La manière dont on doit adorer le vrai Dieu se retrouve dans les Dix Commandements. Exode 20, versets 4 à 6 dit : « Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, l’Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punit l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fait miséricorde jusqu’en mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements ». La même chose est répétée dans Deutéronome 5 :8-10.
Le mot hébreu qanna est utilisé pour traduire « jaloux ». Pour mieux saisir le sens de ce mot, il signifie « qui exige une dévotion exclusive, ne tolère pas la rivalité », (Webster's New International Dictionary, 2e Edition, 1954). À d’autres endroits, le mot qana est utilisé et est traduit entre autres par « zélé ». Cela est défini par ; « Vive ardeur à servir une personne ou une cause à laquelle on est sincèrement dévoué, empressement », (C’est nous qui traduisons).
Dès qu’une personne met devant elle une image ou une représentation de Dieu, elle transgresse le second commandement — diminuant ainsi le statut et la puissance de Dieu. Non seulement ils se font du mal, mais leur fausse adoration atteindra aussi leurs enfants et leurs petits-enfants. Mais accompagnant cet avertissement, on retrouve aussi une promesse. Ceux qui adorent le vrai Dieu — de la façon dont Il l’ordonne — obtiendront miséricorde pendant « mille génération de ceux qui L’aiment ».