une fois que tout le reste a échoué.” Malheureusement, ceci se produit après que les gens l’aient rejeté, déshonoré, et Lui ait généralement désobéi pratiquement durant toutes leur vies. Bien qu’il vaut mieux tard que jamais, ce n’est pas assez bien. C’est pourquoi la septième loi du succès est en réalité la première des lois qu'on doit appliquer.
Maintenant vous comprenez ce que je disais plus tôt.
Un grand choix
La vie comporte beaucoup de choix, majeurs pour certains. A travers Moïse, Dieu a présenté l’ancienne nation d’Israël avec un choix ultime de vie. Remarque: “J'en prends aujourd'hui à témoin contre vous le ciel et la terre: j'ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité” (Deut. 30:19)
Ceci a été écrit il y a environ 3.500 ans. Et pourtant rien n’a changé. Vous et moi faisons face aux mêmes choix. Avec Jésus Christ ayant payé la peine capitale pour les péchés (Rom. 6:23), Dieu propose aujourd’hui aux gens la vie éternelle—s’ils Le recherchent et Lui obéissent.
Ce n’est pas le but et la portée de ce livret d’expliquer les nombreuses écritures qui décrivent le chemin vers le vrai salut de la Bible. Cela n’a jamais été d’“aller au paradis”. Cette croyance n’est rien de moins qu’une superstition païenne—une fiction créé par des hommes séduits détournés de Dieu. Pour ceux qui “choisissent la vie”, Dieu a promis quelque chose de bien plus grand qu’une existence paresseuse qui consisterait à “se balader dans les cieux toute la journée“.
Mais les gens doivent vouloir la recherche de Dieu. Vous êtes né avec le pouvoir de libre arbitre. Vous avez le droit—et le pouvoir—de choisir la MORT. Vous avez aussi le droit de choisir la VIE. Réfléchissez bien à ce que vous faîtes—les directions que vous prenez. Car personne ne peut devenir un vrai succès s'il enfreint la première loi, qui définit correctement le succès, ou la septième loi, qui est de rechercher Dieu sur le chemin du vrai succès!
Dieu a inspiré Jérémie pour écrire: “Car mon peuple a commis un double péché: Ils m'ont abandonné, moi qui suis une source d'eau vive, Pour se creuser des citernes, des citernes crevassées, Qui ne retiennent pas l'eau.” (Jér. 2:13)
Prenez un moment pour réfléchir à ce verset. Choisissez de ne pas “oublier” Dieu, car vous êtes aussi décidé à ne pas boire dans un verre qui “ne contient pas d’eau”. Les pseudo-croyances païennes, enseignées par les églises de ce monde, sont des “verres qui fuient”—des “citernes fissurées”. Elles ne marchent pas—et mènent à l’échec!
Le riche, célèbre, et puissant Roi Salomon
Les études ont montrés, depuis plusieurs années, que presque 20% des PDG des grandes entreprises étudiaient les livres des Proverbes. Salomon, que Dieu décrit être l’homme le plus sage ayant jamais vécu, a écrit ce livre dans la Bible, ainsi que le livre de l’Ecclésiaste. Dans ce dernier, il décrit ses nombreuses activités physiques dans sa poursuite de la satisfaction et du bonheur ultime.
Voici un long passage décrivant ce qu’il a dit. Ceci est extrait de la traduction Moffatt: "Allons! je t'éprouverai par la joie, et tu goûteras le bonheur...Je résolus en mon cœur de livrer ma chair au vin, tandis que mon cœur me conduirait avec sagesse, et de m'attacher à la folie jusqu'à ce que je visse ce qu'il est bon pour les fils de l'homme de faire...J'exécutai de grands ouvrages: je me bâtis des maisons; je me plantai des vignes; je me fis des jardins et des vergers, et j'y plantai des arbres à fruit de toute espèce; je me créai des étangs, pour arroser la forêt où croissaient les arbres. J'achetai des serviteurs et des servantes, et j'eus leurs enfants nés dans la maison; je possédai des troupeaux de bœufs et de brebis, plus que tous ceux qui étaient avant moi dans Jérusalem. Je m'amassai de l'argent et de l'or, et les richesses des rois et des provinces. Je me procurai des chanteurs et des chanteuses, et les délices des fils de l'homme, des femmes en grand nombre. Je devins grand, plus grand que tous ceux qui étaient avant moi dans Jérusalem...Je n'ai refusé à mon cœur aucune joie; car mon cœur prenait plaisir à tout mon travail, et c'est la part qui m'en est revenue...Puis, j'ai considéré tous les ouvrages que mes mains avaient faits, et la peine que j'avais prise à les exécuter; et voici, tout est vanité et poursuite du vent, et il n'y a aucun avantage à tirer de ce qu'on fait sous le soleil.” (Ecc. 2:1, 3-11).
Très peu ont fait autant d’expérience, dans leur ultime poursuite du plaisir, tel que Salomon. Prenez un moment pour réfléchir à l’étendue de ce qu’il dit avoir fait. Mais parmi toutes ces choses, même réunies toutes ensemble, Salomon n’a rien trouvé de définitevement satisfaisant. Il restait toujours en vain—et sur sa fin. Au fil du temps, il cessa d’appliquer la septième loi du succès (1 Rois 11:4).
Pratiquement personne n’apprend ou applique la septième loi du succès. Ceci explique pourquoi la plupart des gens ne connaissent jamais le grand bonheur, la satisfaction et la paix souhaitable. Tant de monde se refuse contre leur gré l’accomplissement de ces choses, parce qu'ils ne “choisissent jamais la vie”. Ils ne choisissent jamais de rechercher le Dieu qui peut les mener à la vie éternelle. N’apprenant jamais la raison de leur existence.
Pas surprenant qu’autant de gens abandonnent la vie et choisissent le suicide. J’en ai connu plusieurs exemples, et c’était toujours parce qu’ils avaient perdu l’espoir de pouvoir vivre un avenir ayant un sens. Ils ont perdu pied et abandonné ce qui aurait pu être un vrai succès, si seulement ils avaient bien voulu apprendre et continuer sur le bon chemin.
Esaïe expliquait comment combler les vaines existences des humains détournés de Dieu: "Vous tous qui avez soif, venez aux eaux, Même celui qui n'a pas d'argent! Venez, achetez et mangez, Venez, achetez du vin et du lait, sans argent, sans rien payer! Pourquoi pesez-vous de l'argent pour ce qui ne nourrit pas? Pourquoi travaillez-vous pour ce qui ne rassasie pas? Écoutez-moi donc, et vous mangerez ce qui est bon, Et votre âme se délectera de mets succulents.” (És. 55:1-2)
La plupart des gens n’ont absolument aucune idée de ce pourquoi ils sont nés. Ils ne savent même pas s’il y a une fin à la vie humaine. Pourtant la Bible est littéralement remplie d’écritures représentant et renforçant l’importance de la construction du caractère spirituel. J’ai écrit de nombreux livrets expliquant combien il est vital pour les vrais Chrétiens de se forger un caractère tout au long de leur vie. Vous pouvez les lire.
Vous êtes né pour remplir un grand dessein. Aucune université ou collège ne peut vous l’enseigner. C’est un savoir révélé, que seuls quelques uns comprennent. Dieu est peut-être en train de vous révéler ce savoir, afin que vous puissiez compter parmi eux. Demandez à Dieu la sagesse et Il vous la donnera: "Si quelqu'un d'entre vous manque de sagesse, qu'il la demande à Dieu, qui donne à tous simplement et sans reproche, et elle lui sera donnée.” (Jac. 1:5)
Acceptez ce verset. VOUS pouvez demander à ce même Dieu de vous donner un peu de la même sagesse qu’Il a donné à Salomon. Il vous répondra si vous le chercher réellement!
Dans ce livret j’aurais pu détailler l’importance de développer l'amour, la joie, la paix, la longue-anime, la gentillesse, la bonté, etc (Gal. 5:22-23). J’aurais aussi pu détaillé l'humilité, la pitié, la compassion et d'autres. Mais je serais alors sorti du but annoncé.
Ce n’est pas le but ici d’expliquer en détail pourquoi la parole de Dieu instruit autant sur le sujet de la construction du caractère. Mais il est critique de reconnaître que personne ne peut vraiment être un vrai succès spirituel dans la vie sans développer les nombreuses caractéristiques et qualités décrites du début à la fin de la Bible.
Là encore, la plupart des gens n’ont pas le moindre soupçon, la moindre idée ou indice de ce pourquoi ils sont nés. Ils ne savent même pas s’il y a une raison—un but—pour leur existence. Seule la Bible le révèle. (Notre livre: Le formidable potentiel de l’homme explique le grand dessein de Dieu pour l’homme.)
L’intention de Dieu est que tous les êtres humains deviennent un succès. Il déclare à travers l’apôtre Paul qu’Il “veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité” (1 Tim. 2:4). Et à travers l’apôtre Pierre, Il ajoute que “ne voulant pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance. (2 Pi. 3:9)
Dans la grande idée générale, atteindre le salut c'est réussir un niveau de vrai succès final allant bien au delà de tout ce qui est possible dans cette vie. Bien que la grande partie des Chrétiens de professions serait probablement d’accord avec cette déclaration, ce n’est venu à l’esprit de pratiquement aucun d’entres eux que le plus grand Auteur du succès—DIEU!—pourrait révéler comment devenir un vrai succcès!
Voilà ce que les riches, célèbres, puissants et grands de ce monde—qui ont soi-disant du “succès”—n’ont jamais reconnu!
Mais très ironiquement, la plupart des gens ignorent et rejettent les instructions du Dieu même qu’ils professent servir—et dont ils espèrent recevoir le succès éternel—le salut! Pourtant, dans une autre ironie du sort, il se formerait probablement des files d’attentes par millions de ces mêmes gens s’ils pouvaient acheter une formule privée leur garantissant un succès sans effort.
Maintenant que vous connaissez la formule—les lois du succès—qu’allez-vous en faire?
Ce qui fonctionne!
Avant que M. Armstrong ne termine son livret Les Sept Lois du Succès, il était brièvement revenu sur un bref résumé des sept lois qu’il venait d’expliquer. Sur la remarque suivante vers sa conclusion, il parlait de la cinquième loi juste après le sous-titre “ÇA RAPPORTE!” Voici ce qu’il avait écrit:
“Les gens qui essayent de vivre leurs vies sans le CHRIST vivant oublient le bien le plus valable et pratique qu’ils pourraient avoir”. Comme on dit de nos jours, ‘Ça rapporte!’ Bien sûr, nous devons étendre nos propres efforts. Nous devons vraiment réfléchir. Nous utilisons toutes nos propres ressources et ingéniosité naturelle. Mais nous avons cette sécurité supplémentaire d’une direction divine. Souvent Dieu se contente de trouver des solutions aux circonstances. Il nous donne tout simplement ‘l'apaisement’! ÇA MARCHE!
“Pour finir, observez la loi du succès numéro SIX. Persévérance—Ne-pas-lâcher-prise—l’endurance—Ne jamais lâcher ou abandonner.
“Le manuel d’instruction du Concepteur semblent en être rempli. Jésus dans sa parabole du semeur et de la graine montrait les quatre catégories. Tous avaient entendu le message de Dieu. Une chance avait été donnée à tous. Trois catégories ont été abandonnées. Une n’a jamais vraiment commencé. Deux ont commencé avec joie et de grande floraison, mais ont laissé les anciens amis, les soucis matériels de la vie, les plaisirs, les étouffer, et les décourager. L’autre catégorie de dégonflés n’avait simplement pas la profondeur de force de caractère en eux pour tenir quoique ce soit. Ils étaient juste naturellement dégonflés. Même de ceux qui ont continué, et enduré, certains étaient plus diligents, plus ingénieux, mieux préparés, plus soucieux de leur santé, et ont donc développés de plus grands exploits que les autres. A eux appartiendront les plus grandes récompenses!
“Jésus Christ avait clairement dit: ‘Mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé.’ (Matt. 24:13).
“Oui, ces sept lois sont le chemin, pas seulement du succès commercial et économique—elles sont les lois qui mènent vers des vies abondantes, riches, remplies d’intérêt, gratifiantes et, au final, vers la vie éternelle et la gloire dans le Royaume de Dieu.”
“Elles vous apprennent à choisir le bon objectif. Elles vous apprennent à vous efforcer, de vous présenter devant votre Créateur comme un homme éprouvé. Elles vous apprennent à acquérir du savoir, une éducation droite et correcte—la préparation pour le succès. Elles vous apprennent à surveiller votre santé. Elles enseignent l'assiduité—le dépassement de soi—le dévouement, l’application permanente. Elles enseignent l’ingéniosité, et vous offre une aide divine dans son application—et elles enseignent à s’y tenir jusqu’a la fin!
“Quelle vie heureuse celle que Dieu nous offre! Quelle bénédiction—quel joie! Quelle sécurité, cette vie d’une foi vivante implicite—la dépendance du Créateur—Dieu!
“Je sais! Je bénéficie de cette vie depuis plus de cinquante-sept ans! C’est une vie active—mais intéressante, prospère, heureuse, abondamment gratifiante! Et de regarder constamment vers l’objectif ultime—une éternité dans le Royaume de Dieu!
“Je veux partager cette vie avec vous! Vous aussi pouvez en bénéficier!”