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Où se trouve l’Église de Dieu aujourd'hui ?
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Il existe une seule organisation qui enseigne l’entière vérité de la Bible et qui est appelée à vivre de “toute parole de Dieu.” Savez-vous comment la trouver ? Christ a dit qu’elle :

  • enseignerait tout ce qu’Il a ordonné
  • appelerait les membres mis à part par la vérité pour sortir du monde
  • serait un petit troupeau
A propos de l’auteur
Photo of David C. PackDavid C. Pack 

Fondateur et Pasteur Général de l’Église de Dieu Restaurée, Rédacteur en Chef du magazine The Real Truth et voix du programme télévisuel The World to Come, David C. Pack a atteint plusieurs millions de personnes dans le monde entier en proclamant les puissantes vérités de la Bible inconnues par la plupart des gens. Il est l’auteur de 80 livres et livrets, et a personnellement établi plus de 50 congrégations. Il est également apparu en tant qu’invité sur The History Channel. M. Pack a fréquenté l’Ambassador Collège à Pasadena, en Californie. Il est entré au ministère de l’Église de Dieu Universelle en 1971 et a été personnellement formé par son fondateur, Herbert W. Armstrong.

La réécriture des ouvrages de M. Armstrong

Une perspective personnelle

par David C. Pack

De même que l’Élie de Malachie 4:5-6 et de Matthieu 17:11, Herbert W. Armstrong a été utilisé par Dieu pour rétablir des centaines de vérités dans Son Église, au 20e siècle. Plusieurs livres, brochures, articles (tirés à part) et circulaires avaient été nécessaires afin de les contenir toutes. D’autres écrivains avaient aussi été utilisés pour aider à consigner d’autres vérités. Les lois fédérales américaines interdisent toute reproduction de ce matériel sous sa forme originale. L’Église de Dieu restaurée est en train de réécrire toutes ces vérités. Cet article explique l’histoire personnelle qui se cache derrière ma résolution à réaliser ce projet – et pourquoi je considère cette énorme tâche comme une bénédiction et chance, plutôt qu’une obligation et un lourd fardeau ! Les gens qui sont appelés à la Vérité aujourd’hui, auront bientôt accès à toutes ces mêmes vraies doctrines qui avaient été enseignées sous la conduite de M. Armstrong.

En tant que l’Élie des temps de la fin de Malachie 4:5-6 et de Matthieu 17:11, Dieu utilisa M. Armstrong pour restaurer des centaines de vérités dans Son Église, au 20e siècle. Il a fallu plusieurs livres, brochures, articles (connus en tant que tirés à part) et de lettres circulaires pour les contenir toutes. D’autres écrivains avaient été utilisés pour aider à l’enregistrement d’autres vérités. Les lois fédérales interdisent la reproduction de ce matériel dans sa forme originale. L’Église Restaurée de Dieu a donc entrepris de réécrire toutes ces vérités, tout aussi rapidement que professionnellement. Bientôt, les gens — qui sont maintenant appelés dans la Vérité — auront accès à toutes les doctrines divines, tout comme nous y avions tous accès sous la direction de M. Armstrong. Je considère cette énorme tâche comme une bénédiction et une perspective spéciale, et non comme un fardeau et une obligation !

Cet article est personnel — et pourtant, à la fin, vous y serez concerné, et ce de manière directe !

Souvent j’ai pensé que j’avais eu une vie privilégiée. Le seul fait de vivre en Amérique suffit à établir la justesse de cette déclaration. De plus, d’avoir été appelé dans la Vérité il y a trente-cinq ans et d’avoir fréquenté le Collège Ambassador (alors qu’elle était sur la voie) renforce davantage cette vérité. La vaste expérience que j’ai acquise a enrichi ma vie encore plus. Je suis béni d’avoir pu voyager à travers le monde, d’avoir une épouse merveilleuse et trois enfants en santé — et maintenant des petits-enfants —, et le fait de rencontrer des gens remarquables tient aussi une grande place dans cette expérience. Ma longue liste des bénédictions serait interminable. Je suppose que vous pourriez tous, pour la plupart, créer votre propre liste de privilèges, de bénédictions, et de toutes sortes d’expériences enrichies lesquelles ont façonné et défini votre vie.

Cet article décrira un autre type privilège, différent de ceux que j’ai eus précédemment dans ma vie. Je vous expliquerai cela plus loin.

D’abord, voyons une partie du passé qui est similaire à celui que nous avons eu, la plupart d’entre nous. Jadis, l’Église Universelle de Dieu produisit un Cours de Bible par correspondance de 43 Leçons. Celui-ci fut plus tard remplacé par un autre Cours de 22 Leçons, lequel fut à son tour remplacé par un autre de quelques 12 Leçons. Les écrits du Cours original de 43 leçons contenaient plus de réponses aux questions fondamentales; ils étaient suivi d’un Examen plutôt facile, à la fin de chaque série de quatre Leçons, avant que l’étudiant ne poursuive avec les quatre Leçons suivantes. M. Armstrong connaissait bien la grande importance de prendre le temps d’écrire physiquement les vérités doctrinales de Dieu sous une forme séquentielle et logique, ainsi que l’exigeait le Cours de Bible par correspondance ! La plupart d’entre nous n’oublieront jamais cette exercice, et plusieurs parmi vous possèdent probablement encore leurs réponses, écrites manuellement, de ces premières Leçons. Je n’oublierai certainement jamais l’expérience de toutes ces écritures ! Le seul fait de vous lire mes mots va sans doute vous évoquer une foule de souvenirs. C’est précisément ce que je tente de faire — faire renaître ces souvenirs !

Il y a t trois autres moments, dans ma vie, où j’ai été amené à m’appliquer à un exercice intensif similaire à celui d’écrire l’ancien Cours de Bible par correspondance des années 50 et 60.

Laissez-vous vous décrire brièvement la deuxième fois où j’ai dû faire quelque chose de semblable. À la fin de 1985, juste avant la mort de M. Armstrong, je fus rétrogradé par son successeur, qui n’appréciait guère la relation que j’avais avec M. Armstrong — chose qu’il m’avait déjà dite ouvertement. Je fus envoyé à la ville de New York et placé sous la charge d’hommes qui avaient reçu la directive de me confier très peu de responsabilités. Et c’est précisément ce qui m’arriva, pendant quatre ans et trois mois. De pasteur que j’étais, pour plus de 1 000 Frères (peu avant mon transfert), et ce dans une superbe région du pays, on me rétrograda à un niveau de responsabilités qui ne dépassaient pas, à certains moments, celles d’un simple diacre (le but ici n’est pas de dénigrer la fonction de diacre, mais seulement d’expliquer mon inexorable réduction quant aux responsabilité) — et ce, alors qu’il me fallait servir dans des quartiers comptant parmi les plus dangereux au monde !

Je me rendis soudainement compte que j’avais beaucoup de moments libre. Tel un prisonnier dans une cellule, je devais combler ce temps, et c’est alors que je pris la décision que, pour accomplir une telle chose, il n’existait qu’un seul moyen qui fut avantageux ! J’avais donc décidé de commencer par organiser et copier toutes les passages bibliques d’importance, sur tous les sujets relatifs à la croissance du chrétien — et de les écrire à la main, en caractères d’imprimerie, tout au long du projet.

Je me choisissais un sujet, comme la paix, le bonheur, la sagesse, la patience, etc., puis je scrutais la Bible pour y dénicher toutes les Écritures relatives au sujet. Ensuite, je faisais imprimer un grand nombre (50-100 ou plus) des meilleurs passages bibliques touchant chacun de ceux-ci, jusqu’à ce que j’aie épuisé chaque sujet. Finalement, j’avais ainsi enregistré des milliers d’Écritures. Après avoir continué ainsi durant deux ans, j’ai été transféré, comme j’allais compléter cette tâche.

Aujourd’hui, je chéri ces nombreuses heures et ces années passées à faire cela. Je possède encore tous ces passages bibliques, que je révise à l’occasion. Cela m’aide à me rappeler cette très humiliante période dans mon ministère, alors que les circonstances m’avaient forcé à agir ainsi. Souvent je réfléchis aux nombreux avantages que m’a apportés cet exercice — et à cette longue et rude épreuve dans ma vie !

Le temps me manquerais pour vous décrire ici toutes les merveilleuses leçons qui ont jailli de ces recherches scripturaires, au cours de cette période de ma vie. (Vous pourriez, peut-être vous aussi, citer des leçons analogues tirées du temps où vous avez dû écrire l’ancien Cours de Bible par correspondance.) En m’inspirant à entreprendre ce projet, Dieu changea en bénédiction ce qui, au départ, aurait pu sembler être une malédiction ! Je n’ai jamais douté que c’est Dieu qui a inspiré ce processus.

Il ne m’était jamais venu à l’esprit, à l’époque, que cet exercice allait constamment me servir, pour les années à venir. Il m’arrive encore, de temps en temps, de lire ces Écritures à haute voix, devant Dieu, quand je prie — à partir du même calepin dans lequel je les avais écrites initialement. L’âge et l’usure ont fait que certaines pages sont en lambeaux et que certains onglets tombent en morceaux. J’ai dû le rafistoler plusieurs fois, comme vous avez peut-être fait relié votre vieille Bible préférée, parce que vous n’osiez pas tout recommencer et tout réécrire dans une Bible nouvelle. Jamais je ne cesserai de réviser ces Écritures — ou de me souvenir l’époque qu’elles représentent !

Le troisième projet similaire à celui-là que j’avais entrepris en est un avec lequel la plupart d’entre vous sont familiers. Il ne diffère que légèrement des deux autres fois. Il n’est pas nécessaire de consacrer autant de temps pour le décrire. Il s’agit de la période de sept années durant laquelle j’ai collationné sept versions différentes (les trois premières n’ont jamais été imprimées, et donc jamais paru) du livre intitulé, There Came a Falling Away (disponible en anglais seulement), et deux versions du livre intitulé, Except The Lord Build The House. Même si ces livres n’ont jamais vraiment été rédigés à la main, leur préparation a nécessité une approche exhaustive des doctrines — comme personne d’autre, ni moi, ni aucun autre, n’avait jamais tenté auparavant. Inutile de dire que les recherches et les leçons relatives à ce projet me sont d’un intérêt incommensurable, aujourd’hui — et pour vous également, je l’espère ! Scruter un nombre incalculable d’articles contenant les doctrines divines, afin de rassembler les milliers de citations contenues dans ces ouvrages, fut un parcours extraordinaire. Ces citations devaient ensuite être contrastées aux fausses doctrines réinventées que les apostats avaient introduites dans l’Église. Essayez d’imaginer le temps que la préparation de ces éditions a représentée dans ma vie. Il m’arrive encore, aujourd’hui, de travailler sur la prochaine impression de There Came A Falling Away.

Avant que je vous parle de la quatrième fois où j’avais entrepris un travail semblable, on doit d’abord aller dans Deutéronome 17:14-20. Il est d’abord préférable de lire attentivement ces versets avant de parler de la raison pour laquelle ils sont inclus:

14: « Lorsque tu seras entré dans le pays que l’Éternel, ton Dieu, te donne, lorsque tu le posséderas, que tu y auras établi ta demeure, et que tu diras: Je veux mettre un roi sur moi, comme toutes les nations qui m’entourent…

15: « tu mettras sur toi un roi que choisira l’Éternel, ton Dieu…

16: « Mais qu’il n’ait pas un grand nombre de chevaux…

17: « Qu’il n’ait pas un grand nombre de femmes, afin que son coeur ne se détourne point; et qu’il ne fasse pas de grands amas d’argent et d’or…

18: « Quand il s’assiéra sur le trône de son royaume, il écrira pour lui, dans un livre, une copie de cette loi, qu’il prendra auprès des sacrificateurs, les Lévites…

19: « Il devra l’avoir avec lui et y lire tous les jours de sa vie, afin qu’il apprenne à craindre l’Éternel, son Dieu, à observer et à mettre en pratique toutes les paroles de cette loi et toutes ces ordonnances…

20: « afin que son cœur ne s’élève point au-dessus de ses frères, et qu’il ne se détourne de ces commandements ni à droite ni à gauche; afin qu’il prolonge ses jours dans son royaume, lui et ses enfants, au milieu d’Israël. »

Il s’agit là d’un fascinant passage de l’Ancien Testament. Songez à tout ce que cette tâche devait représenter pour les rois d’Israël et de Juda. Tout le monde était au courant de l’ordonnance de leur tâche, et tous les rois d’Israël et de Juda étaient contraint de s’y soumettre. Il devait y avoir un temps mis à part, alors que chaque roi devait reproduire, de sa propre main, les cinq Livres de la Loi (de la Genèse au Deutéronome). La reproduction d’une seule copie devait représenter une tâche colossale, considérant que les stylos à billes n’avaient pas encore été inventés ! La qualité du papier était également plus limitée qu’aujourd’hui. On ne peut qu’imaginer le temps qu’il fallut à chaque roi pour exécuter sa tâche. Par moments, son « secrétaire » dû certainement arranger ou réarranger l’horaire des rendez-vous autour de cette charge. Je suis sûr que les gens devait parfois attendre que le roi termine la partie particulière sur laquelle il devait s’affairer quotidiennement, etc., avant qu’ils pussent le voir. Comme lorsqu’une personne attend dans la salle d’attente d’un médecin, ou pour toute autre rendez-vous, on informait probablement les gens de ce que le roi était en train de faire, en leur disant qu’il leur faudrait attendre pour pouvoir le voir. Vous voyez le tableau !

Après avoir fini d’écrire la Loi, le roi se devait ensuite de la lire régulièrement ! Mon exercice que j’ai décrit précédemment, durant mes années passées à New York, m’avait aidé à mieux comprendre combien cette copie, écrite à la main, allait servir le roi pour le restant de sa vie.

En plus d’avoir comme but d’apprendre au roi à avoir une plus profonde crainte de Dieu (v. 19), faire cela avait comme objectif de l’humilier (v. 20) ! Après tout, cela n’était imputée qu’au roi ! Tous les autres rois autour d’Israël devaient savoir que cette tâche était exécutée et qu’aucun de leurs « dieux » n’exigeait une pareille chose de leur part. Je le répète, cela dût certainement être très humiliant pour un roi israélite, surtout qu’il voyait bien que tous les autres rois des alentours savaient pertinemment qu’il lui fallait accomplir ce travail — tandis qu’eux, ils n’avaient pas à le faire. Parfois, cela dut aussi lui paraître être un fardeau. Mais, en fin de compte, Dieu savait que faire cela servirait plusieurs grands desseins des rois qui se conformeraient à cette directive.

Voyons maintenant cette exercice à partir d’une perspective différente mais relative. Plusieurs d’entre vous savent que, le 18 septembre 2000, la neuvième cour d’assises de la Californie jugea que comme une violation des droits d’auteurs — et par conséquent contraire aux lois fédérales — la reproduction exacte, par écrit, des vérités divines telles que M. Armstrong les avait écrites. Même si je m’attendais à cette conclusion (pour diverses raisons), ce fut une nouvelle très pénible à entendre — et, personnellement, plus difficile encore à accepter. Je souhaitais vivement que le jugement penche de l’autre côté — chose que je me suis répété souvent ensuite, après l’annonce du jugement rendu à deux contre un, en faveur de l’Église Universelle de Dieu, en pensant à ce jugement qui devint décisif suite à l’opinion d’un seul homme. Mes émotions ont traversé toutes sortes de sensations. Je me disais que si seulement UN HOMME en avait décidé autrement, je n’aurais pas à réécrire toutes les vérités divines que M. Armstrong avait enregistrées ! Le choc et le poids de cette tâche ont pris plusieurs semaines avant de s’installer dans mon esprit. Laissez-moi rapidement ajouter que ce sentiment est depuis longtemps disparu de mon esprit. Le restant de cet article en expliquera la raison.

Parlons de la raison pour laquelle Dieu a permis que cela se produise. Assurément, si « le cœur du roi est un courant d’eau dans la main de l’Éternel; [et qu’] Il l’incline partout où il veut » (Prov. 21:1), alors Dieu aurait pu changer l’issue pour qu’elle prenne la tournure que nous espérions tous et pour laquelle nous avons prié. Il n’était certes pas dans Ses intentions qu’il en soit ainsi. Je suis convaincu qu’il y a de nombreuses raison qui l’on amené à guider l’issue de manière à ce qu’elle soit ce qu’elle a été.

Premièrement, il nous aurait été beaucoup trop facile de tout simplement copier les écrits de M. Armstrong. Comme vous le savent certains d’entre vous, ce processus était déjà en cours et aurait facilement pu être continué.

Deuxièmement, plusieurs personnes, qui sont affiliées aux autres groupes verront que nous sommes disposés à faire, tandis que leur groupe ne l’est pas.

Troisièmement, forcément, la Vérité doit maintenant être exprimée avec un style fort différent de celui avec lequel elle avait été écrite jadis. Nous n’avons pas le choix. Bien que la qualité de mon écriture n’est pas du niveau de celle de M. Armstrong, elle donne néanmoins un « autre aperçu » de ces mêmes vérités — aidant ainsi à les « affiner » un peu plus dans l’esprit des gens qui les relisent.

Quatrièmement, de nombreux Frères, qui désormais ne sont plus en mesure de relire les exemplaires originales, pourraient être inspirés en réexaminant ces vérités, dans de nouvelles brochures. Ils ne pourraient plus les écarter, en disant: « Je sais ce qu’elle renferme: je les ai déjà lues. »

Cinquièmement, la réécriture de toutes les vérités servira de « balise » à ceux qui ont à cœur de connaître l’endroit où l’on enseigne toujours toute la Vérité. Il sera évident qu’aucun autre groupe n’aura eu la motivation d’entreprendre le projet.

Sixièmement, la reconnaissance que nous devions réécrire toutes les vérités divines, parce qu’elles nous avaient été enlevées et « mises sous clef » dans un « placard à copyrights », devrait gratifier la précieuse Vérité de Dieu d’un intérêt plus réel. D’autres raisons pourraient être données. Pour le moment, je mettrai l’accent sur une septième raison, laquelle ne s’applique peut-être qu’à moi.

Rien que la mécanique physique de réécrire plusieurs centaines, voire même des milliers de pages de livres, de brochures et d’articles, constitue en soi son propre défi. Chaque projet présente ses propres obstacles. Le simple fait de choisir l’exactitude des mots, afin de mieux refléter l’enseignement de M. Armstrong, comme le proverbial « frapper sur la tête » — tout en ayant l’interdiction d’utiliser sa merveilleuse formulation concise — représente une tâche quasiment indescriptible !

Le processus par lequel il me faut passer pour réaliser cela vaut plus pour moi que tout l’or de Fort Knox et du temple de Salomon, combiné ! J’espère que vous comprenez la profonde sincérité de cette dernière déclaration. Presque chaque jour, je tire mon inspiration et mon énergie de la connaissance doctrinale au fur et à mesure que Dieu m’aide à entreprendre chaque brochure nouvelle. Je le répète, il est difficile pour moi de choisir les mots justes, même ici dans cet article, afin de décrire pourquoi je considère cela comme étant pour moi l’un des plus grands privilèges (sinon le plus grand) de toute ma vie. Cela est très loin d’être un fardeau pour moi. Surtout, n’allez jamais croire que ça l’est !

De même que les rois d’Israël furent humiliés par la charge de devoir copier la Loi, je trouve aussi cette tâche humiliante. Il n’est pas facile d’expliquer exactement pourquoi cela est vrai, mais vous pouvez me croire quand je vous dis que ça l’est. Étudier et réétudier les vérités contenues dans les brochures de M. Armstrong, pour ensuite les récrire, les corriger, et lire et relire mes nouvelles versions pour chacune d’elles, renforce incommensurablement ma propre connaissance des doctrines divines. Laissez-moi vous redire que je me sens béni et privilégié — et humilié — de le faire !

Parlons maintenant de vous ! Pour la plupart d’entre vous, il faudra plus ou moins de 30 à 60 minutes pour lire chacune de ces brochures. Si notre personnel peut consacrer de nombreuses heures à faire des recherches, à écrire, corriger, formater et imprimer ces brochures, pour finalement vous les envoyer par la poste, vous, Frères, vous pourrez certainement prendre le temps de les lire attentivement — tout comme vous l’aviez fait au début, quand avez connu la Vérité. L’intérêt sera pour vous tout aussi incommensurable. (Note du rédacteur: En guise de courtoisie pour les nouveaux membres de l’ÉRD, toutes les brochures et tous les articles (tirés à part) récents leur sont automatiquement envoyés.)

Si davantage de gens avaient le temps de relire, à l’occasion, les brochures de M. Armstrong, il y en aurait eu davantage qui auraient demeuré fermes, pendant que les faux dirigeants corrompaient l’Église et se débarrassaient de la Vérité. Avez-vous jamais considéré combien l’importance de relire attentivement les nombreuses vérités divines était liée au fait de demeurer ferme ? — ou que Dieu puisse juger qu’il vous est essentiel de le faire, de façon permanente ? Nul doute que c’est vrai. De plus, prendre le temps de relire des Écritures pertinentes vous aidera, de façon plus permanente, à supporter « la saine doctrine », alors que les autres autour de vous « se tourneront vers les fables » (II Tim. 4:1-4).

Parfois, j’entends dire qu’il y a des Frères qui ne prennent pas le temps de lire chaque nouvelle brochure et nouveau article. Il y a quelque temps de cela, un homme avait quitté l’Église parce qu’il voulait observer les pleines lunes. Il avait décidé tout à coup que M. Armstrong avait tort sur douze doctrines différentes. Nous avons découvert que, avant de nous dire qu’il voulait se joindre à l’ÉRD, il n’avait jamais écouté la série de messages sur cassettes prouvant que M. Armstrong était l’Élie des temps de la fin. Ayant appris que c’était ce qu’il devait faire, et après y avoir quelque peu pensé, il avait jugé qu’il n’était pas vraiment intéressé de connaître la vérité contenue dans ces messages, d’une durée de 4 ½ heures. Puisqu’il « savait » que M. Armstrong avait tort sur autant de points (ses propres pensées étaient la seule source de cette conviction), il en avait par conséquent conclu que M. Armstrong ne pouvait pas être l’Élie des temps de la fin. Après s’être joint à l’ÉRD, il avait été confronté à ses propres (à tout le moins à quelques-unes de ses) fausses idées. S’il avait pris le temps de prouver avec soin pourquoi il devrait être avec nous, et pourquoi il devrait continuer à se prouver à lui-même les vérités divines, il aurait eu beaucoup plus de chance de survivre à ce test qui l’avait en fin de compte emporté !

Des brochures, des articles et des magazines (les magazines sont disponibles en anglais seulement) sortent du siège central, avant d’arriver à votre boîte aux lettres, étant confiants que vous les lirez tous ! Ils sont produits par un personnel réduit, des gens qui consacrent de nombreuses heures dans le but de vous nourrir « pleinement ». Ne vous créez pas un grave tort à vous-mêmes, en négligeant de prendre le temps de lire et relire « toutes les paroles de la loi », permettant ainsi à votre cœur de s’élever au-dessus de vos Frères (Deut. 17:20), de telle façon que Dieu ne puisse plus travailler avec vous (Jacques 4:6). Vous apprendriez vite à oublier à « craindre Dieu », et, en fin de compte, vous vous assoupirez et ne voudrez plus bien Le servir, et ce, « tous les jours de [votre] vie » (Deut. 17:19) !