Le roi David a écrit : « Les oeuvres de ses mains sont fidélité et justice ; toutes ses ordonnances [commandements] sont véritables, affermies pour l’éternité, », (Ps 111 :7-8). Christ en tant que le Dieu de l’Ancien Testament (I Cor 10 :4), a aussi dit, « … je suis l’Eternel, je ne change pas », (Mal 3 :6).
Parce que le Christ parlait à un Juif (dans Matthieu 19), Il devait préciser de quels commandements Il parlait. En citant quelques-uns des dix commandements, il confirmait qu’Il parlait des commandements de Dieu, et non de ceux du Sanhédrin (la cour suprême juive).
Pour préciser davantage, Il a mentionné les commandements suivants : « Tu ne tueras point ; tu ne commettras point d’adultère ; tu ne déroberas point ; tu ne diras point de faux témoignage ; honore ton père et ta mère ; (19 :19) et : tu aimeras ton prochain comme toi-même ».
Christ voulait affirmer à son interlocuteur l’importance d’aimer son prochain, (Matth 19 :22). Le refus du jeune homme riche d’utiliser sa richesse pour aider les autres prouve qu’il avait besoin d’une leçon en ce qui concerne ces principes.
On devrait aussi souligner les commandements que Christ n’a pas mentionnés : « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face…Tu ne te feras pas d’images taillées…Tu ne prendras pas le nom de l’Éternel en vain…Souviens-toi du jour de repos pour le sanctifier…Tu ne convoiteras pas… », (Ex 20 : 3-8,17).
Est-ce que parce que Christ n’a pas mentionné directement ces commandements, nous pouvons leur désobéir ? Par exemple, est-il acceptable d’adorer d’autres dieux ? De jurer, de profaner le Sabbat ou de convoiter ? La réponse est non, bien entendu !
Lisez Jacques 2 :10 : « Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous ». Christ a inspiré Jacques d’écrire que chaque point de la Loi est crucial. Christ n’a pas eu besoin de nommer tous les commandements parce que si quelqu’un contrevient à un seul, il est coupable de contrevenir à TOUS.